jeudi, septembre 4, 2025
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Comment rédiger une carte de remerciement décès ?

À la mort d’un proche, la famille vit ses pires moments, elle a besoin du soutien de son entourage. La présence aux obsèques est déjà un grand soutien, mais on peut aussi recevoir des messages de condoléances. Les cartes et les fleurs sont envoyées comme marque de soutien. Cependant, les personnes qui les ont envoyées doivent être remerciées, et c’est là qu’intervient la carte de remerciement décès. Pour la rédiger correctement, ci-après nos conseils.

L’art de bien écrire la carte de remerciement décès

Notre conseil dans la rédaction de la carte de remerciement décès est de n’écrire que 2 phrases simples et sobres qui vont toucher le cœur des destinataires. Il est possible d’ajouter une citation connue. On peut les remercier de leur présence, de leur amitié, de leur dévouement, de leurs prières, de leur réconfort ou de leur aide pendant ces moments difficiles. Généralement, les noms de toutes les personnes envoyant l’enveloppe avec une carte de remerciement de décès se trouvent en en-tête. Mais on peut également les ajouter dans la partie signature. On pense à indiquer le lien de parenté avec la personne décédée. Si elle est pour les collègues, des individus peu proches, une association ou une entité morale, on peut seulement dire « Toute la famille ». Mais on n’oublie pas d’annoncer le nom du défunt. Également, on met sa photo, elle peut être remplacée par un symbole ou un dessin rappelant sa mémoire ou évoquant un détail de vie.

Bon à savoir

Les cartes de remerciement décès sont à envoyer à tous les individus qui nous ont soutenus après le décès d’un être cher. Cela peut être les membres de notre famille, nos amis, nos voisins, nos collègues de bureau, les connaissances… Pour n’oublier personne, on se fie aux cartes et aux lettres reçues pendant cette période difficile. Également, on conseille de mettre au funérarium et à l’église un livre de condoléances pour avoir les noms et les adresses des personnes qui nous ont témoigné leur réconfort. Pour l’envoi de la carte de remerciement décès, on les transmet 2 semaines après les obsèques. La règle est de ne pas attendre pour l’envoyer sachant que les proches n’ont pas attendu pour vous envoyer des fleurs et des messages de soutien et de réconfort. Le délai maximum est d’un mois, car il est possible que l’on reçoive encore des condoléances.

En guise d’information, on peut opter pour des cartes vierges en papeterie et rédiger un message personnalisé ou donner le travail à un imprimeur. À noter que plusieurs exemples de textes existent sur Internet.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.