mercredi, août 27, 2025
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Tout le monde peut-il devenir Taxi à Concarneau ?

Devenir chauffeur de taxi à Concarneau peut être facile, mais cela nécessite des démarches et  formations car ce métier est réglementé.

Après avoir obtenu le permis de conduire, le conducteur doit passer un test de capacité professionnelle.

Après avoir reçu sa carte professionnelle, il doit choisir entre deux options pour effectuer son activité : indépendant ou pour le compte de quelqu’un d’autre ? 

Comment devenir chauffeur de taxi à Concarneau ? 

Tout le monde peut devenir chauffeur de taxi à Concarneau à condition d’être titulaire d’un certificat de capacité professionnelle. 

Pour obtenir ce certificat, il faudra  réussir l’examen organisé par la Chambre des Métiers et de l’artisanat (CMA). L’inscription à l’examen coûte environ 195 euros.

L’inscription se fait via un formulaire qui peut être obtenu directement auprès de la mairie, dont dépend le futur chauffeur de taxi, ou sur son site internet. 

Pour compléter l’inscription, il est nécessaire de fournir les documents avec les formulaires nécessaires tels qu‘une photocopie du recto et du verso de la carte grise et du permis de conduire de catégorie B; une photocopie du recto et du verso de la carte nationale d’identité ou du passeport en cours de validité ; etc. 

Après avoir renseigné quelques informations et fourni les justificatifs demandés, le candidat passe deux types d’épreuves : L’épreuve d’admission générale se compose de questions de connaissances réparties en sept sections.

Après l’admission, les candidats doivent passer un examen pratique : un petit test de 20 minutes doit être préparé, sécurisé et effectué.

Ensuite, l’examinateur évaluera la capacité du candidat à fournir des informations sur le tourisme et la facturation des clients. 

Devenir chauffeur de taxi à Concarneau : une carte professionnelle est indispensable 

La carte VTC est indispensable pour exercer le métier de Taxi Concarneau et est envoyée par la mairie environ 3 mois après la fin de l’examen du certificat de capacité professionnel. 

Elle permet de travailler uniquement sur une branche spécifique. Cela explique le fait que l’examen nécessite une connaissance spécifique du territoire. 

pexels rodolfo clix

Taxis à Concarneau – Avoir une licence de taxi (ADS) 

L’ADS, plus communément appelée « licence de taxi », est obligatoire mais assez compliqué à obtenir. 

Pour résoudre le problème, de nombreux conducteurs ont décidé de louer une licence. 

Pour ceux qui souhaitent avoir leur propre permis, ils pourront l’obtenir gratuitement en s’inscrivant sur une liste d’attente : il faudra peut-être attendre quelques mois ou plus d’un an car les licences sont en nombre limité par secteur.

Devenir taxi à Concarneau : quel statut juridique choisir ? 

Contrairement aux chauffeurs de taxi salariés, les chauffeurs titulaires d’une licence sont des travailleurs indépendants. 

En ce qui concerne le statut juridique, il existe de nombreuses options. Surtout quand il s’agit d’évolution de carrière. 

Cependant, la plupart des chauffeurs de taxi indépendants préfèrent créer leur propre entreprise. En effet, différentes formes juridiques sont possibles et les statuts SASU ou EURL sont très courants. Alors si vous remplissez toutes ces conditions, vous pouvez devenir chauffeur de taxi à Concarneau.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.