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Yves Wespisser : les bornes de recharge électrique doivent-elles être une priorité nationale
Ces dernières années, les Français sont de plus en plus attirés par les voitures électriques. En mars 2021, Avere-France a comptabilisé plus de 540 000 voitures hybrides et électriques en circulation dans toute la France. Il faut noter que ce sont les aides à l’achat (prime de conversion / prime à la casse) qui ont permis à ce marché de se développer. En même temps, le gouvernement français a aussi instauré des mesures ayant pour objectif d’inciter les Français à se tourner vers des voitures plus respectueuses de l’environnement. Mais sans borne de recharge électrique, il ne peut pas y avoir de voiture électrique. Dans cet article, la question est de savoir si les bornes de recharge électrique doivent être une priorité nationale ou non.
Les bornes de recharge électrique : comment fonctionnent-elles ? par yves wespisser
Selon yves wespisser, on compte plus de 30 000 bornes de recharge électrique en France métropolitaine. A cela s’ajoutent les bornes de recharge proposées par les stations-services, les centres commerciaux, etc. Mais comment fonctionne la borne de recharge électrique ? Eh bien, c’est un équipement qui permet de recharger la voiture électrique. Elle est composée de plusieurs composants : socle de prise, module de contrôle, lecteur de badge, compteur électrique et un scanner QR code. Le fonctionnement de la borne de recharge électrique est toute simple. Tout comme le chargeur d’un smartphone, elle envoie de l’énergie au chargeur embarqué de la voiture. Ce chargeur va ensuite transférer cette énergie vers la batterie. Contrairement à une simple prise, la borne est équipée d’un dispositif de protection qui protège non seulement l’installation électrique, mais aussi la voiture. Les utilisateurs de voiture électrique ont aujourd’hui la possibilité d’installer une borne de recharge électrique directement chez eux, de recharger leurs voitures sur un parking d’entreprise, dans les aires d’autoroutes…
Les bornes de recharge électrique doivent-elles être une priorité nationale ?
C’est le gouvernement qui incite la population à se tourner vers les voitures hybrides et électriques. Toutefois, pour que cela se réalise, il faudrait faire de l’installation de borne de recharge électrique une priorité nationale. En effet, si tous les Français en âge de conduire décident de rouler en électrique. Les quelques 30 000 bornes de recharge éparpillées un peu partout en France ne seront pas suffisantes. Au minimum, il faudrait installer trois fois plus pour assurer les besoins. Maintenant, la question est de savoir combien coûte de charger sa voiture sur une borne électrique. Eh bien, cela varie selon l’endroit. Si certains sont gratuits, d’autres coûtent deux à trois fois plus cher que la recharge à la maison. Mais si le nombre de bornes de recharge électrique augmente, le coût va sûrement diminuer. Dans les années à venir, le gouvernement envisage d’installer encore plus de bornes de recharge électrique. L’objectif étant non seulement de servir les conducteurs de voitures électriques, mais aussi de réduire les émissions de GES (Gaz à effet de serre). Pour en savoir davantage sur le sujet, yves wespisser est disponible pour répondre à toutes les questions. Il suffit de visiter le profil qui suit https://fr-fr.facebook.com/public/Yves-Wespisser.
Comment fonctionne une imprimante 3D ?
L’imprimante 3D est une véritable révolution technologique. D’ailleurs, elle est de plus en plus utilisée dans divers secteurs d’activité, mais nombreux sont aussi les particuliers qui s’y intéressent réellement. Si vous envisagez d’en acheter une, le mieux ne serait-il pas de bien comprendre d’abord son fonctionnement ! Pour tout savoir sur l’imprimante 3D, vous êtes invité à poursuivre votre lecture.
L’impression 3D, c’est quoi exactement ?
À l’inverse du meulage et du fraisage, l’impression 3D repose sur la fabrication additive. C’est le fait d’ajouter des matières par couche. Le principe est le même qu’importe le champ d’application, il y a une superposition de petites particules pour créer l’objet en 3D. Elle permet la matérialisation digitale en trois dimensions selon l’axe X, Y et Z grâce à un scanner 3D. L’utilisation de l’impression 3D est avantageuse. Avant tout, elle fait gagner du temps dans la réalisation d’un prototypage rapide tout en garantissant une production efficace. Aussi, elle optimise la matière première, ce qui évite les pertes que l’on constate avec les machines traditionnelles.
