mardi, juillet 15, 2025
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Le dropshipping, une vraie tendance commerciale

Faire de l’e-commerce sans se préoccuper de la logistique, c’est possible avec le dropshipping. C’est une pratique qui s’est grandement développée en Hexagone, et elle ne cesse d’attirer du monde. Cette forme d’e-commerce permet aux vendeurs de ne pas gérer les stocks et se préoccuper de la livraison des commandes. Lisez attentivement ce qui va suivre pour en savoir davantage sur le dropshipping, la nouvelle tendance commerciale.

Qu’est-ce que le dropshipping ?

L’e-commerce sous forme de dropshipping consiste à confier aux fournisseurs la fabrication, le stockage et la livraison des produits vendus sur la boutique en ligne. Le marchand ne s’occupe que de la gestion des ventes et de la promotion des produits. Concrètement, si un client passe commande sur le site marchand, une fois que le vendeur a reçu le paiement, il commande chez le fournisseur. Après, ce dernier envoie le colis au client sans passer par le vendeur. On peut donc remarquer que ce dernier dépend grandement de ses fournisseurs (dropshippers ou grossistes), que ce soit pour la qualité et l’état des produits, pour leur disponibilité et leurs prix de départ que pour les conditions d’envoi. Mais les fournisseurs dépendent également du vendeur, de l’image qu’il bâtit autour de leurs produits. Afin que le dropshipping connaisse un succès, le vendeur et ses fournisseurs doivent instaurer une relation de confiance et créer un contrat bien clair annonçant leur engagement mutuel vis-à-vis des produits, des commandes, des envois et des retours.

Les bénéfices du dropshipping

Le dropshipping
Crédits : Pixabay

Les avantages du dropshipping sont nombreux aussi bien pour les vendeurs que les fournisseurs. Pour les premiers, ce concept évite le stockage des produits et leur envoi aux clients. Donc, il n’y a pas de frais d’emballage et d’envoi de colis ainsi que la location d’un local. Il y a moins de risques financiers. Toutefois, pour faire cette activité, ils doivent avant tout créer un e-commerce. Quoi qu’il en soit, ce système est avantageux pour ceux qui ne possèdent pas un gros investissement de départ, car c’est un bon moyen de se lancer dans l’entrepreneuriat. Pour les seconds, le dropshipping permet de se concentrer uniquement sur la production, ils ne se soucient plus de la commercialisation ni de la promotion de leurs produits.

Comment bien faire du dropshipping ?

Avant de faire du dropshipping, notre conseil est de choisir une niche. Le but est de se spécialiser, de se démarquer des autres. Il faut créer un besoin et donner de la valeur aux produits que l’on vend afin d’inciter les consommateurs à passer commande. Ensuite, on définit la cible. Après, on s’assure de la fiabilité des fournisseurs. Pour éviter la dépendance, on prend plusieurs fournisseurs. On n’hésite pas à avoir recours aux leviers de promotion pour la visibilité de l’e-commerce. Il y a notamment Google Ads, Facebook Ads et YouTube Ads. On n’oublie pas le marketing d’influence et le référencement SEO et SEA. Au besoin, on recrute un expert marketing pour assister si jamais, on manque de compétences en matière de ventes en ligne. Il y a aussi des formations en dropshipping afin de consolider les connaissances et de briller dans ce domaine.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.