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Ratification du plan de la relance de l’économie : la fin d’un drame politique aux USA

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Donald Trump a longuement menacé de plomber le second plan de relance de l’économie avant de l’autoriser ce 27 décembre 2020. 900 milliards de dollars seront donc reversés pour secourir une économie en danger. Pourquoi un tel projet avait-il été rejeté par le président sortant ? Quels sont les enjeux politiques du refus puis de l’acceptation du principal occupant de la maison blanche ?

Gros points du second plan de relance de l’économie des États-Unis

Le projet soumis au président américain pour son homologation comporte plusieurs lignes d’action. Jugé incontournable pour sauver l’économie en péril, il prévoit des aides destinées aux familles.

Une partie sera attribuée aux petites entreprises touchées par la crise du coronavirus. Dans le projet, chaque Américain devrait jouir d’un chèque de 600 dollars. 600 autres dollars supplémentaires devraient être reversés par enfant en charge. Aussi, 284 milliards sont prévus pour voler au secours des sociétés.

Les allocations au chômage dans ce nouveau plan sont revues à la hausse de 300 dollars. En outre, il faut noter qu’une partie du budget devrait aider à la distribution équitable des vaccins anti-Covid.

Pourquoi la ratification du plan avait-elle été contestée par le président ?

Conformément au projet, le chèque qui serait envoyé aux Américains est de 600 dollars. Pour le président, ce montant devrait être revu à la hausse. Il proposa 2 000 dollars plutôt ou 4 000 dollars pour un couple.

Les aides aux régimes étrangers ont aussi déplu à Monsieur Trump. Loin d’exiger la hausse du budget alloué pour cela, il suggéra carrément leur suppression. Il disait expressément dans sa vidéo : « Je demande également au Congrès de me débarrasser des éléments inutiles et coûteux de cette loi ».

Le président sortant s’indigne aussi du fait que le plan pour la Covid passait carrément à côté de son but. Il déprécia les financements pour l’armée égyptienne ainsi que les aides pour le Cambodge et la Birmanie. Enfin, le locataire de la maison blanche estime que le plan représente plutôt un cadeau pour la Chine et la Russie.

Les enjeux politiques de la crise et de la levée du veto présidentiel

Ce projet de loi a longuement divisé les démocrates et les républicains qui étaient d’avis diamétralement opposés. Les premiers jugent le montant de 900 milliards de dollars trop insignifiant et l’autre camp le trouve largement suffisant. Toutefois, avec la signature du président, un consensus vient d’être trouvé.

Malheureusement, le retard de signature a eu des incidences négatives sur certains programmes. Il s’agit par exemple de deux aides destinées aux chômeurs qui ont pris fin ce week-end. Les bénéficiaires enregistreront un retard de leurs prochains paiements.

Si la loi n’est pas rétroactive, ils risquent même de perdre une semaine du montant de leur allocation. Pour le sénateur démocrate de l’Oregon Ron Wyden, l’hésitation de D. Trump a occasionné des difficultés et du stress inutile. Selon lui, des familles de chômeurs auront sûrement du mal à payer leur loyer et tenir d’autres engagements.

Toutefois, avec la signature du projet, le géant américain évitera un « shutdown ». En effet, si l’accord du président n’avait pas été donné, les agences fédérales manqueraient de financement. Ceci aurait pu engendrer la fermeture de l’administration américaine.

Enfin, avec la levée du veto présidentiel, des millions de chômeurs américains pourront de nouveau jouir de leurs indemnités de chômage.

Pourquoi devrait-on faire confiance aux vaccins anti-Covid ?

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Les vaccins anti-Covid font couler beaucoup d’encre. Même si plusieurs personnes prient pour être vaccinées, certains adeptes de la théorie de complots refusent toujours de servir de cobayes. Sous les feux des projecteurs, l’élaboration des vaccins anti-Covid n’a pourtant rien à cacher.

Les composants des vaccins anti-Covid sont sûrs et sécurisés pour le corps humain

Quel que soit le vaccin à concevoir, le principe des scientifiques reste le même. Il faudra apprendre à l’organisme à reconnaître le virus et à le bloquer en toute sécurité. À cet effet, diverses techniques sont adoptées par les laboratoires pour l’élaboration des vaccins anti-Covid :

  • La technique du virus atténué ou inactivé ;
  • La technique à base de protéines ;
  • La technique des vecteurs viraux ;
  • La technique à base d’ADNm ou ARNm ;

Dans chacun des cas, un organisme étranger est injecté dans le corps humain. Sa forme est assez semblable à celle de la Covid et il imite le comportement du virus dans l’organisme.

Les scientifiques donnent l’assurance qu’aucune de ces formules ne représente un danger pour l’organisme qui la reçoit. Elles devraient plutôt entraîner chez les individus vaccinés une réponse immunitaire sans le moindre risque.

En dehors des corps inoffensifs déclenchant une réponse immunitaire, les vaccins sont constitués d’autres éléments sains. Il s’agit entre autres de l’aluminium dont le rôle est de stabiliser la formule pour la rendre plus efficace.

