samedi, juillet 12, 2025
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Les doodle google : qu’est-ce que c’est exactement ?

Presque tous les internautes ont déjà vu des doodles. Eh oui, ceux qui ont une préférence pour le moteur de recherche Google ont déjà pu apercevoir des doodles. Ce sont ces petites animations, modifications amusantes apportées au logo de Google. Pendant les fêtes de Noël par exemple, on peut apercevoir le charriot du père Noël et des rennes passer en haut à gauche du moteur de recherche. Mais d’où vient l’idée de créer les doodles ? Qui décide de leur création et comment l’équipe de Google sélectionne l’évènement ? Les internautes peuvent-ils soumettre leurs idées de doodles ?

Les doodles Google, d’où vient cette idée ?

Le concept des doodles date des années 90, plus précisément en 1998. Autrement dit, les doodles ont été créées bien avant que la société Google ne soit fondée. Quand ils ont participé au Festival Burning Man, les deux fondateurs de Google : Sergey et Larry ont décidé de retravailler le logo de la société. Pour cela, ils ont placé derrière le second O un petit bonhomme. À travers cette modification, Larry et Sergey voulaient faire passer un message humoristique (ils étaient absents du bureau) à tous les utilisateurs de Google. Malgré le fait que ce premier doodle était simple, on peut dire avec certitude que c’est à ce moment-là que l’idée de décorer le logo a commencé. Au début de l’année 2000, les fondateurs de l’entreprise ont demandé à Dennis Hwang, le webmaster (stagiare) de créer quelque chose pour la fête nationale. Le pari était réussi puisque les internautes ont aimé le résultat. D’ailleurs, cela a permis à Dennis Hwang de se faire embaucher et d’occuper le poste de responsable des doodles. Depuis, les doodles commençaient à être plus fréquentes. Et s’ils ne marquaient que les fêtes les plus connues au début. Aujourd’hui, ils soulignent différents évènements. Pour en savoir davantage sur ces petites animations amusantes, d’autres informations sont consultables sur idealogeek.fr.

Qui crée les doodles ?

doodle google
Crédits : Pixabay

Chez Google, une équipe de webmaster se réunit régulièrement pour savoir quel évènement sera commémoré par un doodle. Les idées échangées ne viennent pas uniquement des employés de Google, mais également de différentes sources. Notamment les internautes. Une fois les évènements choisis, des ingénieurs ou des doodleurs se mettent à travailler dessus. Pour trouver des idées originales et innovantes, ces doodleurs sont très réceptifs aux propositions des internautes. En effet, les utilisateurs de Google peuvent envoyer leurs idées à l’adresse [email protected]. Chaque jour, les doodleurs reçoivent des centaines de propositions. Quand on parle de doodle Google, on pense aussi au Doodle Games. Ces jeux ont été développés spécifiquement pour enseigner les enfants et tous ceux qui sont passionnés de programmation / codage / développement de jeux. Pendant les confinements de 2020, plusieurs de ses titres originaux ont été ressuscités pour aider les fans à tuer le temps. Parmi ces derniers, il y avait Coding for Carrot. Ce jeu consiste à guider un petit lapin à travers des puzzles. Sur son chemin, le lapin est invité à ramasser des carottes. Après, il y a également Doodle Champion Island Games, Lucky the Calico Ninja Cat, etc.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.