lundi, juillet 14, 2025
AccueilMaison et JardinComment juge-t-on de la qualité des pellets ?

Comment juge-t-on de la qualité des pellets ?

Comme toute chose, les pellets peuvent avoir une mauvaise ou une bonne qualité. Donc, tous ne se valent pas, et c’est pour cela qu’il est essentiel de bien les choisir. Mais pour cela, il faut encore savoir reconnaître les pellets de bonne qualité afin de bien chauffer le logement. Pour les personnes qui ne savent pas, on annonce tout de suite les critères pour juger leur qualité.

Les pellets de qualité

Pour que les pellets de chauffage puissent être considérés de qualité, il faut qu’ils satisfassent des critères techniques précis. Pour cela, il est essentiel de se poser les bonnes questions. Est-ce que le pellet meilleure qualité est fait de bois de résineux ? Est-ce que la masse volumique est assez importante ? Est-ce que le taux d’humidité est moins de 10 % ? Est-ce que le taux de cendres est réduit ? Si on répond affirmatif à toutes ces questions, on peut affirmer que les pellets sont de qualité supérieure. Cela veut dire qu’ils ont un bon rendement et de meilleures performances. À noter qu’il y a des labels de qualité pour les pellets comme les certifications DINplus et ENplus.

Les astuces pour reconnaître les pellets de qualité

Avant d’achat des pellets, on peut les tester pour savoir s’ils sont vraiment de qualité. La première chose à faire est de les mettre dans l’eau afin de contrôler leur densité. S’ils sont denses, ils brûleront longtemps offrant ainsi un bon rendement. Au cas où ils coulent, c’est également positif, cela indique une importante densité. Par contre, s’ils flottent, la densité est inférieure aux exigences des certifications citées plus haut. Après, on teste la dureté des pellets. Pour cela, on plonge deux types de pellets dans un récipient rempli d’eau. Les pellets qui se dissolvent lentement sont plus durs, et donc, un meilleur rendement. L’autre point à vérifier pour connaître la qualité des pellets est de voir la couleur des cendres. Ils sont bons si les cendres sont de couleur grise tout en étant légères. On trouve aussi sur la vitre du poêle une pellicule fine qu’on peut laver facilement. Pour information, les pellets de mauvaise qualité ont des cendres solides et noires.

Les couleurs des pellets

qualité des pellets
Crédits : Pixabay

Selon le bois que composent les pellets, la couleur peut grandement varier, et c’est aussi un point à vérifier. Certes, cela n’annonce pas leur qualité, mais on peut connaître le type de bois utilisé. Des pellets d’épicéa sont plus clairs que les pellets de mélèze. Pour les pellets de feuilli, ils sont moins performants. Ils peuvent être plus clairs que les pellets résineux, mais d’excellente qualité. Si les pellets de couleur blonde sont en général de qualité, ce n’est pas un indicateur absolu. Notre conseil est de ne fier qu’aux labels. Quoi qu’il en soit, si on ne sait pas quoi choisir, il vaut mieux prendre des pellets clairs venant du bois résineux.

Pour terminer, de plus en plus de ménages choisissent de se chauffer au bois en optant pour le poêle à pellets, car ses avantages sont multiples. Toutefois, pour en profiter pleinement, il ne faut prendre que des pellets de qualité.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.