Le fonctionnement de l’imprimante 3D
Pour marcher, l’imprimante tridimensionnelle comprend différents éléments avec chacun leurs propres rôles. Il y a le consommable, il faut faire l’achat de filaments 3D, de poudre ou de résine. Après, on trouve le fichier du modèle 3D sous forme STL comme OBJ ainsi que le slicer. Ce dernier guide l’appareil via un fichier d’impression G-code. Il faut aussi un ordinateur. Afin de réaliser une impression 3D, on doit d’abord envoyer le modèle à l’imprimante. Grâce à cela, elle peut identifier l’objet à matérialiser. Ensuite, il faut introduire dans le slicer le filament afin de procéder à son chauffage sur le plateau d’impression et à son découpage en particules fines. Puis, les particules produites vont se superposer pour être imprimées.
Les diverses techniques d’impression 3D
On trouve plusieurs techniques d’impression 3D, mais seulement 3 d’entre elles sortent du lot. Il s’agit du dépôt de matière fondu avec un filament, de la polymérisation lumineuse avec de la résine et du frittage laser ou fusion avec la poudre.
- Le dépôt de matière fondu avec un filament: Cette technique aussi appelée FDM (Fused Deposition Modeling) comprend plusieurs éléments. On parle de la mémoire de masse avec le G-code pour guider le slicer, des composants électroniques pour le contrôle de l’imprimante 3D, des 3 moteurs, de la tête d’impression (moteur, résistance chauffante, ventilateur et buse), de la bobine de filament et du cadre ou châssis pour le maintien de l’ensemble. Différents filaments peuvent être utilisés : cuivre, PLA, ABS, PETG, nylon, bronze ou TEP flexibles.
- La polymérisation lumineuse avec de la résine: Les imprimantes 3D avec cette technologie sont plus onéreuses, car la résine coûte cher. Selon l’outil de polymérisation, il y a 3 formes : laser UV, lampe de projection UV et écran lumineux UV. Pour les composants de l’imprimante 3D, notons la mémoire de masse, le châssis, la carte électronique et le plateau chauffant. Il y a encore le réservoir de résine et l’écran d’impression.
- Le frittage laser ou fusion avec la poudre: Ce type d’imprimante 3D est plus précise, de la sorte, il est plus cher. Le consommable se décline sous différentes formes : céramiques, métalliques ou thermoplastiques. Cette machine est dotée des mêmes éléments que le premier modèle, à la différence de la présence d’un bac d’impression pour accueillir la poudre, du laser pour la faire fondre et de la lentille de réflexion.
Les avantages de l’imprimante 3D
Pour les particuliers, l’imprimante 3D permet la création de divers objets utiles au quotidien. Il est ainsi possible de concevoir avec cet appareil des jouets, de la vaisselle… Avec sa grande précision, on peut même réaliser des objets complexes et techniques. C’est le parfait outil pour le développement de la créativité. L’imprimante 3D est également utile dans la réparation des objets cassés. S’il y a une pièce défectueuse sur n’importe quel appareil, il suffit de la modéliser sur l’ordinateur et de laisser l’imprimante 3D effectuer sa reproduction exacte. Toutefois, cette machine révolutionnaire a quelques limites. Il y a la limite quant à la matière utilisée. Jusqu’à maintenant, on ne peut créer avec que des objets en plastique, car cette matière fond à partir de 130° alors que le métal demande une température de fusion de 1000°. L’autre limite concerne la taille de l’objet, mais on peut quand même fabriquer un plus grand objet en le concevant plusieurs fois.
Comment bénéficier d’un crédit d’impôt famille pour les frais de crèche ?
Concilier la vie familiale et la vie professionnelle n’est pas de tout repos. Cela l’est encore moins lorsque les parents ont des enfants en bas âge et qu’ils travaillent en dehors de la maison. Pour la plupart, la solution la plus simple est de recourir aux services d’une crèche d’enfants.
Toutefois, bien que ces établissements soient très avantageux, ils représentent des frais supplémentaires sur le budget familial. Afin de soutenir financièrement les parents, l’État a mis en place des aides comme le crédit d’impôt famille.
Pour en profiter, certaines conditions sont requises. Découvrez comment bénéficier d’un crédit d’impôt famille pour les frais de crèche !
