jeudi, juillet 3, 2025
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Comment connaître sa capacité d’emprunt ?

Avant de demander n’importe quel type de prêt, il faut d’abord connaître sa capacité d’emprunt qui se base sur le reste à vivre et le taux d’endettement. Le calcul de cette dernière est assez simple, mais on peut faciliter les choses en approchant les établissements financiers ou en utilisant un simulateur en ligne.

Qu’est-ce que la capacité d’emprunt ?

Avant de solliciter un crédit, il est vital de considérer le besoin en financement et la capacité d’emprunt. C’est la somme maximum qu’on peut emprunter auprès d’un établissement de crédit pour la réalisation de notre projet. Elle se base sur une période définie suivant les revenus et les charges. En clair, c’est la capacité d’un emprunteur à supporter les échéances. En sachant cette dernière via cette calculette crédit, on prévoit la demande de crédit plus sereinement, car on sait à quoi s’attendre. Elle permet aussi de déterminer le reste à vivre afin de faire face aux dépenses du quotidien. Et encore, elle est essentielle afin d’optimiser le crédit puisqu’elle permet de connaître le montant que l’on peut rembourser et la durée de remboursement.

Le calcul de la capacité d’emprunt

La capacité d’emprunt est calculée suivant le taux d’endettement, en France, c’est 33 % des revenus maximum. Le calcul prend en compte le montant de l’apport personnel, le type de crédit, la mensualité, la durée du remboursement et l’âge. La formule pour connaître sa capacité d’emprunt est simple : (revenus – charges) x 33 %. Il suffit de prendre une feuille de papier ou une calculatrice pour la faire. Qu’importe le type de prêt qu’on demande, le principe reste le même, cela varie seulement suivant la durée du crédit. À noter que pour la banque, la capacité d’emprunt est importante afin qu’elle puisse s’assurer que l’emprunteur n’accumule pas trop de dettes par rapport à ses moyens.

Utiliser un simulateur pour connaître la capacité d’emprunt

Pour connaître précisément la capacité d’emprunt avant de demander un crédit, il est possible d’utiliser un simulateur en ligne. Il suffit de renseigner quelques informations afin que l’outil puisse fournir la capacité d’emprunt, mais il n’est pas utile d’envoyer les pièces justificatives. Par contre, si on approche un établissement bancaire pour connaître votre capacité d’emprunt, il faut donner des informations précises et des pièces justificatives. Il s’agit du salaire de l’emprunteur, du salaire du ou des co-emprunteurs, des revenus complémentaires (rentes, revenus fonciers, pension alimentaire…), des charges (pension alimentaire, crédits en cours, loyer…) ainsi que du montant de l’apport personnel. Le simulateur en ligne permet également de simuler le crédit.

Augmenter la capacité d’emprunt

capacite d'emprunt
Crédits : Pixabay

Il est possible d’augmenter la capacité d’emprunt avec le prêt à taux zéro qui sera le montant net d’intérêt. Si on remplit tous les critères, on peut avoir cette aide. Après, on obtient un prêt plus important, des mensualités réduites ou une durée de remboursement plus courte. L’autre moyen pour augmenter la capacité d’emprunt est de rembourser tous les crédits en cours ou de les regrouper afin de ne payer qu’une unique mensualité. La dernière solution est d’augmenter l’apport personnel (donations, héritage, économies…). Dans la majorité des banques, c’est 10 %, mais pour optimiser les chances, on peut aller jusqu’à 20 ou 30 %.

Un crédit vous engage et doit être remboursé. Vérifiez vos capacités de remboursement avant de vous engager.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.