dimanche, juillet 13, 2025
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Pourquoi utiliser un compte en ligne pour sa SCI ?

L’ouverture d’un compte bancaire est-elle une obligation pour créer une SCI ? Eh bien, il faut savoir que la SCI est une forme juridique de société. Elle possède de nombreux points communs avec la SAS ou encore la SARL. La SCI ou Société Civile Immobilière est régie par le livre III du Code civil, au titre IX. Pour sa création, il faut passer par des étapes très importantes comme l’enregistrement des statuts. De ce fait, elle est obligée d’avoir un compte bancaire pour pouvoir exister légalement. Face à cela, la plupart des SCI se tournent vers les banques en ligne. Pourquoi ? On en parle dans cet article.

Compte bancaire pour SCI, personnel ou professionnel ?

Pour séparer les transactions personnelles des transactions commerciales, il est préférable d’ouvrir un compte bancaire professionnel. Et ce dernier doit être au nom de la SCI. Les documents nécessaires pour l’ouverture du compte dépendent de la banque. Cependant, il existe des documents communs comme : le justificatif d’identité, la copie des statuts, l’immatriculation au RCS, l’extrait du journal d’annonces légales, etc. En général, les procédures ne sont pas si longues. Particulièrement quand il s’agit de créer un compte en ligne pour sci. En effet, on n’a pas besoin de prendre un rendez-vous, tout se fait en ligne. Pour une SCI, l’idéal est d’opter pour la banque en ligne. Non seulement elles sont plus rapides et plus réactives, les banques virtuelles proposent également une interface moderne. En matière de prix, les banques en ligne sont également très abordables. Pour une banque traditionnelle comme Société Générale par exemple, l’offre adaptée à une SCI est de 25 euros par mois, plus un frais de carte bancaire de 50 euros par an. Du côté de la banque en ligne, on peut dire que le tarif défie largement la concurrence. Il faut compter en moyenne 10 euros par mois, carte bancaire inclus (ex : l’offre pour SCI de Qonto est de 9 euros par mois).

La banque en ligne, parfaite pour la SCI

Société civile immobilière
Crédits : Pixabay

Les grandes banques en ligne n’acceptent pas encore les SCI. Parmi elles, on peut citer Monabanq, BforBank, ING… Toutefois, il existe des néo-banques qui permettent la création et la gestion de compte bancaire de Société Civile Immobilière en ligne. On peut dire que leurs offres sont bien adaptées aux besoins des SCI (ex : compte courant à faible coût). Le seul souci avec ces dernières, c’est qu’elles ne proposent pas encore de financement. Heureusement que ce n’est pas une nécessité pour la plupart des SCI. Outre Qonto, il existe d’autres banques en ligne qui proposent des offres intéressantes pour SCI. Il y a par exemple Shine qui propose ses services pour seulement 7.90 euros par mois, carte bancaire incluse. Ensuite, il y a Manager One qui est un peu plus cher, mais moins abordable que les banques physiques, 29.90 euros mensuels. Dans le cas où la SCI a besoin de faire de prêt bancaire, le mieux serait de se tourner vers des banques traditionnelles comme Crédit Mutuel – La banque postale, etc. Cependant, il faut s’armer de patience puisque les procédures pour la création de compte vont prendre du temps.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.