Le crédit d’impôt famille : de quoi s’agit-il ?
Mis en place en 2004, le crédit d’impôt famille abrégé en CIF est une aide qui est accordée aux parents par les pouvoirs publics. Il leur permet de profiter d’un allégement notable sur les frais liés à la garde de leurs enfants en bas âge : 50 % des frais de garde annuels sont pris en charge.
Il faut savoir que le montant total est plafonné à 2 300 euros par an et par enfant. S’il s’agit d’une garde alternée, la prise en charge est de 1 150 euros. Le crédit d’impot famille est un coup de pouce fiscal mis en place pour aider les employés à mieux concilier la vie privée et celle familiale.
Cette aide s’adresse à tous les parents, qu’ils soient salariés ou non. Les grands-parents ayant leurs petits enfants à charge sont aussi concernés à condition que leur enfant majeur soit rattaché au foyer fiscal.
Le crédit d’impôt famille est également mis en place pour inciter les entreprises à soutenir leurs employés. À cet effet, toutes les structures qui sont soumises à un régime d’imposition réel ou simplifié sont concernées par cette aide.
Le dispositif est pareillement accessible aux sociétés civiles immobilières. Dans les deux cas, l’entreprise doit employer au moins un personnel. Il n’existe aucune spécification quant au secteur d’activité.
Quelle est la procédure pour en bénéficier ?
Pour bénéficier du crédit d’impôt famille, il faut remplir certaines conditions. L’enfant concerné doit avoir moins de 6 ans le 1er janvier de l’année d’imposition et être à la charge de celui qui fait la demande.
Il doit être gardé dans un établissement d’accueil d’enfants de moins de 6 ans ou par une assistante maternelle agréée. Si ces conditions sont remplies, le parent est alors éligible au crédit d’impôt Famille. Notez que le CIF est imputé sur l’impôt sur les bénéfices de l’entreprise.
Il faut donc établir une déclaration « crédit d’impôt famille 2069 -FA-SD ». Elle sera jointe à celle des revenus complémentaires 2042-C-PRO s’il s’agit d’une société soumise à l’impôt sur revenu ou au relevé de solde de l’impôt sur les sociétés 2572 -SD si la structure est soumise à l’IS.
Le montant à déclarer pour obtenir le crédit d’impôt famille concerne uniquement les frais qui sont liés à la garde. Faites attention à ne pas y inclure les frais de nourriture par exemple.
La cigarette électronique pré-remplie, une nouvelle forme de consommation de la nicotine
Jusqu’à maintenant, deux modèles de consommation existaient principalement concernant la nicotine. La première concerne la cigarette classique, achetée dans des paquets et jetable. La seconde, la e-cigarette, fonctionnant sur batterie et dotée de différents e-liquides. Enfin, il existe désormais une cigarette à la fois électronique et jetable, pour une consommation plus ponctuelle.
L’apparition de la cigarette électronique pré-remplie
Créée en 2019, les cigarettes électroniques pré-remplies (ou puff jetable) sont à usage unique. Son apparence très compacte et son fonctionnement offre aux consommateurs une nouvelle façon de consommer, plus ponctuelle et moins engageante sur la durée que la cigarette électronique rechargeable.
Nous allons d’ailleurs nous intéresser à ses différentes caractéristiques plus en détail.
L’aspect jetable de la cigarette électronique pré-remplie
Comme énoncé précédemment, la cigarette électronique pré-remplie est jetable, et ce, malgré la présence d’une batterie. Ce qui s’avère quelque peu étonnant dans une période où l’environnement est plus que jamais au centre de l’attention. Néanmoins, quelques-uns de ses composants sont recyclables, dont la batterie, pour peu que la e-cigarette soit jetée dans un bac de collecte DEEE destiné aux petits appareils électriques et électroniques en tout genre. Ce type de bac est trouvable dans la plupart des grandes surfaces.
La présence de nicotine
La cigarette électronique pré-remplie est certes un nouveau produit, mais il demeure une e-cigarette chargée en nicotine.
Ce produit peut provoquer le même effet de dépendance que les autres produits à base de nicotine comme n’importe lequel de ces concurrents. De ce fait, il est important de rappeler qu’il s’agit bel et bien d’un produit interdit aux mineurs, qui peuvent malheureusement être attirés par l’aspect de nouveauté qui se dégage d’un tel produit.
