mardi, septembre 2, 2025
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Pourquoi choisir la Malaisie pour votre voyage cet été ?

Êtes-vous à la recherche d’une destination pour vos prochaines vacances ? Et ce, sans vous ruiner ? Sachez que la Malaisie figure aujourd’hui parmi les pays à découvrir. Riche culturellement et historiquement, la Malaisie est un paradis sur terre. Pour partir à la découverte de ce pays, vous n’aurez pas à prévoir un grand budget. Il faut dire que le coût de la vie en Malaisie est assez abordable. Nul besoin de dépenser des milliers d’euros pour profiter de ce que le pays a à offrir. Pourquoi choisir la Malaisie pour vos vacances cet été ? On en parle dans cet article.

Partir pour la Malaisie, ce qu’il faut savoir

Avant de s’envoler pour la Malaisie, il est important de s’informer sur différentes choses concernant le pays. Véritable paradis culinaire, la Malaisie est également un pays de brassage culturel. Cela est grade partie due à la diversité ethnique. Exemple d’harmonie et de tolérance, la Malaisie est le point de rencontre de nombreuses cultures. En effet, le pays possède 13 États avec des cultures différentes. Sarawak est le plus grand et Perlis est le plus petit. On retrouve également le long de la côte de la Malaisie des centaines d’îles paradisiaques. Accessibles, ces dernières possèdent des hôtels de luxe et des installations de qualité. Avant de décoller, il faut changer votre argent en Ringgit malais. Vous pouvez également les échanger une fois sur place dans les banques ou les bureaux de change. La langue utilisée par les Malaisiens est le malais. Toutefois, ils peuvent parler et comprendre l’anglais si nécessaire. En ce qui concerne le budget, tout dépendra du style de vie que vous allez y mener. Mais en moyenne, il faut prévoir entre 150 à 250 Ringgit malais par jour pour votre voyage malaisie.

Pourquoi choisir la Malaisie pour votre voyage ?

Campagne de la Malaisie
Crédits : Pixabay

Faisant partie de l’Asie du Sud-Est, la Malaisie est très beau pays. Elle est constituée de la Malaisie orientale ou l’île de Bornéo et de la Malaisie péninsulaire. Et il faut dire que les deux îles sont situées assez loin l’une de l’autre puisque la distance entre elles est de 700km. Une fois arrivée en Malaisie, la première chose à faire est de s’enrichir culturellement dans la capitale, à Kuala Lumpur. Ville très active, cette dernière n’a cessé de se développer. C’est pourquoi on y trouve plusieurs gratte-ciels. Il faut dire que les marchés locaux sont également florissants. C’est pourquoi la Malaisie est très prisée des business man. L’architecture dans la capitale est assez variée. On y trouve de nombreux monuments hérités de la colonisation. Et on peut apercevoir une fois sur place qu’il y a une mixité entre différentes cultures : indienne, portugaise et chinoise. Dans la ville, il est impossible de s’ennuyer. Mais, les touristes ne visitent pas un pays pour découvrir une ville. Ils s’y rendent pour profiter de belle plage et de jungle. Eh bien, on en trouve plusieurs en Malaisie. Par exemple, c’est dans ce pays que l’on peut trouver les plus vieilles forêts primaires du monde. Parmi les incontournables du pays, il y a également les Cameron Highlands, Georgetown situé dans l’île de Penang, Malacca, les îles Perhentian, etc.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.