jeudi, juillet 17, 2025
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Comment se porte le marché du neuf à Toulouse ?

Après être fortement touché par la crise sanitaire l’année 2020, Toulouse a malheureusement du mal à se relever. Le secteur de l’immobilier neuf toulousain est grandement le plus impacté. Même s’il y a des demandes soutenues, les mises en vente chutent. Tout de suite, le point sur le marché du neuf à Toulouse, la célèbre Ville rose.

 L’immobilier neuf à Toulouse

La situation actuelle à Toulouse inquiète énormément les promoteurs immobiliers toulousains, surtout le niveau des mises en vente. La crise de l’offre de l’année 2019 est confirmée en 2021. En effet, seulement 4351 logements ont été vendus sur l’aire urbaine, c’est 5 % de moins que l’année 2020. Et encore, c’est 39 % de moins que l’année 2019 avec plus de 7000 logements neufs mis en vente. Mais même s’il y a cette pénurie, cette absence de renouvellement de l’offre, on remarque une forte demande comme annoncé sur ce portail dédié. Il y a une légère hausse des ventes par rapport à 2020, 5391 de ventes au détail comptabilisées, 14 % par rapport à 2020. Mais quand même, c’est loin des niveaux de l’année 2019, -24 % où il y avait plus de 7100 ventes annuelles au détail. Pour cette année, selon les promoteurs immobiliers, il est capital de redresser le secteur de l’immobilier neuf à Toulouse pour répondre aux demandes et pour limiter les effets de la pénurie.

Une demande croissante des appartements neufs

À Toulouse, les acquisitions d’un programme neuf à Toulouse représentent plus de 56 % de l’activité. Appuyée par l’accession plus accessible, on constate une progression de la demande en résidence principale. Avec la faible alimentation du marché, il n’est pas possible de proposer toutes les typologies de biens immobiliers, surtout celles demandées par les investisseurs. Le nombre d’acquisitions est donc limité avec l’offre en baisse de T1 et de T2. Même avec une vente en bonne santé, mais un recul important de l’offre, le stock n’arrête pas de reculer : vers la fin de 2021, 3612 logements, c’est 27 % de moins par rapport au stock à la fin de 2020 à 3962 logements. Pour information, c’est 37 % en comparaison du stock à la fin de 2019 (4500 logements disponibles en vente). Cette situation conduit à l’augmentation permanente des prix de l’immobilier neuf à Toulouse et dans son aire urbaine. La hausse est de +3,3 % par rapport à 2020 et +4,3 % par rapport à 2019.

Les meilleurs quartiers de Toulouse

marché neuf toulouse
Crédits : Pixabay

Malgré sa situation actuelle, Toulouse séduit les investisseurs, car c’est une ville où il fait bon d’y vivre. Cependant, quand on veut se lancer dans l’immobilier neuf toulousain pour faire un investissement locatif ou pour acquérir une résidence principale, tous les quartiers ne se valent pas. Parmi les quartiers à privilégier, il y a Joliment – Les Argoulets qui est réputé pour sa qualité de vie et pour sa douceur. Si on souhaite investir dans un quartier calme et accessible, on va du côté de Château de l’Hers – La Terrasse. Pour un investissement non loin de l’hypercentre, Guilheméry – Côte Pavée est un bon choix. Pour Rangueil, il attire surtout les étudiants et les jeunes cadres. La modernité est assurée par Écoquartier de la Cartoucherie. Si on est en quête d’un quartier avec l’apparence d’un village, on opte sans hésiter pour Saint-Martin-du-Touch. Toutefois, la valeur sûre reste le quartier de Pont des demoiselles- Montaudran.

Pour vous qui prévoyez d’acquérir un bien immobilier neuf à Toulouse, sachez que le prix de vente avoisine dans les 3.864 euros/m² (2.525 euros/m² pour un appartement et 3.176 euros/m² pour une maison). On remarque une hausse de 2,1 % pendant les 3 derniers mois et 3,9 % durant les 12 derniers mois. En guise d’information, le mètre carré à Toulouse est supérieur de 22 % à celui de tout le département qui est en moyenne de 3011 euros.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.