Des arômes et un prix abordable
La cigarette électronique pré-remplie propose, à l’instar de la e-cigarette, des saveurs différentes. On peut notamment noter des goûts fruités comme les fruits rouges, la pastèque, la mangue ou le raisin. Ce qui rend le produit d’autant plus attractif, en plus d’un prix abordable souvent compris entre 5 € et 10 €. Il est donc relativement aisé d’expérimenter ce produit qui s’avère de ce fait bien moins coûteux que l’achat d’une e-cigarette, du moins sur le court terme.
Ainsi, la cigarette électronique pré-remplie a de nombreux aspects, certains plus intéressants que d’autres, qui rappellent à la fois qu’il s’agit d’un produit unique, mais aussi qu’il n’est pas si différent que ça de ses concurrents.
Décapage béton : à quoi sert ce processus ?
Le béton est un matériau connu pour être solide et durable sur le long terme. Malgré une telle robustesse et longévité, un entretien régulier du béton est toujours nécessaire de manière à ne pas détériorer le matériau, et ainsi, l’état de la construction. Il faut savoir que les résidus nocifs, une fois posés sur les surfaces du béton, vont contribuer à nuire à la solidité du béton. Quel que soit le type de construction concernée, un décapage béton est toujours de rigueur, de manière à préserver son état.
Pourquoi avoir recours au décapage de béton ?
Si l’état d’une construction s’est détérioré notamment à cause de saletés et de matières nocives incrustées sur les surfaces du béton, dans ce cas, il est indispensable d’avoir recours au décalage de béton. Cela va permettre, en effet, de non seulement se débarrasser de tout ce qui peut nuire au matériau, mais aussi, de préserver la propreté du site et de l’environnement. Dans ce cas, le décalage béton peut être considéré comme un processus d’entretien. Également, l’on considère le décapage béton comme une étape indispensable dans un processus de réparation. Que ce soit un pont autoroutier, un tunnel SNCF, un parking souterrain, ou encore, un ouvrage d’art, le décapage béton est une opération qui s’impose en cas de besoin. Il faut, en effet, savoir que le décapage de béton permet également d’assembler le béton projeté en fibre de carbone. Cette intervention doit, bien évidemment, être réalisé par un professionnel. En outre, grâce au décapage béton, le béton sera à la fois, entretenus, mais aussi, réparé et renforcé.
Qui peut réaliser un décapage béton ?
L’intervention d’une équipe d’experts en matière de décapage béton s’impose pour la réalisation de tous vos travaux sur site. Le décapage béton est un processus qui nécessite des compétences et une maîtrise technique du sujet. Il s’agit non seulement de disposer du savoir-faire nécessaire, mais aussi d’être réactif. En cas d’imprévu, le professionnel saura comment réagir et comment faire pour éviter qu’un désastre ne se produise. Si, par exemple, le besoin de renforcer la structure en béton d’un immeuble se présente, il est vivement conseillé de confier le projet à une entreprise spécialisée en matière de décapage béton. Les besoins ne sont pas les mêmes en fonction de chaque structure en béton et/ou de chaque infrastructure. Par conséquent, l’idéale, c’est de prendre contact directement avec les spécialistes pour évaluer vos réels besoins.
Quelles sont les techniques de décapage de béton ?
Il existe deux techniques de décapage très utilisé et appréciées pour le nettoyage de couches de peinture, de corrosion, de pigments, de cire et/ou de vernis sur les surfaces en béton. Ce sont le sablage et l’utilisation d’un décapant.
Le sablage
Le sablage au jet permet de traiter une grande surface en béton. Cette technique de décapage consiste à utiliser de la propulsion d’abrasifs pour nettoyer le béton. Ainsi, on utilise également un compresseur à air. Avec cette méthode, la peinture et les résidus s’enlèveront facilement qu’importe leur ténacité. Le sablage au jet offre de nombreux avantages. En l’occurrence, la qualité du résultat qui est très satisfaisant. En effet, le sablage est une méthode de décapage de béton hyper performant et efficace. Ce procédé permet d’optimiser la longévité du béton, mais aussi, sa fonctionnalité. Il permet de préparer les surfaces en béton, en vue d’une réparation. À noter que le sablage permet également d’enlever la rouille. Le sablage permet, alors, de donner une seconde vie aux surfaces et aux structures en béton.