Des normes de contrôle garantissent la fiabilité des vaccins

La sécurité de la vaccination contre la Covid-19 est attestée par des pratiques scientifiques dignes du nom et fiables :

Les essais et les tests

Avant qu’un vaccin ne soit utilisé sur les populations, il fait l’objet de plusieurs tests et essais. Les vaccins contre la Covid-19 n’en sont pas exempts même si les délais requis pour ce faire sont restreints. Les scientifiques sont donc passés par toutes les étapes indispensables bien que tout ceci se soit déroulé à une grande vitesse.

Des tests ont été réalisés en premier sur des cellules animales. Ensuite, ils sont effectués sur les hommes à la seule condition de ne pas présenter un risque de sécurité. Ainsi, tant que les statistiques de sécurité des laboratoires sont bonnes, les docteurs pourront se rassurer de l’efficacité de l’antidote.

La moitié de la population volontaire pour les essais reçoit le vaccin. L’autre moitié se fait injecter un placébo ou un vaccin factice. Ensuite, les chercheurs analyseront les résultats des individus de chaque groupe pour jauger l’efficacité de la solution.

Toutefois, il faut noter qu’auparavant, ils ne sont pas informés du groupe auxquels appartiennent les échantillons dont ils analysent les données. Ainsi pourront-ils donner les résultats de manière objective. Enfin, après tout cela, les essais et leurs résultats seront encore contrôlés de façon indépendante.

Les organes d’approbation des vaccins

Chaque pays dispose d’organes de régulations qui approuvent tous les vaccins devant être inoculés à son peuple. En Grande-Bretagne par exemple, l’autorité responsable de ce contrôle est le centre gouvernemental de réglementation. Il s’agit de la Medicines & Healthcare products Regulatory Agency (MHRA).

Au niveau des organes de régulation, d’autres tests continuent. Ils visent à s’assurer qu’il n’y aura pas de risques ou des effets secondaires à long terme. Des experts indépendants pourront alors décider de la meilleure façon d’utiliser le vaccin. Ils décideront aussi de ceux qui doivent le recevoir en premier. Dans le cas d’espèces, les personnes les plus vulnérables sont priorisées.

Gastronomie française : les fêtes autrement

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La France est connue pour ces grandes prouesses en matière de cuisine. Malgré leur amour pour les restaurants pendant les grandes occasions, les Français sont de plus en plus contraints à manger chez eux.

Les Français dans une nouvelle dynamique

La pandémie qui ravage la planète depuis le début de l’année 2020 a un gros impact sur le monde de la gastronomie. Les Français, comptés parmi les plus grands amateurs de restaurant, ont vu leurs programmes chamboulés. Les fêtes de fins d’année sont généralement une grande opportunité de sortir. On se rassemble en famille en entre amis, puis c’est une bonne raison pour ne pas se fatiguer à cuisiner.

Malheureusement, depuis le virus, les habitants ont du mal à mettre la tête au-dehors et encore moins aller au restaurant. Avec le confinement, les livraisons à domicile se font abondantes. Par ailleurs, les populations ont repris le chemin des fourneaux, ayant un maximum de temps à passer chez soi. Surtout avec les tonnes de polémiques autour de l’alimentation cette année, difficile de chercher à manger dehors.

gastronomie française
Crédit : Pixabay

Plats faits maison ou livrés à domicile

Comme évoqué plus haut, les sorties dans les restaurants se faisant plus rares, les Français sont revenus à l’essentiel : cuisiner. En effet, avec le cours de la vie, les emplois de temps et les obligations, on avait perdu l’habitude de cuisiner chez soi. Prendre son temps, concocter des menus maison avec amour à base de produit frais était devenu rare. Vous pouvez maintenant profiter des fêtes de fin d’année pour retourner à vos fourneaux.

Oui, les repas de fins d’années ont pour réputations d’être gargantuesques et extrêmement délicats à faire. Il existe néanmoins beaucoup de mets chics et faciles à faire pour vos réveillons (Salades au thon, au fromage, au jambon ou au foie gras ; filet de Bœuf feuilleté, rattes dorées, jus de truffes ; coquilles Saint-Jacques rôties aux herbes et parmesans ; des tartelettes ; de la crème brulée au chocolat, etc..).

En moins de trente minutes, vous pouvez vous faire des plats comme des chefs et faire profiter votre entourage. Si vous êtes résolument perdu et êtes dans l’incapacité de préparer, vous pouvez toujours vous rabattre sur la livraison des plats. Une multitude de choix s’offrent à vous et même pour les réveillons. Faites-vous livrer de bons plats pour toute sorte de prix. Passez un coup de fil !

Du pétillant pour embellir les festivités

Il serait dommage de faire tout ce tour gastronomique sans évoquer les boissons qui sont susceptibles d’arroser avec charme et élégances vos plats. Voici une sélection de bouteilles pétillantes assorties aux fêtes.

Dans la catégorie des champagnes

Le Devaux, pur chardonnay, est un mélange de fruits donnant un gout irrésistible. Vous le trouverez à 38 euros.

À une hauteur gastronomique, vous avez la « Tentation » extrabrute produite par Jamart, à 33,60 euros la bouteille. Il laisse un arrière-goût d’épice et procure de la fraicheur au palais.

Quant à la bouteille « Terre d’émotion », elle est de la marque Charpentier et offre un superbe mélange de fruits agrumes. Il coûte 29 euros.

