lundi, août 18, 2025
AccueilBien-Etre / SoinQuand prendre la décision de faire un implant de cheveux ?

Quand prendre la décision de faire un implant de cheveux ?

La greffe de cheveux n’est plus un tabou comme il y a quelques années. Hommes et femmes s’y mettent quand la calvitie devient de plus en plus importante. Toutefois, pour prétendre à un implant capillaire, certains critères sont à respecter. Si vous êtes concerné par une perte de cheveux conséquente, lisez bien ce qui va suivre pour savoir quand vous devrez faire la greffe.

Qu’est-ce que l’implant de cheveux ?

La greffe de cheveux est le fait de réaliser une implantation de cheveux dans le cuir chevelu. Cela consiste à faire un prélèvement de cheveux dans une zone où ils ne tombent pas, et c’est dans la partie de la couronne arrière. On les réimplante ensuite sur la zone dégarnie de la tête. Pour que le résultat soit le plus naturel possible, l’implant de cheveux se fait cheveu par cheveu. C’est après plusieurs interventions et une période de croissance que l’on obtient des cheveux denses. Actuellement, il y a deux sortes de techniques de greffe de cheveux : le FUE (Follicular Unit Extraction) et le FUT (Follicular Unit Transplantation). La première repose sur le prélèvement de bulbes depuis la zone donneuse, et la seconde à l’extraction d’une partie du cuir chevelu à l’arrière de la tête. Vous êtes invité à regarder sur le site les résultats avant/après de l’implant de cheveux.

Les causes de la perte de cheveux

La perte de cheveux concerne aussi bien les hommes que les femmes, et c’est loin d’être agréable. Toutefois, avant de paniquer, il est intéressant de savoir qu’il y a deux situations de chute capillaire : la perte de cheveux temporaire et la perte de cheveux définitive. Dans le premier cas, c’est dû à plusieurs facteurs comme la carence en vitamines ou en fer, l’anxiété, les maladies… On parle alors de renouvellement des cheveux. Vu que c’est un processus naturel, il n’est pas nécessaire de passer par un implant. Le mieux est d’aller chez un professionnel de santé pour avoir un diagnostic concernant l’origine de la chute des cheveux. Après, il propose un traitement. Dans le second cas, il s’agit d’une perte définitive de la chevelure, et c’est là que la greffe peut être envisagée. L’implant de cheveux est réalisé par un chirurgien spécialiste.

Les éléments déterminant l’implant de cheveux

implant capillaire
Crédits : Pixabay

Différents facteurs sont à prendre en compte avant la réalisation de l’implant de cheveux. Il faut avant tout considérer l’âge. Même si on constate une calvitie précoce sur une très grande surface, l’intervention ne pourra être réalisée que si cette calvitie s’est bien stabilisée. Donc, chez les jeunes patients, la greffe de cheveux n’est pas conseillée. L’âge minimum pour faire la chirurgie est de 23 ans. À noter qu’il n’y a pas d’âge maximum, tout dépend de la santé du patient. D’ailleurs, qu’importe l’âge, l’état de santé physique est à prendre en compte. L’implant de cheveux est contre-indiqué pour les personnes souffrant d’épilepsie, de troubles du système cardiovasculaire et de maladies transmissibles comme l’hépatite C et le VIH. Tel est aussi le cas pour les individus atteints de troubles psychologiques ainsi que ceux ayant le trouble anxieux appelé Trichotillomanie.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.