samedi, juillet 12, 2025
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Le prix moyen annuel d’un syndic de copropriété à Paris

Le syndic copropriété se charge de la gestion d’un immeuble, c’est un véritable métier, et ça a un coût, car le travail demande des compétences juridiques, comptables, financières… Il facture ses honoraires, ça varie grandement d’un prestataire à un autre. Même si le contrat est strictement encadré, le tarif est librement fixé par les syndics de copropriété toutefois, c’est négociable. Pour découvrir le prix moyen annuel d’un syndic de copropriété à Paris, poursuivez votre lecture.

Le calcul des honoraires du syndic de copropriété

Syndic de copropriété Paris propose généralement un forfait de gestion courante déterminant les tâches qu’il fait. Il se fixe sur la base d’une année calendaire. La fixation du forfait est libre depuis la loi de 1986 toutefois, il y a des règlements quant aux tâches obligatoires devant être réalisées par le syndic de copropriété. Il y a entre autres la convocation par lettre recommandée avec accusé de réception, l’organisation et la tenue de l’AG, l’entretien, la maintenance, la conservation et la garde de l’immeuble, la comptabilité et la gestion financière, la gestion du personnel (gardien ou concierge), les procédures administratives, la conservation des archives ainsi que la déclaration des sinistres et des travaux en rapport aux parties communes. Il y a un contrat entre le syndic et le syndicat des copropriétés, et il annonce la rémunération forfaitaire annuelle perçue par le syndic et les modalités éventuelles de révision à l’échéance. Il mentionne également le taux horaire pour les dépassements de durée sur les prestations comprises dans le contrat. Quoi qu’il en soit, les honoraires du syndic de copropriété varient selon la taille de la copropriété, du nombre de lots et des tâches à faire, et c’est négociable. Pour trouver un syndic de copropriété pas cher, il est possible de comparer les offres en ligne.

Les différents frais

syndic de copropriété tarif
Crédits : Pixabay

Les frais de gestion courante du syndic de copropriété sont sous forme de forfait, et ça diffère suivant le nombre de lots. Le tarif n’est donc pas le même pour une copropriété de 3 lots ou de 10 lots. Comme exemple, le forfait gestion d’une petite copropriété de 2 à 10 lots est d’environ 2.000 euros, si c’est une plus grande copropriété, c’est entre 150 et 200 euros par lot. Les frais annexes comme les photocopies, les impayés, les frais de tenue de compte bancaire, les travaux récurrents… alourdissent encore la facture. Pour les frais de relance de recouvrement d’impayés, il faut débourser entre 5 et 15 euros, pour la mise en demeure, c’est entre 30 et 70 euros, concernant la remise d’un dossier contentieux à un avocat ou à un huissier, ça peut aller jusqu’à des centaines d’euros. Quant à la tenue d’un compte séparé par lot et par an, c’est entre 20 et 40 euros. Pour les travaux votés en AG, la commission est entre 3 et 5 % sur le montant des travaux. Il ne faudrait pas oublier que le syndic de copropriété facture à la page ou sous forme de forfait par lot par an. Ces données sont hors taxe, une TVA de 20 % s’y ajoute.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.