Dans la catégorie des crémants

Vous pouvez savourer le Crémant de Bourgogne de la Famille Chasselay proposé à 14,90 euro. La maison propose d’autres crémants allant de 7 à 19 euros. Il y a aussi le Crémant de Savoie brut de la Maison Jean Perrier et Fils. Il est disponible à 12,4 euro.

Le Crémants de la cuvée de Chambéran, production du collectif de jeunes viticulteurs, provenant de Vercheny peut être un bon choix. Il est proposé à partir de 8 euros.

Il n’est pas psychologiquement ni matériellement évident de réussir l’organisation des fêtes de cette année 2020. Toutefois, vous avez autour de vous plusieurs solutions faciles pour passer de beaux moments en famille. Alors, Mesdames et Messieurs, qu’attendez-vous pour vous détendre et profiter ?

 

Aménagement d’une salle à manger : comment bien s’y prendre?

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Lieu de vivacité et de convivialité, la salle à manger est l’une des rares pièces d’un domicile qui incarne la sociabilité autour d’une table. En raison de l’importance de cette dernière, elle doit être aménagée de façon exceptionnelle. Comment s’y prendre pour faire cet aménagement de manière dynamique et particulière ?

Donnez une allure vive à votre salle à manger

Bien qu’il soit un lieu destiné à la consommation alimentaire, cette salle peut être dynamisée. Elle peut être associée à la cuisine ou encore peut être dans un petit salon. C’est à vous de voir l’emplacement qui vous convient. Pour que les espaces soient plus libres, elle peut constituer une salle indépendante (isolée). Vous pouvez donner une seconde importance à la table à la manger. Cette table peut être utile aux travaux des enfants (devoirs de maison, assimilation des cours, etc.). Même les grandes personnes peuvent y faire du télétravail ou des activités de courtes durées. Il est recommandé de diversifier les assises. L’idée ici est de valoriser la salle à tel enseigne qu’elle ne soit plus uniquement pour manger.

aménagement de salle à manger
Crédit : Pixabay

Optez pour des meubles adéquats et pour un bon positionnement

Tout d’abord, les meubles que vous aurez choisis doivent être adaptés à l’espace dont vous disposez. Par exemple, une petite table est convenable à une salle ayant des espaces restreints. Quelle que soit la configuration de votre salle à manger, c’est à vous de positionner la table et les chaises selon votre goût. Il faut que le positionnement de chaque équipement facilite le passage. Même si le design est agréable, l’espace ne doit pas être encombrant. Entre les chaises, trouvez un périmètre approprié afin que chaque personne se sente libre quand elle s’assoit.

Une fois que vous avez fait tout cela, mettez-vous en retrait pour observer. Voyez par vous-même si cela convient à vos attentes et si éventuellement vos invités vont apprécier. Selon votre gré, vous pouvez également disposer dans la salle des étagères murales qui vous seront utiles en cas de besoin.

Distinguez et délimiter la salle à manger

Dans certains logis, la salle à manger et d’autres pièces comme le salon occupent un même espace. Pour donner plus de valeur à votre coin repas, vous devez marquer la distinction et la délimitation. Pour ce faire, les murs des pièces doivent être peints en différentes couleurs. Vous avez même la possibilité de les délimiter en mettant un meuble pour marquer la limite (un buffet par exemple). Au niveau de chacune des pièces, il faudra mettre des équipements qui font la distinction à première vue.

Renforcez la convivialité de la salle

Votre objectif est de montrer à vos visiteurs que la salle a été aménagée avec amour et professionnalisme. À cet effet, les couleurs et les motifs ont un grand rôle à jouer. Une salle à manger non attirante ne vous donnera même pas envie de manger à satiété. Optez pour des rideaux aux couleurs nettes et aux motifs attrayants. La peinture du mur doit être claire ou blanche afin d’être conforme à l’effet de la lumière. Mettez des tableaux ou des gravures sur les murs. En période de fêtes, les guirlandes lumineuses seront les bienvenues pour les rencontres à table la nuit.

Priorisez les objets adaptés à la table

Sur la table, mettez des objets décoratifs. La couverture doit être en mariage avec le décor. Les plats de services, les linges, la bougie et autres doivent être bien disposés sur la table.

Choisissez un éclairage de qualité

De toute évidence, l’éclairage joue un important rôle. La lumière naturelle ne peut pas être permanente, vous aurez forcément besoin d’un éclairage pour mieux voir. Trouvez donc une ou des lampes dont la couleur et le design vous plaisent. Mais, n’oubliez pas de prendre en compte le décor, car la luminosité et le décor doivent être en harmonie.

Aménagement intérieur : aménager son salon.

Lorsque l’on se décide enfin à refaire complètement son salon après avoir mûrement réfléchi sur la question pendant longtemps, la question se pose de comment bien l’aménager afin qu’il puisse être harmonieux.
Car en effet, aucun salon ne se ressemble. Les contraintes et les envies non plus et hormis la forme de la pièce qui servira de base pour construire en quelque sorte son futur salon, il faudra partir d’une feuille blanche (sauf si vous faites du home staging en vous servant de vos anciens meubles et leur donner une autre utilité / forme).
La forme définira donc ce que vous pourrez faire ou ne pas faire pour mettre au point un univers qui corresponde à la pièce et qui puisse aussi vous correspondre.

Des meubles en Juges de paix.

