lundi, juillet 14, 2025
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Chauffeur privé et VTC : comment ça fonctionne exactement ?

Depuis quelques années, le secteur du transport a connu une grande révolution, et c’est le VTC. Il propose des prestations personnalisées avec les conditions établies au préalable. Si vous avez déjà entendu parler de VTC, mais que vous ne savez pas vraiment ce que ça veut dire et ce qui le différencie des taxis, on se propose de vous éclairer tout de suite.

Les différences entre les taxis et les VTC

Un VTC ou Véhicule de Tourisme avec Chauffeur est aussi appelé voiture avec chauffeur. Il offre les mêmes prestations que les taxis traditionnels en vous permettant d’aller d’un point A à un point B dans une voiture et en vous faisant conduire. Toutefois, le VTC et le taxi sont différents sur certains points. Avant tout, le taxi est visible grâce au lumignon sur le toit de la voiture à l’inverse du VTC qui n’a pas de signe distinctif. Donc, on le voit moins que le taxi. Mais encore, les différences se constatent au niveau des tarifs, de la manière de réserver, du confort… Les chauffeurs de taxis peuvent être des salariés, des locataires ou des artisans alors que ceux des VTC sont des auto-entrepreneurs. Pour devenir chauffeur de taxi, il faut avoir un permis B et passer un examen alors que pour être chauffeur de VTC, il faut aussi un permis B et au moins 250 heures de formation. Pour les obligations, les chauffeurs de taxi doivent faire un examen médical et avoir un casier judiciaire vierge sur certains délits, ils doivent également faire une formation de 16 heures tous les 5 ans. Pour les obligations des chauffeurs de VTC comme celui proposé par cette conciergerie, c’est pareil aussi à part la formation de 7 heures si nécessaire tous les 5 ans. Précisons encore que les chauffeurs de taxi doivent payer une licence, alors que pour les chauffeurs de VTC, il faut seulement payer le frais d’immatriculation, et c’est à renouveler tous les 5 ans.

Le fonctionnement proprement dit des VTC

chauffeur privé vtc
Crédits : Pixabay

À l’inverse d’un taxi, le VTC n’a pas le droit de prendre un client qui n’a pas fait une réservation, et ce, même s’il attend dans une zone de stationnement ou s’il est hélé dans la rue. Chauffeur privé peut stationner aux alentours d’une gare ou d’un aéroport pour attendre un client qui a fait préalablement une réservation, mais l’attente est d’une heure maximum. C’est un ticket spécial qui prouve la réservation du client, et il comprend la raison sociale de la société et ses coordonnées, le nom et les coordonnées téléphoniques du client, la date et l’heure de la réservation ainsi que la date, l’heure et le lieu de prise en charge du client. Pour avoir une voiture avec chauffeur privé, il faut réserver à l’avance, le service est disponible 24h/24 et 7j/7 même les week-ends et les jours fériés. Pour la comparaison des offres et pour des déplacements moins chers, on peut demander un devis gratuit. Contrairement à un taxi, les véhicules VTC proposent différents services (connexion Wifi, eau minérale, magazines, chargeur d’appareils électroniques, guides des meilleures adresses…).

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.