Il s’avère efficace quelle que soit l’envergure du projet. La réalisation d’un sablage est vivement recommandée, voire, indispensable pour les projets industriels ou résidentiels. Il faut noter que ce processus doit absolument être réalisé dans un environnement sécurisé et avec des équipements spécifiques. Seuls de vrais experts pourront réaliser un sablage efficace et de qualité.
Il existe une grande sélection d’abrasifs à utiliser pour le sablage de béton. Ces abrasifs doivent être choisis en fonction des besoins et de l’envergure de chaque site. C’est d’ailleurs pour cela que le sablage est aussi polyvalent. Avec le sablage, il y a toujours une solution adaptée pour chaque travail de décapage. Que ce soit pour projeter du silicate de fer, des billes d’acier, du verre recyclé, du sable, etc.
Utiliser un décapant
Le décapant, par contre, est idéal pour la préparation de petites surfaces. Si le travail consiste à nettoyer une couche de peinture sur une surface en béton, l’application directe d’un décapant chimique permettra d’obtenir un résultat plus efficace. Pour ce faire, il suffit de se munir du décapant, puis de le verser sur la surface en béton que vous souhaitez nettoyer. Ensuite, il faudra attendre quelques heures pour que le produit agisse de manière efficace. Le choix du décapant est une étape essentielle pour ne pas abîmer le béton. Une fois de plus, il est conseillé de demander conseil à un professionnel ou de lui confier la réalisation du décapage de béton.
Comment passer des vacances inoubliables en Tunisie ?
Vous ressentez le besoin de vous évader mais vous ne savez pas où partir. La Tunisie fait partie des destinations les plus appréciées des voyageurs. Si vous êtes à la recherche de dépaysement, c’est le bon endroit. Si vous vouliez de l’inédit, vous pouvez vous pavaner dans le désert à dos de dromadaire. Vous rêvez de vous faire dorloter dans les hammams les plus cotés du pays. Découvrez tout au long de cet article les choses à ne pas manquer ainsi que les lieux à visiter.
Où séjourner ?
Votre choix est fait, c’est bel et bien en Tunisie que vous allez poser vos valises. Le temps de votre séjour, vous voulez avoir accès au plus de choses possible (restaurants, animations, visites…) sans faire trop de kilomètres. Plusieurs hôtels en Tunisie par Iberostar proposent des séjours complets. Avec un climat aride, la majorité des hôtels possèdent une piscine. Bordant la mer, vous avez le choix entre le transat de la piscine ou faire le plein de vitamine D sur le sable.
L’île de Djerba est de loin la première destination du Maghreb. Cette île regorge de surprises, autant vous pourrez vous épanouir et profiter pleinement de la beauté des paysages, autant vous pourrez vous enrichir culturellement en visitant le Musée des arts populaires. C’est également un lieu réputé pour y faire l’expérience magique de la plongée sous-marine.
Les sorties à ne pas manquer
Si vous séjournez dans le sud de la Tunisie, vous ne pouvez pas manquer l’Explore Park de Djerba. Parmi les différentes plantes exotiques, venez découvrir les crocodiles. Dans la réserve, vous aurez peut-être la chance de voir naître de petits bébés crocodiles. Dans un registre plus culturel, vous pourrez visiter de nombreuses mosquées. Au centre de la Tunisie, classée au patrimoine de l’UNESCO, la Mosquée Okba Ibn Nafaa vous accueille au cœur de ses longs couloirs.
Au sud de la Tunisie, venez traverser la porte du Sahara. En 4X4, à pied ou en dromadaire, traversez le désert et ses dunes de sable le temps d’une excursion dans l’oasis de Douz. Le site archéologique de Dougga situé à une centaine de kilomètres de Tunis est également classé au patrimoine de l’UNESCO. Venez vous balader entre les vestiges d’une ancienne colonie romaine magnifiquement conservée. Pour admirer des dunes à perte de vue, la ville de Tataouine dispose de la splendide oasis de Ksar-Ghilan.
Pour voir des palmiers par centaine, l’oasis de Tozer vous ouvre les portes des jardins du paradis. Une fois sur place, faites un petit détour par le zoo de Tozer, vous ferez la rencontre de nombreuses espèces d’animaux du désert. La ville de Matmata renferme bien des surprises. Laissez-vous surprendre par sa cité troglodyte qui compte encore quelques habitants parmi ses murs.