Pour que votre salon puisse rester cohérent et harmonieux, quoi de plus astucieux que des meubles, afin d’occuper l’espace de façon pensée.
Pouvoir la séparer ou la souligner avec un canapé (d’angle ou non, selon la disposition et les dimensions), une bibliothèque, une table, une table basse…
Mais il n’est pas toujours aisé de trouver des meubles à la taille de son salon, à son goût ou une fusion de ces deux critères et pouvoir correspondre à vos envies.
Des contraintes qui peuvent vite vous décourager et douter de votre projet que vous vouliez mettre en place.

Les meubles sur-mesure au secours de votre salon.

Lorsque justement les meubles que vous aviez déjà ou ceux que vous avez pu voir en magasin ne correspondent pas du tout aux dimensions de la pièce ou à vos attentes.
Quoi de mieux que de trouver des spécialistes expérimentés, des spécialistes de la fabrication de meubles sur-mesure et de l’aménagement intérieur que sont les architectes d’intérieur.
Des meubles qui pourront donc être calqués aux dimensions de votre futur salon, qui tiendront compte des contraintes existantes, avec des possibles détournements pour en faire des avantages et habiller votre pièce de la plus belle des manières.

Un meuble sur-mesure qui prendra tout le mur du fond pour créer une synergie, ne pas grignoter trop de place en prenant également toute la hauteur pour créer une très grande surface en mètres linéaires. Mais, de faible profondeur, afin de ne pas vampiriser le volume de circulation, primordial pour se mouvoir correctement chez vous.
Chaque espace de rangement servira à optimiser au maximum l’espace contre votre mur, placera vos objets à l’intérieur de chaque « compartiment » pour supprimer la majorité des autres meubles et vous offrir un grand espace visuel, pour laisser enfin votre pièce respirer au mieux.
Ou comment réussir à joindre l’utile à l’agréable tout en vous faisant plaisir et en retournant les points à améliorer de la pièce en points forts.

Pour approfondir le sujet sur l’ aménagement salon et salle à manger et faire les choses avec goût, nous vous conseillons de suivre le lien Web afin de vous rendre sur le site internet officiel de spécialistes en aménagement intérieur.

 

 

Accord commercial post-Brexit : bonne nouvelle pour le monde entier selon le prochain président Suisse

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Depuis le 31 janvier 2020, la sortie du Royaume-Uni de l’Union européenne a été actée à la suite d’un long processus. Le processus avait pris son départ avec un référendum en 2016. Après la consommation du divorce, Londres et Bruxelles sont parvenus à trouver un accord historique ce 24 décembre 2020. L’accord concerne les relations après le Brexit même si le processus qui a conduit là a été long. Dans un entretien accordé au journal Sonntags Zeitung ce dimanche 27 décembre, le prochain président suisse et ministre de l’Économie Guy Parmelin a estimé que l’accord commercial post-Brexit entre l’UE et la Grande-Bretagne est « une bonne nouvelle pour le monde entier. »

Bonne nouvelle pour la Suisse

Pour l’homme qui assumera dès le 1er janvier 2021 la présidence tournante de la Suisse, l’accord commercial est une bonne nouvelle « pour la Suisse aussi ». Il s’agit en effet, de la première réaction de la Suisse après que cet accord fut trouvé. À propos de ce qu’il pourrait signifier concernant les négociations actuellement en cours entre l’Union européenne et la Suisse, Guy Parmelin n’a cependant apporté aucun commentaire. « Nous attendons maintenant le texte et analyserons l’ensemble de la situation, » a-t-il affirmé.

Pour de nombreux experts, le gouvernement suisse serait sous pression afin de trouver un meilleur accord avec l’Union européenne en vue d’atténuer les impacts économiques du Brexit. En 1992, la Suisse avait refusé une nouvelle fois d’intégrer l’Union européenne. Berne avait plutôt voté en faveur d’accords bilatéraux avec l’UE. Toutefois, en 2008 l’Union avait refusé tout nouvel accord avec la Suisse tant qu’un accord-cadre qui fixe les conditions des relations, notamment économiques, entre Bruxelles et Berne ne soit trouvé.

La Suisse retarde les négociations

Par ailleurs, le dossier de l’accord-cadre institutionnel entre l’UE et la Suisse semble n’avoir pas bougé depuis plusieurs années. Les discussions devraient normalement reprendre après que le peuple suisse eût refusé l’initiative populaire de limitation. Une initiative qui visait la résiliation pure et simple des accords bilatéraux existants. Du côté de l’UE, on attend avec impatience que les négociations reprennent en vue de parvenir à la conclusion de l’accord-cadre. Il est en effet, reproché à la Suisse de retarder les choses.

