dimanche, juillet 6, 2025
AccueilEmploi et FormationComment devenir ramoneur ?

Comment devenir ramoneur ?

Tout comme le maçon, l’artisan couvreur, le charpentier… le ramoneur est aussi un professionnel qui évolue dans le secteur du BTP. C’est à lui qu’on fait appel quand on a des soucis au niveau des conduits de la cheminée, de la chaudière, etc. La fumisterie, telle est la mission principale du ramoneur. Dans cet article, on va expliquer en quoi consiste le métier de ramoneur. Quels sont les prérequis pour le devenir ? Quelles sont les compétences nécessaires pour exercer le métier de ramoneur ? Et enfin, combien gagne un ramoneur ?

Le métier de ramoneur : tout ce qu’il faut savoir

Connu également sous le nom de fumiste ou chauffagiste, le ramoneur est un spécialiste des conduits de cheminée. En guise de matériels, il utilise souvent des appareils de contrôle et de mesure afin d’établir des diagnostics. Dans son travail, le ramoneur nettoie de fond en comble les installations dans le respect de la réglementation en vigueur. En même temps, il vérifie également le bon fonctionnement des matériels afin de prévenir les risques d’intoxication au monoxyde de carbone et les risques d’incendie. Vrai protecteur de l’environnement, le ramoneur se bat en permanence contre la pollution de l’atmosphère. Il faut préciser que le ramonage ne se fait pas uniquement sur les cheminées. Il travaille également sur d’autres appareils comme les installations fonctionnant au fuel & gaz, les poêles à bois… Il possède également les compétences pour réaliser les installations (ex : pose des carreaux de faïence, travaux de maçonnerie…). Maintenant, la question est celle de savoir comment devenir ramoneur. Peut-on exercer le métier sans diplôme ? On en parle dans le paragraphe qui suit.

Quelles sont les formations à suivre pour devenir ramoneur ?

devenir ramoneur
Crédits : Pixabay

Le métier de ramoneur est accessible à tout le monde. Et ce, même à ceux qui n’ont pas le Bac. En exerçant le métier pendant un an, on peut prétendre la VAE ou Validation des Acquis d’Expérience. Cette dernière permet d’être certifiée auprès du RNCP (Répertoire National des Certifications Professionnelles). Par contre, pour ceux qui ont exercé le travail plus de trois ans, ils obtiennent de plein droit le titre de maitre ramoneur. Pour cela, il faut s’adresser au CMA (Chambre des Métiers et de l’Artisanat). Outre les certifications, le métier de ramoneur requiert aussi des compétences. Il y a d’abord les compétences techniques en électricité, en chauffage ou encore en constructions. Ensuite, il y a les compétences communicationnelles. Ces dernières sont plus qu’importantes pour communiquer avec les clients. Après, le ramoneur doit également être bien organisé et rigoureux. Pendant la réalisation des travaux, il devra assurer la sécurité de ses clients. Enfin, il devra avoir une bonne condition physique. En effet, il devra travailler en hauteur la plupart du temps. Autrement dit, il aura à déplacer des matériels lourds. Concernant le salaire, on peut dire que le ramoneur gagne très bien sa vie. En effet, ce dernier peut gagner entre 1 500 et 4 000 euros par mois. Les ramoneurs qui travaillent à leur compte quant à eux peuvent gagner beaucoup plus.

Manon
Manon
Je m’appelle Manon, j’ai 31 ans et je termine actuellement mon Master d’ingénierie informatique à l’École 42 Sud. Entre deux sprints de code et trois cafés serrés, je tiens Circuit Féminin, un blog où je décortique l’actualité high‑tech avec la curiosité d’une hacker‑en‑herbe et l’enthousiasme d’une gosse devant un distributeur de composants. Mon parcours express DUT Informatique à Montpellier : j’y ai appris que git push --force peut briser des amitiés. Année sabbatique dans une start‑up IoT à Berlin : j’y ai découvert le pouvoir d’un Raspberry Pi sur une serre connectée. Retour en France pour un Master spécialisé en cybersécurité, IA embarquée et design d’API. Pourquoi j’écris ? Parce que l’actu high‑tech file plus vite qu’un script Python mal optimisé. Mon blog me sert de « logbook » : je mets noir sur blanc ce que j’apprends, je démystifie le jargon et j’invite les curieux à saisir le tournevis numérique. Mes terrains de jeu favoris Cybersécurité du quotidien : comment patcher, chiffrer, dormir tranquille. Edge AI & Tiny ML : faire tenir un réseau de neurones dans une montre connectée. Eco‑hardware : low‑power n’est pas low‑fun ; vive RISC‑V et le recyclage de cartes. Développement back‑end moderne : APIs REST vs GraphQL, guerre froide à portée de commit. UX inclusive : parce qu’une interface qui ignore la diversité finit toujours par bugger socialement. Mon style en trois lignes Premier degré pédagogique : j’explique comme si ma grand‑mère voulait coder un bot Telegram. Second degré geek : gifs, memes et punchlines, mais jamais aux dépens de la rigueur. Troisième degré engagé : open‑source, éthique et accessibilité ; sinon, à quoi bon innover ? En dehors du clavier Je retape de vieux amplis à lampes, j’apprends le japonais grâce à une appli que j’ai forkée, et je cours des semi‑marathons avec un tracker maison imprimé en 3D – rien que pour grapher ma VMA sur Grafana. Rejoins‑moi sur N9ws.com ! Que tu veuilles monter ta première stack Kubernetes ou juste comprendre pourquoi ton smartphone chauffe comme un four à pizza, je t’embarque dans mes explorations. La tech n’a jamais été aussi exaltante – et elle est encore meilleure quand on la raconte ensemble.