À environ 60 kilomètres de la ville de Sousse, venez admirer le gigantesque amphithéâtre d’El Jem. Pouvant contenir jusqu’à 30 000 spectateurs à l’époque, il fait partie des plus grands de l’Empire romain.
Les plus grandes villes de Tunisie
La ville de Tunis, capitale du pays, est le centre économique du pays. Elle est également qualifiée comme l’une des plus belles villes d’Afrique. La ville de Sfax est la deuxième plus grande ville de Tunisie. Elle abrite un joli port. Entre marchés, musées et sites archéologiques, vous pourrez profiter pleinement de vos vacances. La ville de Sousse, quant à elle, vous offre la possibilité d’une jolie promenade sur la corniche. En revanche, évitez le souk. Malheureusement, l’insistance pénible des vendeurs peut transformer ce moment de détente en calvaire. Dans la ville de Gabès, le commerce des épices ainsi que la culture des dattes doivent faire partie de votre promenade.
Sur le podium des villes les plus fréquentées, vous retrouvez la ville d’Hammamet. En étant proche du désert, elle vous surprendra par la richesse de vergers de citronniers et d’orangers. Les poteries présentes sur les marchés font également partie de la richesse d’Hammamet. Venez admirer l’architecture des maisons de Djerba. Ses habitations blanchies à la chaux donnent ce cachet si particulier aux pays du Maghreb.
Conclusion
Maintenant que vous connaissez tous les petits plaisirs que propose la Tunisie, il ne vous reste plus qu’à préparer vos bagages. Qu’il s’agisse d’un séjour organisé pour le travail ou bien d’une romance avec votre partenaire, vous trouverez à coup sûr votre hôtel. Promenades sur la plage ou dans le désert, sur un buggy ou à dos de dromadaire, il ne tient qu’à vous de choisir. Vous pouvez par ailleurs programmer de merveilleuses vacances avec votre famille. La Tunisie riche de sa culture et de sa cuisine saura réveiller vos papilles gustatives. Dégustez un authentique couscous ou un tajine et finissez votre repas avec les délicieuses pâtisseries tel que le Makroudh. Vous aurez du mal à quitter ce lieu si dépaysant. Alors, les valises sont-elles prêtes ? Le soleil et le sable fin n’attendent que vous !
Qu’est-ce que la décarboxylation du CBD ?
Les consommateurs de CBD savent ce qu’est la décarboxylation, mais c’est un mot inconnu pour les nouveaux dans ce monde. En effet, on fait cela avant d’utiliser en infusion ou en cuisine les fleurs de CBD. Pour tout savoir sur la décarboxylation du CBD, vous êtes invité à poursuivre votre lecture.
L’importance de la décarboxylation du CBD
Avant sa consommation, le CBD ou cannabidiol doit être décarboxylé. C’est important, car la plante crée les cannabinoïdes, les principes actifs produits naturellement, sous leur forme acide. La décarboxylation permet l’activation de ces cannabinoïdes afin que les consommateurs puissent ressentir leurs effets pendant la consommation. Concrètement, c’est une réaction chimique où il faut supprimer par chauffage le CO2 (dioxyde de carbone). Elle change donc la structure chimique de la molécule. Le but de la décarboxylation du cbd est de profiter d’effets différents. Ainsi, afin de bénéficier de tous ses bienfaits, il faut passer par cette étape. Par contre, si on le vapote, la température de l’accessoire utilisé assure la décarboxylation. De plus, lorsqu’on chauffe les fleurs de CBD plus longtemps et à basse température, il y a de meilleurs résultats.
La décarboxylation naturelle du CBD
Beaucoup de consommateurs de CBD ne savent pas, mais il n’est pas toujours nécessaire de passer par la décarboxylation du CBD. C’est le cas si on fume les fleurs de CBD ou vapote l’e-liquide au CBD, car il y a déjà une décarboxylation naturelle. Ce processus chimique se passe donc quand on fume ou inhale, et cela libère des cannabinoïdes particulièrement actifs. Ainsi, cela n’arrive pas quand on consomme le CBD. Il faut passer par la décarboxylation. Pour information, même si la consommation du CBD est parfaitement légale, fumer ses fleurs reste tout de même interdit, car leur combustion dégage plusieurs toxines néfastes pour la santé. Ainsi, on recommande de préparer le CBD sous forme d’infusion, d’huile, de cristaux…, mais il faut le décarboxyler. Sans ce processus chimique, le CBD n’aura aucun effet, et c’est souvent l’erreur du débutant. Certains abandonnent alors que d’autres attendent les effets ou augmentent les doses.