En outre, la crise sanitaire due au nouveau coronavirus a immanquablement redéfini les priorités en ralentissant les processus. Pour d’autres, il semble que l’UE ne soit aussi plus pressée. Après le vote sur l’initiative de limitation, la présidente de la Commission européenne, Ursula Von der Leyen, a salué le résultat du vote tout en invitant le gouvernement suisse à poursuivre les négociations sur l’accord-cadre. Toutefois certaines personnes estiment que les relations avec la Suisse ne sont pas une priorité pour elle. Cette lenteur dans les négociations pourrait également s’expliquer par une réorganisation du personnel au sein de l’UE. Une situation qui a conduit à la vacance du poste de négociateur en chef pour le dossier.

accord commercial
Crédit : Pixabay

Les anti-accords-cadres

En Suisse, plusieurs personnes ont marqué leur opposition à l’accord-cadre. L’Union démocratique du centre (UDC), partie droite conservatrice, a une position critique sur l’accord. Lors de la session parlementaire d’hiver, l’UDC avait saisi l’opportunité pour remettre le débat à l’ordre du jour. Ils avaient déposé plusieurs interventions à ce sujet. Le député Thomas Aeschi, de l’UDC avait en ce qui le concerne, demandé l’abandon pur et simple de l’accord-cadre. Pour lui, il s’agit d’une « nouvelle édition du traité néocolonialiste d’adhésion à l’Espace économique européen », dont la ratification « serait politiquement répréhensible ». Selon lui, l’accord n’a d’autres sens que la « soumission » et la « reddition » de la Suisse. Une interprétation de l’accord qui est approuvé par les autres députés de l’UDC qui ont des points de vue similaires.

 

Programmes immobiliers : de nouveaux bâtiments érigés à Laillé

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Près de la commune de Rennes, précisément dans Laillé, un bailleur social se porte garant de livrer six maisons et huit appartements locatifs sociaux. Puisqu’une commune a besoin de logements pour abriter ses habitants, Aiguillon construction en association avec d’autres acteurs du secteur du bâtiment et d’architecture réalise leur premier chantier dès cette fin d’année.

Une méthodologie du Building Information Model (BIM)

Alors que la règle est normalement de 20 %, la part de la catégorie de logements sociaux dans Laillé est de 8 %. La conséquence est que le budget municipal en ressort avec certaines pénalités. Pour les amortir de la manière la plus efficace possible, les autorités ont initié un programme de construction dans la commune. Cela est davantage confirmé par Patrick Le Mesle, adjoint à l’aménagement du territoire. Il affirme que « ce programme immobiliser s’inscrit dans notre volonté de densifier l’habitat et d’épargner les terres agricoles ».

En effet, pour le bailleur social Aiguillon, ce projet immobilier qui sort de terre dans la commune de Rennes Métropole est annonciateur d’une ère nouvelle. Sur ce projet de logements locatifs, c’est la méthode du Building Information Model qui est priorisée. Cette dernière utilise une maquette numérique 3D intelligente sur une plateforme collaborative, ce qui permet des échanges entre les différents acteurs intervenant dans la construction.

programmes immobiliers à laillé
Crédit : Pixabay

Un constructeur et un gestionnaire de logements sociaux

L’élaboration de ce projet de construction a débuté en 2015. Les premiers travaux sont achevés en 2019 donnant naissance à des logements locatifs situés en plein cœur de Laillé. Créée en 1902, Aiguillon est l’entreprise sociale qui s’est mis à charge la construction de ces logements. Les nombreux logements érigés par cette entreprise dans l’ouest de la France lui permettent de se présenter en tant que constructrice et gestionnaire de logements sociaux.

Par ailleurs, une autre partie prenante au chantier est l’entreprise générale CNR Construction. Elle est une entreprise de 170 salariés spécialisée dans le secteur du bâtiment, dans le génie civil et dans le secteur industriel. Cette société propose ses services aussi bien dans le Grand-Ouest que dans les îles anglo-normandes. Dans cette dernière région, elle a construit une image de référence dans le domaine de la modélisation numérique. Par ailleurs, elle fait dans les gros œuvres et macro-lots.

programmes immobiliers à laillé
Crédit : Pixabay

Un nouveau bond technologique

Grâce à la maquette 3D, la modélisation numérique se présente sous un nouvel angle de vision aux différents acteurs du programme. En effet, sur cette maquette 3D, chaque élément du bâtiment a la possibilité d’être valorisé et visualisé en isolation. Estelle Soubeyrand fut la fameuse inventrice de cette maquette 3D. Elle en a également fait son premier baptême lors du programme de construction de Laillé.

Ad hoc, l’immeuble érigé à Laillé devient le premier projet sur lequel elle travaille en mode BIM en Bretagne. Ainsi, après avoir acquis tous les équipements et outils informatiques requis, elle a procédé à une formation de ses équipes sur cette nouvelle façon de travailler. Ceci a conduit à la nomination d’un coordinateur BIM, d’un médiateur BIM ayant pour mission de faire partager les informations numériques à l’ensemble des parties de métier intervenant dans la réalisation du projet.

En ce qui concerne la communication, cette modélisation numérique représente un moyen efficace de contact avec le client final. Ainsi, les personnes peu habituées à lire des plans 3D peuvent se faire une conception de l’immeuble à louer. Il leur sera possible de cerner plus aisément son insertion dans l’environnement et d’effectuer des visites des espaces intérieurs de façon virtuelle. En effet, toute information entrée dans le système informatique de la méthode BIM est automatiquement restaurée sur l’ensemble des documents, dont les maquettes 3D, les tableaux et même les plans 2D. Un atout non négligeable pour tout type de construction.

