samedi, juillet 12, 2025
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Peut-on transporter des bagages avec un taxi-moto ?

Nombreux sont les clients qui se demandent s’il est possible de transporter des bagages en taxi-moto. Eh bien, contrairement à un taxi classique ou au Uber, le taxi-moto ne dispose pas d’un coffre spacieux. Ce n’est donc pas le moyen de transport idéal si vous envisagez d’emporter des bagages encombrants comme votre garde-robe. Cependant, pour répondre aux besoins de certains clients, les services de taxi-moto mettent à leur disposition des motos qui peuvent accueillir quelques valises. Peut-on transporter des bagages avec un taxi-moto ? Les réponses se trouvent dans cet article.

La taille maximale d’un bagage en taxi-moto

Il est tout à fait possible de transporter des bagages en taxi-moto. Cependant, il faut prendre en considération certains facteurs comme la capacité de chargement de la moto. Dans certains cas, il faut aussi prendre en compte les dimensions qu’autorisent les compagnies aériennes qui affrètent le vol. Afin de déterminer la taille maximale du bagage, on parle de valise cabine. Les sociétés de transport se réfèrent toutes aux standards IATA (Internatioanl Air Transport Association) avant d’accepter les bagages. Maintenant, la question est de savoir quel type de bagage peut-on transporter en taxi-moto. Une valise ou plusieurs valises ? Elles peuvent être placées dans le porte-bagage à l’arrière de la moto. Pour éviter qu’elles ne se perdent en route, elles sont arrimées à l’aide de filets. En ce qui concerne les sacs, ils trouveront place dans les valises latérales. En général, les taxi-moto qui transportent les bagages peuvent accueillir un volume qui tourne autour de 150 l. Parmi les sociétés de transport qui proposent ce type de service, il y a Liberty Trans. Active depuis 2006, la société a su s’imposer comme un vrai leader dans le secteur du taxi-moto et du VTC.

Les avantages de faire appel à un service de taxi-moto

bagages et taxi-moto
Crédits : Pixabay

Outre la praticité, se déplacer en taxi-moto présente de nombreux avantages. En effet, plusieurs études ont montré que c’est cinq fois moins cher que le déplacement en voiture. Également, il permet d’économiser du temps. Si on compte plus d’une heure pour faire Paris-Orly, et ce avec les bouchons. Il faut environ 20 minutes, pas plus, pour faire ce trajet en taxi-moto. L’avantage est que la moto peut rouler à 35 km/h alors que la voiture est limitée à 15 km/h dans les embouteillages. En ce qui concerne la sécurité, les sociétés de transport n’emploient que des conducteurs expérimentés. Ces derniers savent prendre soin des clients. Avant de prendre la route, ils offrent les équipements adéquats aux clients. Outre le casque qui est obligatoire, ils proposent également des gants, des su-bottes, des sur-pantalons, des blousons… Donc, pour revenir à notre question principale, il est tout à fait possible de transporter des bagages avec un taxi-moto. Toutefois, il faut veiller à ce qu’ils ne dépassent pas les dimensions autorisées. Le mieux serait d’informer à l’avance la société de transport sur le volume de bagages. Il faut également se renseigner auprès de la compagnie aérienne concernant le nombre et le poids de bagages qu’on peut transporter.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.