dimanche, juillet 13, 2025
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Quels sont les différents types de cannes de marche ?

La canne de marche est un bâton avec une poignée que l’on emploie pour aider à la marche. Elle est utilisée en raison de problèmes médicaux ou pour éviter d’empirer les soucis de santé. Aide à la mobilité, c’est un accessoire important, et ainsi, il est ainsi essentiel de bien le choisir. C’est d’autant plus important quand on sait qu’il y a différents modèles de cannes de marche en vente sur le marché.

La canne de marche simple

Cette canne de marche est en aluminium, en polymère, en bois…, et elle est faite d’un simple bâton avec une poignée, un fût et un embout antidérapant. Selon votre choix, elle peut être fixe ou pliable pour faciliter son transport. Cette deuxième option est légère tout en étant réglable en hauteur. Que ce soit l’un ou l’autre, c’est le modèle adapté pour les personnes qui ont besoin de plus de sécurité pendant leurs déplacements ou pour celles qui doivent de soulager un membre douloureux ou affaibli. Toutefois, la canne de marche simple ne peut pas supporter tout le poids du corps en raison de sa poignée qui n’est pas assez maintenue même si elle est solide, malléable, glissante et grande.

La canne de marche anglaise

canne de marche
Crédits : Pixabay

Ce type de canne de marche que l’on appelle aussi béquille est réputé pour offrir une meilleure stabilité que le modèle précédent. Il offre un important appui au sol, c’est plus de confort pour l’utilisateur. Il soutient l’avant-bras pour assurer une prise plus forte. Ce modèle est nécessaire quand on ne peut pas poser un pied par terre, car il est capable de supporter tout le poids du corps. Il existe des modèles avec un brassard fixe pour permettre de lâcher la poignée sans devoir poser la canne de marche. Néanmoins, il est indispensable que la poignée soit à la hauteur de la hanche, coude fléchi à 30°. Pour information, la canne de marche anglaise est plus lourde.

La canne de marche quadripode ou tripode

C’est comme une canne simple, mais elle présente 3 ou 4 pieds en acier, c’est ce qui permet de ne pas glisser. Avec elle, la stabilité et l’équilibre sont assurés pendant tous les déplacements, et ce, quoiqu’il arrive. Toutefois, plus les pieds sont écartés, plus il y a une grande stabilité, et donc, une sécurité pour l’utilisateur. Ce modèle est capable de se tenir debout tout seul. Cependant, en raison de son côté volumineux et encombrant, le risque est de se prendre le pied dans la canne. À noter que le modèle tripode est parfaitement adapté pour les personnes hémiplégiques. Pour répondre à tous goûts, il existe des cannes de marche à motifs ou colorées. Aussi, on trouve facilement un modèle à votre dimension.

Les autres différents types de cannes de marche

La particularité de la canne de marche siège est qu’elle possède 4 pieds reliés grâce à une jonction à une assise. Quand on a besoin d’un siège, il suffit de déplier ces pieds. Ce modèle est essentiel pour les individus qui se fatiguent facilement et qui ont besoin de faire une pause après la marche. Notons encore la canne de marche parapluie ayant l’apparence d’un parapluie. Elle est faite pour les personnes qui ne veulent pas que l’on sache qu’elles ont recours à cet accessoire pour marcher. C’est la poignée qui est en forme de canne de marche. Mais en plus d’aider dans la marche, elle se transforme aussi en un vrai parapluie. Il y a encore canne de marche axillaire qui est conçue pour les personnes ayant des troubles au niveau des poignets et des coudes. L’appui est ainsi sous les aisselles, c’est sans se forcer et sans douleur. C’est un modèle qui n’est pas encore très répandu en Hexagone.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.