dimanche, septembre 7, 2025
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Combien d’années d’étude faut-il pour apprendre le métier de couvreur ?

Le couvreur est le professionnel du bâtiment à qui on fait appel pour réaliser tous les travaux de toiture. Que ce soit pour l’entretien, la réparation ou la rénovation complète de la toiture, le couvreur est l’homme de la situation. Sur une maison, le toit fait partie des éléments essentiels. La personne qui va en prendre soin doit donc posséder toutes les compétences nécessaires. Dans cet article, on va s’intéresser au métier de couvreur. En quoi consiste le métier ? Quelles sont les formations à suivre pour exercer le métier de couvreur ? Et combien d’années faut-il apprendre ?

Le métier de couvreur : en quoi ça consiste ?

Comme cité ci-haut, l’artisan couvreur est un professionnel du bâtiment comme le maçon, le grutier, le charpentier et autres. Cependant, il n’intervient que sur la toiture. Que ce soit sur un ancien bâtiment ou une maison nouvellement créée, le couvreur peut se charger de la réparation et la rénovation des toits. C’est lui qui prépare le support sur lequel les matériaux de couverture vont être posés. Il faut préciser qu’un bon couvreur est capable d’installer tous les matériaux de couverture dont il a à sa disposition (ex : tuiles, zinc, ardoise, bac acier, chaumes, etc.). Outre la toiture, le couvreur peut aussi se charger de l’installation des gouttières, de l’installation des lucarnes (ex ; jacobine, chien assis, etc.), du raccord de souche de cheminée… Pour réaliser tous ces travaux, le couvreur doit travailler en hauteur. Il devra donc ne pas avoir de vertige et respecter toutes les règles de sécurité. Aujourd’hui, il existe deux types de couvreurs : ceux qui travaillent à leur compte et les couvreurs salariés. Que ce soit l’un ou l’autre, ils possèdent tous deux les compétences pour réaliser des travaux de toiture. Pour les trouver, il suffit de faire une recherche sur Google avec les bons mots-clés (ex : artisan couvreur Paris, couvreur saint herblain, etc.).

Les formations à suivre pour devenir couvreur

devenir couvreur
Crédits : Pixabay

Le métier de couvreur requiert certaines compétences. Il est donc important de suivre quelques formations avant d’exercer. Pour devenir artisan couvreur, il faut un diplôme de niveau CAP/BEP. Aussi, il existe des diplômes qui vont jusqu’au BTS ou BAC+2. Ces derniers vont permettre au futur couvreur d’approfondir ses connaissances, mais aussi de se spécialiser. Dans le métier de couvreur, les diplômes les plus connus sont le CAP couvreur accessible dès la troisième. Ensuite, il y a le BP couvreur qu’on peut obtenir deux ans après le CAP et le titre professionnel couvreur zingueur qui s’obtient en plusieurs mois. Enfin, il y a le BTS charpente-couverture qui est accessible après le BP ou le BAC. Pour l’obtenir, il faut suivre une formation de deux ans. En somme, il faut patienter au minimum deux ans avant de devenir un vrai couvreur. Pour ceux qui envisagent d’ouvrir une entreprise spécialisée dans les travaux de toiture, il faut détenir un CAP ou BP couvreur, un CAP étanchéité-bardage, un CAP zinguerie, un CAP ou BP étanchéité du PTP ou un Bac Pro option couverture.

Manon
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Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.