lundi, juillet 14, 2025
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La tente de stockage : en quel matériau la choisir ?

De plus en plus d’entreprise et de particuliers se tournent aujourd’hui vers des abris de stockage temporaires. En effet, ces derniers ne sont pas seulement abordables, ils sont aussi faciles à monter. Installations provisoires, ils sont plus économiques par rapport aux installations en dur et personnalisables à souhait. Le fait est qu’ils soient modulables permet aux utilisateurs de les étendre ou les réduire selon le volume de stockage recherché. En matière d’abri de stockage temporaire, les plus connus sont le chapiteau de stockage et la tente de stockage. Dans cet article, nous allons nous intéresser pour le second : la tente de stockage. Quels sont ses avantages ? Comment la choisir ? Quel matériau faut-il privilégier ?

La tente de stockage, l’abri de stockage par excellence

Ce qui est intéressant avec les abris de stockage temporaires, c’est que leur installation ne nécessite pas de déclaration de travaux ni de permis de construire. C’est d’ailleurs le cas quand on les utilise dans des expositions ou dans des foires. Dans ce genre d’évènement, la tente de stockage sert d’abri pour les matériels, équipements, produits, etc. Sur le marché, la tente de stockage se décline sous différentes formes. Il y a les modèles ouverts qui la plupart du temps sont utilisés par les industriels. Elle ne possède aucun bardage sur les côtés et sa toiture est très souple. Après, il y a aussi les modèles fermés ou semi-fermés. Ces derniers sont facilement reconnaissables puisque leur structure de fond est très rigide. Conçus pour abriter des équipements et des biens, la tente de stockage fermée est complètement différente des pavillons de réception ou encore des abris voiture… Comme cité ci-haut, la tente de stockage est modulable. Elle est également facile à monter et se déplace facilement. Tout comme le choix d’un chapiteau de réception, choisir une tente de stockage ne doit pas se faire à la légère. Pour ce faire, il faut se référer au matériau.

Quel matériau privilégier pour choisir la tente de stockage ?

tente de stockage
Crédits : Pixabay

Avant de choisir la tente de stockage, il est important de savoir les éléments qui la composent : l’ossature et la couverture. L’ossature peut être en acier (résistant et ne nécessite pas d’entretien régulier) – en aluminium (matériau très léger) ou en PVC (robuste, durable et moins coûteux). Le choix va dépendre du budget. Mais parmi les trois, le PVC est sans aucun doute le plus intéressant. Ensuite, pour ce qui est de la couverture. Il y en a aussi en PVC. Les panneaux qui servent de toit sont légers et se déclinent en plusieurs couleurs. Outre le PVC, il y a aussi la toiture en bacacier qui est léger, plus résistant et plus intéressant sur le plan esthétique. Pour son prix abordable et le fait qu’il soit facile à entretenir, le polyéthylène peut aussi être utilisé comme toiture. En enfin, pour son imperméabilité, le polyester est aussi idéale en guise de couverture. Il saura protéger les matériels stockés dans la tente contre les intempéries.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.