Médias sociaux : les spécialistes du marketing annoncent de nouvelles règles pour 2021

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L’année 2020 figure parmi les années qui ont apporté un véritable bouleversement dans plusieurs domaines. Le changement est important dans le secteur du marketing à cause de la pandémie du nouveau coronavirus. L’ampleur des bouleversements a engendré chez plusieurs spécialistes du domaine, une nécessité de revisiter tous les différents points du marketing. Des personnalités à l’objectif de la marque, en passant par les parcours des acheteurs, tout a été revisité. Toutefois, l’année 2021 s’annonce avec quelques espoirs. En effet, le vaccin anti-Covid qui se déploie progressivement dans les pays conforte de plus en plus de personnes.

De véritables bouleversements

Au cours de cette année 2020 qui est train de s’achever, les médias sociaux se sont révélés comme un véritable moyen de marketing en se présentant au premier plan. Un fait qui s’explique par le confinement qui a éloigné physiquement les uns des autres. Les réseaux sociaux ont alors comblé ce vide. Bien avant la pandémie, les différentes organisations avaient une idée bien claire de leur positionnement sur les médias sociaux. Entre engagement, écoute, contenu et publicité, il y avait un bon équilibre. Mais avec la venue de la pandémie, tout a été bouleversé. Et ce bouleversement aura de conséquences positives sur 2021.

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Crédit : Pixabay

Le rapport de Hootsuite

En vue d’aider les spécialistes du marketing à faire des prévisions pour la nouvelle année, Hootsuite a récemment publié son rapport annuel sur les tendances sociales. Le rapport publié par la plateforme de gestion des médias sociaux est le rapport le plus consulté avec plus de 18 millions d’utilisateurs de par le monde. Il est basé sur une enquête menée auprès de 11.189 spécialistes du marketing. Ensuite, il est complété par des informations recueillies auprès de dizaines d’experts du domaine à la suite d’un entretien.

D’après le rapport, près de 75 % des spécialistes du marketing interrogé considèrent « l’augmentation de l’acquisition de nouveaux clients » en 2021 comme principale action des médias sociaux. Soit une augmentation de 58 % d’une année à l’autre. Dès lors, les spécialistes du marketing estiment que les structures continueront à utiliser les médias sociaux en 2021 afin de répondre à deux impératifs. Il s’agit premièrement d’offrir « un retour sur investissement à court terme avec des tactiques de marketing de performance ciblées ». Deuxièmement, il s’agit de « construire des expériences numériques innovantes pour fidéliser la clientèle à long terme ».

Combler le vide entre l’engagement et l’identité du client

La pandémie de la Covid-19 a également permis aux différents responsables de marketing d’apprécier autrement l’apport des médiaux sociaux. Ces médias sont devenus un véritable lien pour faire le pont avec les clients après que les pratiques traditionnelles ont montré leurs limites.

D’après le rapport de Hootsuite, 85 % des organisations qui intègrent des données sociales dans d’autres systèmes ont confiance dans la capacité de leur organisation à quantifier avec précision le retour sur investissement des médias sociaux. Avec ces données, les responsables de marketing vont prendre des dispositions en 2021 afin de combler le vide entre l’engagement et l’identité du client en connectant davantage de données client aux données sociales.

médias sociaux
Crédit : Pixabay

S’adapter aux changements de mode de vie

En somme, « même si nous aimerions tous oublier cette année 2020 traversée par une crise sanitaire mondiale, des troubles sociaux et une méfiance généralisée a profondément transformé le monde des réseaux sociaux et du business » a déclaré Henk Campher, vice-président du Marketing Corporate chez Hootsuite qui porte un regard confiant sur l’avenir des médias sociaux. « Chaque seconde, 14 personnes créent un nouveau compte sur les réseaux sociaux et, dans le contexte de la distanciation physique actuel, la nécessité pour les marques de pivoter, s’adapter et se réorganiser pour suivre les changements de modes de vie et d’attentes des consommateurs ne fait que grandir » va-t-il ajouter.

 

 

 

Lourde défaite de la Juventus : Cristiano envoie un message aux supporteurs

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Face à Fiorentina ce mardi, la Juventus avait subi un scénario de catastrophe. Cristiano Ronaldo et ses coéquipiers avaient fini le match à 10 avec l’expulsion de Cuadrado au quart d’heure de jeu. Ils ont été menés sur leur propre installation, l’Allianz Stadium avec un lourd score (0-3). Un score qui n’a vraiment pas été du goût de CR7 malgré ses nombreuses tentatives pour le renverser. Dans un message sur son compte Instagram ce mercredi soir, le quintuple ballon d’or est revenu sur cette grande défaite. Le joueur portugais a tout d’abord reconnu que la performance de l’équipe était médiocre sur le terrain. Cela a certainement justifié le résultat loin d’être acceptable.

Nous sommes la Juventus

Pour lui, aucune excuse n’est acceptable pour ce revers, même pas la crise du coronavirus qui a fait de la saison, une particulière. Il fait un post afin de rehausser le moral de ses coéquipiers et les invite à donner plus d’eux-mêmes pour mieux jouer et gagner de manière plus cohérente. « Nous sommes la Juventus ! » affirme-t-il dans son post. Cette simple expression le conduit à motiver ses pairs à être excellents sur le terrain. L’ancien joueur du Real Madrid a également indiqué que ce n’était qu’une partie remise et qu’ils reviendront plus forts. Pour lui, la saison est très loin d’être terminée pour la vieille Dame.

