jeudi, août 21, 2025
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Les différents usages d’un hangar agricole

Pour gérer de manière efficace une exploitation agricole, il est important d’avoir un sens de l’organisation. Dans le cas contraire, on risque de perdre énormément d’argent. Parmi les constructions qui permettent de gérer les productions agricoles, il y a le hangar agricole. Très pratique, le hangar permet aux agriculteurs d’abriter les récoltes, les animaux et les machines agricoles dans un seul endroit. Cependant, des questions se posent. Le hangar agricole est-il plus pratique et plus avantageux qu’une grange ? Existe-t-il des formalités administratives concernant sa construction ? Quels sont ses différents usages ? On vous explique tout ce qu’il y a à savoir sur ce sujet dans cet article.

Le hangar agricole, ce qu’il faut savoir

Comme son nom l’indique, le hangar agricole est un bâtiment que l’on installe dans une exploitation agricole. Tout comme la grange, il sert à stocker les récoltes, les foins et les animaux. Ce qui fait la différence, c’est que le hangar peut également protéger les tracteurs et autres machines agricoles contre les intempéries. Certains fermiers n’hésitent même pas à y installer les matériels nécessaires pour tondre les moutons. En somme, le hangar agricole est un espace que l’agriculteur ou le fermier peut personnaliser selon ses besoins et ses envies. Et pour le construire, il n’y a pas une configuration en particulier qu’il faut respecter. Le propriétaire a le choix entre un hangar ouvert ou un hangar fermé. Et ce choix va grandement dépendre des récoltes qui seront stockées dans le hangar. Vu qu’il offre un grand espace où l’on peut travailler confortablement, certaines entreprises n’hésitent pas à transformer des hangars agricoles en ateliers. Leur objectif étant d’exploiter le moindre espace pour augmenter la production. En somme, tout comme la tente de stockage, le hangar agricole est un espace polyvalent. Il n’est pas seulement réservé à l’exploitation agricole.

Comment construire un hangar agricole ?

hangar agricole
Crédits : Pixabay

L’installation d’un hangar agricole est soumise à des formalités administratives. Cependant, les démarches ne sont pas trop compliquées. Si la surface au sol du hangar ne dépasse pas 20 m², une simple déclaration de travaux suffit. Dans le cas contraire, il faut demander un permis de construire auprès de la commune. Toutefois, pour être sûr d’obtenir le permis, il est important de se référer au PLU (Plan Local d’Urbanisme). En effet, les règlementations ne sont pas les mêmes d’une zone à une autre. Il est conseillé de s’informer sur les obligations que la zone d’implantation impose avant de commencer les travaux. Pour construire un hangar agricole, il existe des consignes de sécurité qu’il faut respecter. L’objectif étant non seulement de protéger les agriculteurs, mais aussi les bétails qui y seront stockés. Également, il faut veiller à ce que les installations électriques suivent les normes en vigueur. Maintenant, la question est de savoir qu’est-ce qui compose le hangar agricole. Personnalisable à souhait, le hangar est composé d’une ossature, d’un bardage et d’une couverture. Et pour assurer l’énergie nécessaire à son fonctionnement, les agriculteurs optent la plupart du temps pour des panneaux photovoltaïques. Le hangar agricole, à quoi sert-il ? C’est le bâtiment par excellence pour les agriculteurs qui cherchent à professionnaliser leur activité.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.