Comment décarboxyler le CBD ?
Pour décarboxyler le CBD, c’est simple et à la portée de tous. Il suffit de posséder un four, une feuille de papier de cuisson, un grinder et des fleurs de CBD. On commence à préchauffer le four entre 110 et 120°, c’est 90° si c’est un four à chaleur tournante ou un four traditionnel. En attendant, on émiette les fleurs de CBD grossièrement, et on les étale sur la plaque recouverte de papier cuisson. Ensuite, on enfourne une quarantaine de minutes en retournant régulièrement les miettes. À l’ouverture du four, on doit sentir une odeur âcre sinon, on les laisse encore dedans plus longtemps. Une vérification est à faire toutes les 2 ou 3 minutes. Pour ne pas brûler les fleurs de CBD par accident, on peut avoir recours à un thermomètre de cuisine. Cela évite les variations de température. Quand elles sont bien décarboxylées, on peut les utiliser comme on veut.
Les autres moyens pour décarboxyler le CBD
À défaut de four, il existe également d’autres façons de décarboxyler les fleurs de CBD. Il y a l’utilisation du micro-ondes, mais il faut les vérifier plus régulièrement pour ne pas qu’elles ne brûlent. Il faut les broyer et les mettre dans un bol. On les recouvre après d’un autre bol. Ensuite, on fait cuire 1m30, et on réitère l’opération 3 fois. Cela a pour but de garder les arômes et les saveurs. Sinon, il est aussi possible de décarboxyler le CBD avec un sac sous-vide. Les fleurs broyées sont à mettre dans un sac scellé sous-vide, et on met au bain-marie à 100° durant une bonne heure.
Pourquoi les entreprises réservent des places en crèche pour leurs employés ?
La majorité des salariés rencontrent le même problème une fois parents. La vie entrepreneuriale est chronophage et le temps allouable à leurs nouveau-nés est limité. Pour remédier à ce problème, certaines sociétés collaborent avec des crèches spécialisées et y réservent des places pour les enfants de leur main d’œuvre. Découvrez ici les bénéfices de cette pratique.
Une amélioration notable des performances au travail
Les salariés récemment devenus parents ont des difficultés à trouver un équilibre entre vie privée et professionnelle. Ils se soucient constamment du bien-être de leurs enfants et sont incapables de pleinement se concentrer sur leur travail. Dans de telles conditions, le risque d’erreurs est considérable.
Contacter un service spécialisé en inscription crèche vous permet de pallier ce problème. Les employés ont la possibilité de garantir la sécurité de leurs enfants et retrouvent une totale sérénité d’esprit. De plus, selon la distance entre les locaux et la crèche, ils sont libres de passer leurs heures de pause en famille. Il en résulte une amélioration de l’atmosphère au sein de l’entreprise et un accroissement potentiel de leur productivité.
Un environnement propice au développement des enfants
Les enfants sont les principaux bénéficiaires de cette démarche. En premier lieu, ils se retrouvent dans un cadre idéal pour leur développement. La crèche prévoit des jouets, des attractions et une pluralité d’activités selon les tranches d’âge et les préférences de ses résidents.
Ensuite, le personnel est impeccable. Les différents agents sont patients, expérimentés et capables de gérer les caprices des plus jeunes. Enfin, il s’agit d’un environnement sécurisé. L’équipement est sans risques et les enfants sont constamment sous surveillance. L’institut établit également un set de règles précis afin d’éviter les intrusions.
L’existence d’avantages fiscaux considérables
L’entreprise verse une somme considérable dans le cadre de la réservation des places en crèche. Heureusement, l’État prévoit un certain nombre de compensations fiscales désignées pour combler ces dépenses.
La première et la plus importante, c’est le Crédit Impôt Famille. Elle s’applique lorsqu’une société décide d’assurer le placement en crèche des enfants de ses employés. L’État procède alors au calcul des dépenses engendrées et les rembourse à hauteur de 50 %.
