mardi, juillet 15, 2025
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Qu’est-ce qu’un bon référenceur google ?

Chaque jour, plus de 800 000 sites sont mis en ligne sur internet. Et on peut dire que c’est bénéfique pour les développeurs et les référenceurs web. En effet, malgré le fait qu’on peut créer des sites gratuitement avec des CMS libre d’utilisation comme WordPress, l’intervention des développeurs et des référenceurs est indispensable pour assurer la visibilité du site. Pour assurer cette tâche, c’est plus au référenceur qu’on fait appel. Connu également sous les noms SEO manager, SEO optimizer, chargé de référencement naturel ou encore référenceur web, le référenceur Google fait partie des nouveaux métiers qui sont apparus dans les années 2000. Et avec l’évolution d’internet, le métier risque de perdurer encore longtemps.

Le référenceur Google : qu’est-ce que c’est ?

En collaboration avec ceux qui conçoivent les sites internet, le référenceur google doit se charger de différentes missions. Tout d’abord, comme son nom l’indique, il doit référencer le site de son client. Pour cela, il doit augmenter la visibilité ainsi que l’audience de ce dernier en se servant de techniques spécifiques. En parallèle avec cette tâche, il doit identifier sa cible, trouver les mots-clés les plus pertinents pour assurer le référencement, et optimiser le site web. Toutes ces étapes sont nécessaires pour faire en sorte que le site figure parmi les meilleurs résultats de Google (le moteur de recherche).  En effet, peu sont les gens qui prennent le temps de visiter les résultats qui se trouvent en bas de page. Ils se contentent des trois premiers et laissent les autres de côté. D’où la nécessité de faire appel à un référenceur Google. En sélectionnant les bons mots-clés, en réalisant des campagnes de recrutement de liens via des sites partenaires et en mettant à jour régulièrement les mots-clés, ce dernier peut faire en sorte que le site de son client se trouve en haut de la liste des résultats des moteurs de recherche. Maintenant, la question est de savoir comment devenir référenceur Google.

Les compétences requises pour devenir référenceur Google

référenceur web
Crédits : Pixabay

Contrairement à d’autres métiers du web, être référenceur Google ne demande pas de suivre une formation spécifique. Il faut juste être passionné du web. D’ailleurs, la majorité des professionnels du référencement Google n’ont suivi aucune formation en référencement naturel ni de formation SEO. Toutefois, il faut un niveau minimal d’études : Bac +2. Aussi, avoir des compétences en informatique, internet, commerce ou encore marketing serait avantageux. La plupart du temps, le métier de référenceur Google est occupé par des webmasters. En France, il existe également une formation diplômante en Bac +3 option référenceur et rédacteur web. Cette dernière est proposée par le département MMI de l’Institut Universitaire de Technologie de Mulhouse.  Et ce, depuis 2008. En ce qui concerne les compétences, le référenceur Google doit maitriser les CMS, savoir analyser les données web, posséder une notion de communication sur le web, avoir une notion en architecture de bases de données, posséder une forte capacité rédactionnelle, etc. Débutant, un référenceur Google peut gagner entre 2 000 et 2 500 euros. Par contre, s’il travaille à son compte, il peut gagner deux à trois fois.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.