« J’espère que ce court arrêt pourra nous aider à revenir plus forts et plus unis que jamais, car la saison est encore loin d’être terminée et au final nous croyons que nous allons, une fois de plus, faire la fête avec nos tifosi » affirme-t-il. En un bon leader, le natif de Funchal sur l’île de Madère a invité ses fans et les supporteurs de la Juventus à continuer de leur faire confiance de la même façon que cela est réciproque. « Croyez en nous, faites confiance à notre équipe autant que nous vous faisons confiance, et nous vous livrerons le meilleur de nous-même ! Fino Alla Fine ! » a-t-il conclu.

Lourde défaite de la Juventus
Crédit : Pixabay

Il n’y a pas d’excuses

En conférence de presse après la lourde défaite de son équipe face à la Fiorentina, le sélectionneur de la Juventus, Andrea Pielo, a trouvé une explication au revers qui n’est pas excusable. « Il n’y a pas d’excuses, on n’a pas la bonne attitude et voilà ce qui arrive. Je crois que certains pensaient déjà aux vacances et ne pensaient plus au match. C’était sûr de perdre avec cette mentalité, » a expliqué le coach.

Un match de plus

Après que le Napoli eut refusé le 04 octobre dernier de se rendre à Turin pour affronter la vieille Dame, il avait essuyé une défaite 3-0 sur tapis vert avec un point de pénalité. Toutefois, ce mardi les deux sanctions ont été annulées après un appel du Comité olympique national italien que Naples avait saisi. Ce match comptant pour la troisième journée de série A aura donc finalement lieu. Selon des prévisions actuelles, le match pourrait se jouer le 13 janvier 2020. En effet, cette décision de rejouer le match a fait perdre trois points à la Juventus, qui était passée de 27 à 24 points.

Un classement auquel s’est ajoutée la nouvelle défaite contre Fiorentina. La Juventus occupe actuellement la 6e place au classement toujours avec 24 points précédés de Naples, 25 points. C’est AC Milan qui est actuellement en tête du championnat avec 34 points, suivi de l’Inter Milan, Roma et Sassuolo Calcio, respectivement avec 33, 27 et 26 points. Le prochain match en date pour la Juventus est prévu pour le 3 janvier 2021. Il affrontera Udinese Calcio, un club qui l’a battu au cours de leur dernier match en juillet (2-1).

 

La question du climat : l’invité de marque de Noël

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Laura Morosini, leader et fondatrice du mouvement œcuménique des « Chrétiens unis pour la Terre » a lancé un appel, demandant que ces périodes de fêtes soient aussi réconciliatrices que joyeuses. Elle appelle notamment au rapprochement entre les jeunes et les ainés. Elle a mis un point particulier sur le climat qui, pour elle, devrait être l’invité de marque en cette période. En effet, la vision prônée par le Pape François, soutenant que l’environnement et le soin de la création ne sont ni des sujets secondaires ni optionnels sont désormais la source d’essence de Laura Morosini.

Noël, ce n’est pas que faire la fête

En 2013, le leader du mouvement œcuménique des « Chrétiens unis pour la Terre » a pris deux initiatives visant à réduire le taux de consommation signalé lors des fêtes. Un « carême pour la Terre » avec 40 jours sans viande et sans poisson et par conséquent un Noël autrement. Pour Laura Morosini, Noël, ce n’est pas que manger. Elle va jusqu’à dire qu’« offrir du temps, de l’attention, voilà ce dont nous avons le plus besoin aujourd’hui. »

Laura Morosini a donc eu la brillante idée de se passer du père Noël en cette année. En lieu et place, elle suggère l’invitation de l’écologie intégrale comme l’invité de marque. La table des invités pourra ainsi être réservée pour méditer sur la question du climat, un sujet assez préoccupant récemment. Elle croit que cette division entre les jeunes et les ainés n’est pas fatale et qu’une union est encore possible. Pour ce faire, l’union des jeunes (désespérés face à l’avenir) aux ainés doit passer par les ainés eux-mêmes qui doivent accueillir leurs préoccupations et se mettre à l’idée qu’il faut trouver de nouvelles réponses ensemble. Si c’est vrai que l’union fait la force, elle est l’idéal dans ce cas.

Laura Morosini a bien eu un impact particulier, puisqu’impliqué dans divers mouvements et organisations notamment l’organisation des premières Assises chrétiennes pour l’écologie en 2011, et la marche pour le climat. Elle tient à son actif plusieurs nominations et un parcours fulgurant. Sa nomination comme assistance parlementaire de Marie-Hélène Aubert en 1995 et le titre de première députée verte à l’Assemblée nationale constituent à présent des facteurs clés dans l’atteinte des objectifs du mouvement des jeunes pour le climat. Elle ajoute que L’Église a « beaucoup à leur apporter en matière d’espérance ».

la question du climat à noel
Crédit : Pixabay

Des Églises aux couleurs de la nature

Ayant fondé en 2017 le label Église verte, un label qui aujourd’hui prend de l’ampleur et est estimé à près de 500 membres, Laura Morosini ne tient pas à s’en arrêter là. D’ailleurs, elle l’a fait savoir en ces propos « Quand 10 % des 12 000 paroisses françaises auront ce label, ça se sentira dans l’Église ». Très conservatrice et passionnée d’écologie, elle appelle les différentes communautés chrétiennes à « mettre les actes en cohérence avec les paroles ». Des marchés bios, des lieux de culte écologique, des jardins verts, c’est désormais possible selon Laura. Elle croit qu’ensemble le changement est possible.