De plus, il est possible de classifier le placement en crèche parmi les charges d’exploitation. Cela vous permet de bénéficier d’un abattement fiscal considérable. Il faut tout de même noter que la valeur de la déduction ne saurait excéder les 25 % du coût total. Il existe également une alternative pour les entreprises non fiscalisées. En effet, ces dernières jouissent d’une aide annuelle de 2500 € via la Convention Territoriale Globale.
Un système adapté aux circonstances des salariés
Les crèches se montrent très compréhensives avec les employés. Chaque inscription est légalisée via un contrat. Parmi les clauses, la crèche stipule que l’employé est libre de retirer son enfant en cas de déménagement, de mutation ou pour toute autre raison jugée plausible. En outre, les frais imposés sont négociables et adaptables à la capacité financière de chacun. L’objectif est de créer un système favorable à la main d’œuvre et de motiver le placement de ces bouts de choux.
Pourquoi la sécurité informatique en entreprise est primordiale ?
Avec l’avènement des nouvelles technologies les entreprises se retrouvent exposées à des risques de piratages informatiques. Heureusement pour elles, il est possible aujourd’hui de prendre des mesures pour assurer la sécurité informatique.
Le monde moderne offre aux entreprises des possibilités de communication sans précédent, mais qui ne sont pas, pour autant, dénuées de risques. En effet, l’utilisation de l’informatique et d’Internet expose les entreprises aux risques d’actes malveillants à leur encontre. C’est pourquoi la sécurité informatique est primordiale pour les entreprises.
Qu’est-ce que la sécurité informatique ?
La sécurité informatique consiste à protéger les données informatiques et les réseaux d’une entreprise contre tout risque d’intrusion au sein du système d’information. Elle peut être déployée en interne ou en externe en confiant la gestion de la sécurité informatique à un prestataire chargé d’assurer la protection informatique.
Généralement, les principaux moyens utilisés pour protéger le système informatique sont les logiciels antivirus, les logiciels antispam et les pare-feu. D’autres mesures visant à responsabiliser le personnel de l’entreprise peuvent (et doivent) être mises en place pour diminuer les risques de piratage.
Pourquoi la sécurité informatique est-elle essentielle en entreprise ?
Dans le monde informatique actuel, la question n’est pas de savoir comment mettre en place la sécurité informatique, car une fois que vous aurez compris pourquoi et quels sont les atouts de la sécurité informatique, il est certain que vous ferez le nécessaire pour y recourir. Comme nous l’avons dit en préambule, les impacts sur une entreprise non protégée peuvent être énormes. Voici quelques-unes des raisons qui militent pour la mise en place d’une protection informatique :
- Assurer une protection des données : Chaque année, les cyberattaques augmentent et les pirates informatiques se spécialisent un peu plus en ciblant les entreprises non protégées. Ce simple constat devrait inciter les entreprises à prendre conscience des dangers qui sont les leurs. Grâce à une bonne protection informatique, les entreprises protègent leurs données, mais également celles des personnes, car dans certains corps de métier, elles possèdent des données personnelles qui doivent rester confidentielles pour être en conformité avec le RGPD (Règlement Général sur la Protection des Données).
- Donner une image positive de la société : La protection informatique permet à une entreprise comme nous venons de le voir de ne pas s’exposer aux risques de vols de données personnelles qui peuvent conduire à des procès et à des amendes qui nuisent à l’image de la société condamnée. Par ailleurs, une entreprise dont l’activité est perturbée par des sites inaccessibles ou un système caisse défectueux pendant un temps, jouit d’une défiance de la part de ses clients qui n’ont plus confiance en elle.
- Préserver les intérêts économiques de l’entreprise : Lorsqu’une panne survient dans le système informatique, l’activité de l’entreprise peut être arrêtée provisoirement, ce qui peut impacter financièrement l’entreprise par une perte de chiffre d’affaires. Par ailleurs, si les données sont perdues, les pertes financières occasionnées sont démesurées.
- Améliorer les outils de travail du personnel : En protégeant son système informatique, on permet à ses collaborateurs de travailler dans de bonnes conditions, de leur rendre le cadre de travail agréable et d’être plus productifs.
- Se décharger d’une tache anxiogène : En confiant la gestion de la protection informatique à un prestataire, l’entreprise peut se concentrer sur son cœur de métier sans se soucier de la sécurisation des données, une tache pour laquelle elle ne possède pas forcément les compétences requises.
