mercredi, juillet 2, 2025
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Miner ou acheter du Bitcoin ?

Cryptomonnaie décentralisée, le Bitcoin séduit de plus en plus de personnes parce qu’il est indépendant des organes comme les États ou les banques, il n’y aucun organisme qui peut le contrôler. C’est actuellement le pionnier des monnaies numériques avec une très grande capitalisation. Si en 2019, un Bitcoin valait 100 euros aujourd’hui, il vaut plus de 40.000 euros. Vu le phénomène, tout le monde s’y rue, mais la question qui se pose est : est-ce qu’il est plus intéressant de miner que d’acheter des Bitcoins ? Tout de suite la réponse.

Le minage des Bitcoins

Miner du Bitcoin revient à mettre la puissance de calcul au service du réseau Bitcoin. Cette puissance est apportée par l’ordinateur ou les machines dédiées au minage comme les ASIC ou les RIG. Elle servira à la sécurisation et à la vérification des transactions ainsi qu’au fonctionnement de la Blockchain. Il ne faudrait pas oublier que le Bitcoin doit être miné toutes les 10 minutes, et à l’inverse de l’euro ou du dollar, il est produit par les utilisateurs. Pour miner des Bitcoins, 3 solutions sont possibles : le Cloud Mining, le ring minage ou le pool de minage. La première solution est la plus simple, la plus rapide et la plus économique. C’est le fait d’utiliser la capacité de calcul d’une société experte dans le minage de Bitcoins. En clair, vous allez louer sa capacité de calcul et de stockage. L’atout de cette solution est qu’il n’est pas nécessaire d’avoir des connaissances techniques ou d’acquérir des équipements miniers coûteux. Aussi, il n’y a aucun risque de dommages sur votre ordinateur et de hausse des frais d’électricité. La deuxième solution demande un ASIC. Il faut installer le logiciel et le paramétrer pour JSON-RPC. La troisième solution consiste à la mutualisation de tous les membres du réseau. Ça permet de générer et d’assurer du profit, car les gains sont partagés entre tous les mineurs. De plus, les revenus sont stables. Vous aurez plus d’infos ici.

L’achat des Bitcoins

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Crédits : Pixabay

Il faut savoir qu’il y a encore 10 ans de ça, on pouvait facilement miner des Bitcoins avec la puissance de calcul d’un ordinateur, mais aujourd’hui, avec sa valeur qui augmente constamment et le nombre disponible qui se fait rare, le minage demande un ordinateur avec une puissance très élevée. La meilleure solution est donc l’achat de Bitcoins, que ce soit pour un placement financier ou pour la passion pour l’innovation et la technologie. Pour ça, il faut créer un portefeuille virtuel sur une plateforme d’échange de cryptomonnaies. Il existe plusieurs plateformes françaises, mais on peut aussi acquérir du Bitcoin sur des plateformes étrangères. Notre conseil est d’utiliser un site connu, car il y a bel et bien des arnaques. Une fois le compte crée, on dépose les fonds en euros, et on sélectionne la cryptomonnaie qui est le Bitcoin. L’achat peut se faire par virement bancaire, par carte ou par PayPal. Parmi les moyens alternatifs, notons la carte prépayée, le cash, les chèques, le crédit téléphonique… Après, on valide l’achat, et on stocke les Bitcoins de manière sécurisée. Ensuite, on n’oublie pas de suivre régulièrement les cours de cette devise virtuelle pour savoir si on doit revendre ou non.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.