Les différentes actions de Laura Morosini en faveur de l’environnement et de l’écologie lui ont valu une place de droit à la Conférence des Évêques de France. Elle met donc à profit le privilège qui lui est offert lorsqu’elle plaide pour l’instauration du sujet de l’énergie et du climat au centre des réflexions. Mais le bémol ici est le système de pensée de chaque partie, car l’Église confond parfois les années aux siècles. L’état d’urgence est alors de mise. Elle invite de ce pas les différentes autorités dirigeantes de l’Église à voir plus loin et à agir en conséquence à ce sujet.

Ce qu’il faut savoir sur l’auteur du livre de cuisine « Gastronogeek »

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Auteur de plus de treize ouvrages culinaires reconnus best-sellers pour plus de 300 000 exemplaires vendus, son nom est Thibaud Villanova. C’est le génie de la cuisine à l’origine du livre très connu Gastronogeek, publié en 2014 et dont le deuxième volume, sous-titré « Le retour » est paru le 24 octobre dernier. Thibaut de Villanova est une personnalité très influente, notamment avec plus de 243 000 abonnés sur sa chaîne YouTube et plus de 35 000 followers sur le réseau Twitch. Il se propose de révéler la culture pop, dont il est très fan, dans l’assiette et partout ailleurs.

Une brève présentation du cuisinier Thibaut Villanova

Né le 21 août 1985, Thibaud Villanova est le fils d’un boulanger espagnol et d’une mère creusoise. Il est cependant de nationalité française. C’est à la fois un chef cuisinier, un auteur et un consultant en cuisine. Il a cuisiné son tout premier plat quand il n’avait qu’environ 7 ou 8 ans, mais avec l’aide de sa mère. Il s’agissait du civet de sanglier. Il a ensuite commencé à cuisiné pour lui-même et ses potes parce qu’il en avait marre du régime fast food auquel ils s’adonnaient pendant leurs séances de jeux de rôles.

Il faut dire qu’avant de devenir cuisinier, Thibaud était d’abord un expert en matière de jeux vidéo. Il a travaillé plusieurs années chez Nintendo, et également dans un bar de Paris, très fréquenté par les geeks. Il s’agit du Dernier Bar avant la fin du monde, où il a travaillé pendant 2 ans. Après avoir quitté son job, Thibaud crée en 2014 la marque Gastronogeek. La même, année, fut publié son premier livre de cuisine baptisé Gastronogeek, un grimoire des recettes inspirées de cultures imaginaires.

livre de cuisine Gastronogeek
Crédit : Pixabay

Les recettes proposées par Thibaut dans ses livres de cuisine

Comme dit plus haut, la culture pop a beaucoup inspiré Thibaud dans la création de ses recettes culinaires. En effet, la cuisine occupe une place notable dans les jeux vidéo, dans les mangas ou l’heroic fantasy. Par exemple, comme le dit le cuisinier en personne, les 300 premières pages du livre « Le Seigneur des anneaux » contiennent le récit d’événements culinaires, le concours du meilleur potiron en l’occurrence. Ce style particulier de cuisine est sûrement l’origine du succès de l’ouvrage Gastronogeek, publié aux éditions Hachette en 2014.

On retrouve notamment dans cet ouvrage, des mets plutôt connus, mais ayant des apparences stupéfiantes. C’est le cas par exemple des tartelettes orange-chocolat, présentées sous forme de l’œil de Sauron. On peut également mentionner le chou farci qui se présente comme la cervelle de La Nuit des morts-vivants. Le nouveau concept de la culture pop reflétée dans les assiettes a pris de l’ampleur, notamment suite à la diffusion des cours de cuisine par Thibaut Villanova sur ses comptes de réseaux sociaux. Ces contenus sont particulièrement présents sur des réseaux où se trouve un bon nombre de geeks, le réseau Twitch en l’occurrence.

livre de cuisine Gastronogeek
Crédit : Pixabay

Ce que Thibaud Villanova pense de ses œuvres

Le talentueux cuisinier Thibaud Villanova aime si bien le faire comprendre : « Gastronogeek, c’est une philosophie ». Il explique en disant que ce style culinaire est un pont reliant la gastronomie aux « cultures de l’imaginaire ». Il affirme qu’il est possible de comprendre parfaitement cette cuisine, sans pour autant être branché culture geek. Dans ce cas précis, le cuisinier peut en plus de maîtriser la recette, en découvrir la source d’inspiration. C’est ainsi un moyen efficace pour l’auteur du Gastronogeek de promouvoir cette culture.

Par ailleurs, Thibaud Villanova ne se voit pas en influenceur, peu importe le nombre d’abonnés qu’il a sur les réseaux. Il affirme clairement : « Je ne suis pas influenceur, je fais à manger. Je suis avant tout auteur et cuisinier. » Néanmoins, il soutient qu’il vise à donner à ses lecteurs et spectateurs l’envie de se mettre à cuisiner. Il ne tolère pas les excuses de certains qui prétendent ne pas avoir le temps parce que, comme il le dit « le temps n’appartient à personne ».