mercredi, juillet 16, 2025
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Santé : tous les avantages de la blockchain

Technologie de réseaux de transactions distribués et décentralisés, la blockchain fait beaucoup parler d’elle depuis déjà quelques années. Elle est employée dans le monde financier, notamment les cryptomonnaies comme le Bitcoin, mais son champ d’action s’est élargi. Ainsi, la blockchain s’est immiscée dans le secteur médical. D’ailleurs, dans ce domaine, elle n’offre que des avantages, et les voici.

Qu’est-ce que la blockchain ?

La technologie de blockchain (chaînes de blocs) repose sur le concept de la décentralisation et de la transparence, et cela chamboule les modèles traditionnels sur lesquels les États, les institutions publiques ainsi que les sociétés privées se sont érigés. Pour rappel, les modèles de gouvernance et économiques se fondent sur des réseaux centralisés avec une entité souveraine détenant le pouvoir de décision et une base de données centrale et unique. Grâce au modèle décentralisé, il est possible de gérer les réseaux de manière plus étendue et sur de nombreux pays. Dans le système du blockchain comme celui de Galeon Blockchain, ils sont autonomes et peuvent prendre des décisions en concert. D’ailleurs, chaque nœud peut accéder aux mêmes informations.

Les avantages de la blockchain dans le secteur de la santé

Les essais cliniques

Afin de traiter une pathologie et d’essayer de trouver un remède, les professionnels de santé font des essais cliniques. Ils ont recours aux données des patients, aux résultats des tests et aux statistiques individuelles. Leur analyse est difficile à cause de leur important volume qui accroît d’ailleurs de plus en plus tous les ans. Aussi, ces précieuses informations peuvent être dérobées, détournées ou employées à mauvais escient. Afin de prouver l’authenticité des données des essais cliniques, il y a la blockchain. Les professionnels de santé ont ainsi l’assurance de travailler avec des informations exactes.

La gestion de données

Quand un malade arrive dans un établissement hospitalier, ses informations sont enregistrées. Malheureusement, ces dernières ne sont pas centralisées donc, il faut les saisir dans tous les hôpitaux dans lesquels le patient peut passer. C’est une tâche redondante pour le personnel de ces établissements hospitaliers, et cela fait perdre du temps. Pour y remédier, la blockchain est la solution puisqu’elle permet de créer des dossiers médicaux identiques partout, et c’est accessible aussi bien par les professionnels de santé que par les patients.

Les fraudes médicales

Les fraudes médicales comme les sous-traitements et les sur-traitements engendrent beaucoup de pertes, et cela se compte en milliards d’euros. Il n’est pas rare également que les dons récolté grâce aux campagnes médicales caritatives soient entre de mauvaises mains. La raison à ces soucis vient du stockage des données. Grâce à la blockchain, il est plus facile de tout vérifier : historiques des conditions et des traitements des patients, réclamations d’assurance, mise à jour des dossiers… parce que tout est digitalisé.

La traçabilité des médicaments

santé et blockchain
Crédits : Pixabay

En raison des médicaments contrefaits, l’industrie pharmaceutique connaît de grandes pertes financières, mais pas seulement. En effet, ces médicaments sont aussi néfastes pour la santé des consommateurs. Ces anomalies sont entravées par la blockchain avec l’immuabilité des données stockées. Donc, elle permet de suivre en toute facilité les médicaments, les ordonnances et les chaînes d’approvisionnement. Elle aide ainsi à repérer les activités illégales et à voir les fausses prescriptions.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.