mercredi, juillet 16, 2025
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La tendance en matière de verrières : quels matériaux utiliser en 2021 ?

C’est depuis déjà quelques années que la verrière d’intérieur est très en vogue, son style atelier/industriel a su séduire nos intérieurs. L’atout de la verrière est qu’elle divise une pièce en deux sans pour autant perdre la convivialité et assombrir, car elle laisse la lumière naturelle entrer. Moderne et pratique, elle agrandit l’espace tout en donnant du volume. Si vous envisagez d’installer une verrière, découvrez par la suite les matériaux utilisés.

La verrière pour cloisonner joliment

Avec ou sans soubassement, la verrière atelier d’artiste ou de loft est une grande surface vitrée avec une structure en bois, en acier ou en aluminium. Il est possible que la verrière soit dotée de plusieurs cloisons, de portes, de fenêtres ou de toit suivant vos envies. Son atout est qu’elle s’adapter à tous les espaces et à tous les styles, elle donne à l’intérieur du charme et du caractère. Généralement, elle est privilégiée pour séparer le salon de la cuisine, la salle de bain de la suite parentale… Pour délimiter l’espace sans la couper, on trouve différents types de verrières : verrière simple, verrière avec travées coupées à l’horizontale, verrière en kit, verrière sur mesure… C’est un véritable élément de décoration qui apporte de l’élégance et de l’originalité à notre intérieur. Pour la couleur, le choix est large : beige ou blanc pour une pièce lumineuse, gris anthracite pour une décoration contemporaine, orange pour l’effet rouille, bleu pour un espace coloré et moderne, vert pour un intérieur convivial et noir pour un intérieur de style loft… En ce qui concerne le verre, c’est entre 6 et 10 mm d’épaisseur, et le choix est également large. Le vitrage feuilleté est plus sécurisant, car il fait de 2 feuilles de verre au moins, et ces dernières sont séparées par un film intercalaire. Ce type de verre peut être dépoli, avec effet givré, sans teint… Installation ou remplacement de verrières sur mesure, contactez toujours des professionnels.

Les matériaux utilisés pour la verrière

verrière d'atelier
Crédits : Twenty20

Différents matériaux sont employés pour réaliser une verrière. Selon le choix de chacun, ça peut être du bois, de l’aluminium ou de l’acier. Si vous cherchez un intérieur moderne, optez pour la verrière en acier. Ce modèle s’inspire des verrières qu’on a pu voir au début du XXème siècle, où elles séparaient l’atelier du bureau. L’avantage de choisir l’acier est que c’est un matériau résistant face aux contraintes mécaniques exigées par les vitres. De plus, il y a de nombreuses finitions possibles (peinture métallisée, laquée…). Pour un intérieur rustique et chaleureux à souhait, rien ne vaut la verrière en bois. Cependant, il faut préférer le bois massif comme le douglas, le chêne… pour une meilleure résistance dans le temps. Les finitions sont variées : peinture, lasure… La verrière en aluminium est également un bon choix. D’ailleurs, c’est plus léger que l’acier et moins cher. Cependant, elle est moins sensible aux chocs.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.