samedi, juillet 5, 2025
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Photocopieur analogique ou numérique : lequel choisir ?

Le photocopieur ou copieur est un équipement indispensable dans les bureaux. Avec ce matériel, il est en effet plus facile et plus rapide de reproduire n’importe quel document. Si vous êtes convaincu de l’importance d’un photocopieur, et qu’actuellement, vous envisagez d’acheter un. Sachez que vous trouverez sur le marché deux modèles : analogique et numérique. Pour faire le bon choix, fiez-vous à nos conseils.

Le photocopieur analogique

Le photocopieur analogique copie les documents en petits ou en gros volumes via des techniques électrostatiques à sec qui se base sur la xérographie, une méthode inventée en 1938. Les copies des textes ou des images en noir/blanc ou en couleurs s’obtiennent par la fixation de l’encre sur un tambour chargé de manière électrostatique. Le principal atout de ce modèle est qu’il est facile à utiliser grâce à ses commandes d’impression simplifiées. Parmi les fonctionnalités de base, notons la possibilité d’employer plusieurs chargeurs de documents, les bacs à papiers de différents formats, le recto verso automatique, le tric de documents et l’agrafage. Pour la qualité de résolution, la vitesse d’impression ainsi que le temps de préchauffage, cela diffère d’un modèle à un autre. De plus, son installation est à la portée de tout le monde, et il ne nécessite aucun entretien. Ce modèle est privilégié par les particuliers ainsi que les PME et les TPE, les petites structures avec un besoin minime en reproduction de documents. En effet, il n’est pas multifonction, ses fonctions sont limitées, et il n’est pas connectable au réseau local. Comparé au photocopieur numérique, le modèle analogique possède des fonctionnalités assez limitées, il ne prend en charge que l’impression de documents. En guise d’information, les modèles actuels ont une taille compacte, et c’est ce qui fait qu’ils sont facilement transportables et portables.

Le photocopieur numérique

copieur numérique ou analogique
Crédits : Pixabay

Le photocopieur numérique fonctionne comme le modèle précédent à la différence que la fixation de l’encre ou de la poudre toner utilise une lumière laser. À l’inverse du modèle analogique, il présente de multiples avantages. Il dispose d’un écran tactile de saisie des commandes. Il peut aussi se piloter depuis un ordinateur grâce à la possibilité de mise en réseau. Et encore, certains modèles sont compatibles avec certaines marques de smartphone pour un pilotage à distance. Les propriétés d’impression à distance sont simplifiées par la mise en réseau Bluetooth ou Wi-Fi. Et encore, il offre des fonctions d’impression de fax. Il propose différentes fonctionnalités : agrandissement et réduction d’image, connexion au réseau interne de l’entreprise, fonctions programmables à distance, sauvegarde des documents sur le disque dur interne… En dernier et pas des moindres, la qualité et la rapidité des copies sont bien intéressantes que celles du photocopieur analogique. Cependant, son prix est relativement cher, et son installation demande l’intervention d’un technicien spécialisé. Également, les fonctionnalités de ce matériel professionnel peuvent être complexes à utiliser.

Ces deux photocopieurs présentent chacun des avantages et des inconvénients, mais le choix se fait suivant les spécifications techniques souhaitées et le budget. À préciser que le photocopieur analogique est moins cher qu’un modèle numérique. Il faut bien évaluer les besoins, car rien ne sert d’acheter un modèle haut de gamme qui sera ensuite inexploité.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.