mardi, août 19, 2025
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Région Nantaise : quel type de tuiles sur les toits ?

En France, chaque région se démarque par sa toiture. À Paris par exemple, plus de 60% des maisons privilégient le zinc pour sa durabilité. Il faut savoir que c’est l’un des matériaux de couverture les plus résistants et les plus tendance. Ensuite, il y a les tuiles dont l’origine remonte à l’Antiquité. Ces dernières sont plus appréciées des habitants de l’ouest de la France, notamment les Nantais. D’ailleurs, les couleurs chaudes des tuiles participent à la qualité du paysage et à l’identité de Nantes. Mais quel type de tuiles trouve-t-on sur les toits des maisons nantaises ? On en parle dans cet article.

Les tuiles : un matériau de couverture unique

Tout comme l’architecture, l’utilisation de la tuile en guise de couverture de toit dans la région Nantaise a connu des évolutions au cours des derniers siècles. Dans cette région, la tuile plate a été la plus utilisée auparavant. Malheureusement, elle a complètement disparu de la Loire-Atlantique. Elle a donc laissé sa place à la tuile creuse, connue aussi sous le nom de tige de botte. C’est cette dernière qui est la plus répandue aujourd’hui. Simple d’utilisation, c’est ce modèle qui se trouve sur la plupart des maisons de la région. À Nantes, les tuiles ont toujours été de fabrication artisanale jusqu’à la fin du XIXème siècle. En effet, un nouveau de type de tuile a fait son apparition. Il s’agit de la tuile mécanique (tuile plate). Pour qu’elle puisse s’accrocher, la tuile plate est pourvue de reliefs d’accrochage. La pose de ces matériaux peut paraître simple, mais c’est une tâche à confier uniquement à un professionnel. Et il n’y a pas mieux placé qu’un artisan couvreur pour la réaliser. Ce dernier possède les connaissances et les compétences nécessaires en ce qui concerne les travaux de toiture. Pour le trouver, il suffit de faire une recherche sur internet avec le bon mot-clé (ex : couvreur Nantes, artisan couvreur Loire).

Les différents types de tuiles qu’on trouve sur les toits des maisons nantaises

tuiles toiture
crédits : pixabay

Comme cité ci-dessus, on retrouve deux types de tuiles sur les toits des maisons nantaises. Il y a les tuiles mécaniques qui sont assez récentes. Connue également sous le nom de tuile à emboitement, la tuile mécanique possède un système de rainures qui lui permet de s’emboiter facilement les unes aux autres. À noter que c’est également ce système qui lui permet d’assurer l’étanchéité du toit. En matière de tuiles mécaniques, on retrouve plus de 700 modèles. Parmi ces derniers, les plus fréquents dans la région de Nantes sont la tuile canal mécanique ou la tuile romane. Ce dernier est sans nul doute le plus polyvalent des tuiles. Après la tuile mécanique, on a la tuile tige de botte. Cette dernière se décline sous différentes couleurs. Tout comme la tuile mécanique, la tuile creuse ou tige de botte s’emboitent facilement les unes aux autres par un simple glissement. Cependant, malgré le fait qu’elles sont faciles à installer, l’idéal serait toujours de faire appel à un couvreur pour assurer l’étanchéité du toit.

Manon
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Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.