jeudi, septembre 4, 2025
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Découvrez tous les bienfaits du musc Tahara

Dans le secteur de la parfumerie, un produit sort du lot depuis quelques années, ce n’est autre que le musc Tahara. C’est un parfum féminin intime assez épais avec un aspect crémeux et une texture douce, et il est très connu dans la communauté musulmane. Certes, c’est le must-have des femmes du Moyen-Orient, mais il a aussi conquis le trousseau de beauté des femmes des autres pays. Si vous vous demandez pourquoi un tel phénomène, la raison se trouve dans ses bienfaits.

C’est quoi le musc Tahara ?

Le musc Tahara que l’on appelle également musc Abayd ou musc blanc est un parfum intime provenant de l’Orient, notamment des Saoudiennes. Il est produit par un animal nommé chevrotin porte-bouc. Lorsque ce dernier est en rut, il secrète des effluves envoûtants provenant de sa glande abdominale sous-cutanée. Le musc Tahara est employé par les femmes dans certaines situations. C’est un moyen de purification des parties intimes, et il fait partie de la sunnah, une tradition prophétique. Ainsi, on s’en sert après les périodes menstruelles. Les femmes effectuent le ghusl ou grandes ablutions et appliquent sur les parois externes de ses parties intimes le musc Tahara. Selon la tradition, elles doivent humecter un linge propre, y déposer quelques gouttes de ce produit et tapoter légèrement les parois externes de ses parties intimes. Ça leur permet de se sentir fraîche et propre tout au long de la journée, et ce, qu’importe les circonstances. Actuellement, l’extraction du musc intime est interdite, car ça implique la mort de l’animal ainsi, on trouve désormais la version synthétique. Elle est employée dans la parfumerie et dans la fabrication de gels intimes. Sa douceur et son odeur si envoûtante séduisent facilement, c’est un parfum sucré, frais et doux permettant d’en finir avec toutes les odeurs désagréables.

Pourquoi opter pour le musc Tahara ?

musc tahara intime
Crédits : Pixabay

Le musc Tahara est tellement apprécié pour son odeur si raffinée et si agréable et pour son sillage unique. Outre sa senteur exquise, il présente également plusieurs bienfaits pour les femmes. En effet, il est réputé pour arrêter les mauvaises odeurs vaginales. Mais encore, il diminue grandement les sécrétions vaginales, les mycoses et les allergies. Il a des propriétés purificatrices, et c’est pour ça qu’il est employé par les femmes après leurs grandes ablutions. Cependant, il est bon de savoir que le musc Tahara n’est pas un médicament et encore moins un remède contre les pathologies gynécologiques. Il ne doit jamais être appliqué en interne au risque de connaître des lésions ou autres maux désagréables. Quoi qu’il en soit, son utilisation demande quelques précautions, car différents tests cliniques sont parvenus à démontrer qu’il peut être irritant. Pour l’employer correctement, il faut mouiller un chiffon propre d’eau, appliquer le musc Tahara et tapoter en douceur les parties intimes. C’est une application par jour.

À noter qu’il n’y a pas de musc Tahara pour les hommes et pour les femmes, c’est un parfum mixte, et les hommes l’utilisent pour se parfumer. Aussi, sa senteur est différente d’une personne à une autre s’il est utilisé sur la peau, car les sécrétions produites changent la perception de chacun. Mais encore, sa texture est assez épaisse, c’est plus crémeux et plus blanc.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.