samedi, juin 7, 2025
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La question du climat : l’invité de marque de Noël

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Laura Morosini, leader et fondatrice du mouvement œcuménique des « Chrétiens unis pour la Terre » a lancé un appel, demandant que ces périodes de fêtes soient aussi réconciliatrices que joyeuses. Elle appelle notamment au rapprochement entre les jeunes et les ainés. Elle a mis un point particulier sur le climat qui, pour elle, devrait être l’invité de marque en cette période. En effet, la vision prônée par le Pape François, soutenant que l’environnement et le soin de la création ne sont ni des sujets secondaires ni optionnels sont désormais la source d’essence de Laura Morosini.

Noël, ce n’est pas que faire la fête

En 2013, le leader du mouvement œcuménique des « Chrétiens unis pour la Terre » a pris deux initiatives visant à réduire le taux de consommation signalé lors des fêtes. Un « carême pour la Terre » avec 40 jours sans viande et sans poisson et par conséquent un Noël autrement. Pour Laura Morosini, Noël, ce n’est pas que manger. Elle va jusqu’à dire qu’« offrir du temps, de l’attention, voilà ce dont nous avons le plus besoin aujourd’hui. »

Laura Morosini a donc eu la brillante idée de se passer du père Noël en cette année. En lieu et place, elle suggère l’invitation de l’écologie intégrale comme l’invité de marque. La table des invités pourra ainsi être réservée pour méditer sur la question du climat, un sujet assez préoccupant récemment. Elle croit que cette division entre les jeunes et les ainés n’est pas fatale et qu’une union est encore possible. Pour ce faire, l’union des jeunes (désespérés face à l’avenir) aux ainés doit passer par les ainés eux-mêmes qui doivent accueillir leurs préoccupations et se mettre à l’idée qu’il faut trouver de nouvelles réponses ensemble. Si c’est vrai que l’union fait la force, elle est l’idéal dans ce cas.

Laura Morosini a bien eu un impact particulier, puisqu’impliqué dans divers mouvements et organisations notamment l’organisation des premières Assises chrétiennes pour l’écologie en 2011, et la marche pour le climat. Elle tient à son actif plusieurs nominations et un parcours fulgurant. Sa nomination comme assistance parlementaire de Marie-Hélène Aubert en 1995 et le titre de première députée verte à l’Assemblée nationale constituent à présent des facteurs clés dans l’atteinte des objectifs du mouvement des jeunes pour le climat. Elle ajoute que L’Église a « beaucoup à leur apporter en matière d’espérance ».

la question du climat à noel
Crédit : Pixabay

Des Églises aux couleurs de la nature

Ayant fondé en 2017 le label Église verte, un label qui aujourd’hui prend de l’ampleur et est estimé à près de 500 membres, Laura Morosini ne tient pas à s’en arrêter là. D’ailleurs, elle l’a fait savoir en ces propos « Quand 10 % des 12 000 paroisses françaises auront ce label, ça se sentira dans l’Église ». Très conservatrice et passionnée d’écologie, elle appelle les différentes communautés chrétiennes à « mettre les actes en cohérence avec les paroles ». Des marchés bios, des lieux de culte écologique, des jardins verts, c’est désormais possible selon Laura. Elle croit qu’ensemble le changement est possible.

Les différentes actions de Laura Morosini en faveur de l’environnement et de l’écologie lui ont valu une place de droit à la Conférence des Évêques de France. Elle met donc à profit le privilège qui lui est offert lorsqu’elle plaide pour l’instauration du sujet de l’énergie et du climat au centre des réflexions. Mais le bémol ici est le système de pensée de chaque partie, car l’Église confond parfois les années aux siècles. L’état d’urgence est alors de mise. Elle invite de ce pas les différentes autorités dirigeantes de l’Église à voir plus loin et à agir en conséquence à ce sujet.

Ce qu’il faut savoir sur l’auteur du livre de cuisine « Gastronogeek »

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Auteur de plus de treize ouvrages culinaires reconnus best-sellers pour plus de 300 000 exemplaires vendus, son nom est Thibaud Villanova. C’est le génie de la cuisine à l’origine du livre très connu Gastronogeek, publié en 2014 et dont le deuxième volume, sous-titré « Le retour » est paru le 24 octobre dernier. Thibaut de Villanova est une personnalité très influente, notamment avec plus de 243 000 abonnés sur sa chaîne YouTube et plus de 35 000 followers sur le réseau Twitch. Il se propose de révéler la culture pop, dont il est très fan, dans l’assiette et partout ailleurs.

Une brève présentation du cuisinier Thibaut Villanova

Né le 21 août 1985, Thibaud Villanova est le fils d’un boulanger espagnol et d’une mère creusoise. Il est cependant de nationalité française. C’est à la fois un chef cuisinier, un auteur et un consultant en cuisine. Il a cuisiné son tout premier plat quand il n’avait qu’environ 7 ou 8 ans, mais avec l’aide de sa mère. Il s’agissait du civet de sanglier. Il a ensuite commencé à cuisiné pour lui-même et ses potes parce qu’il en avait marre du régime fast food auquel ils s’adonnaient pendant leurs séances de jeux de rôles.

Il faut dire qu’avant de devenir cuisinier, Thibaud était d’abord un expert en matière de jeux vidéo. Il a travaillé plusieurs années chez Nintendo, et également dans un bar de Paris, très fréquenté par les geeks. Il s’agit du Dernier Bar avant la fin du monde, où il a travaillé pendant 2 ans. Après avoir quitté son job, Thibaud crée en 2014 la marque Gastronogeek. La même, année, fut publié son premier livre de cuisine baptisé Gastronogeek, un grimoire des recettes inspirées de cultures imaginaires.

livre de cuisine Gastronogeek
Crédit : Pixabay

Les recettes proposées par Thibaut dans ses livres de cuisine

Comme dit plus haut, la culture pop a beaucoup inspiré Thibaud dans la création de ses recettes culinaires. En effet, la cuisine occupe une place notable dans les jeux vidéo, dans les mangas ou l’heroic fantasy. Par exemple, comme le dit le cuisinier en personne, les 300 premières pages du livre « Le Seigneur des anneaux » contiennent le récit d’événements culinaires, le concours du meilleur potiron en l’occurrence. Ce style particulier de cuisine est sûrement l’origine du succès de l’ouvrage Gastronogeek, publié aux éditions Hachette en 2014.

On retrouve notamment dans cet ouvrage, des mets plutôt connus, mais ayant des apparences stupéfiantes. C’est le cas par exemple des tartelettes orange-chocolat, présentées sous forme de l’œil de Sauron. On peut également mentionner le chou farci qui se présente comme la cervelle de La Nuit des morts-vivants. Le nouveau concept de la culture pop reflétée dans les assiettes a pris de l’ampleur, notamment suite à la diffusion des cours de cuisine par Thibaut Villanova sur ses comptes de réseaux sociaux. Ces contenus sont particulièrement présents sur des réseaux où se trouve un bon nombre de geeks, le réseau Twitch en l’occurrence.

livre de cuisine Gastronogeek
Crédit : Pixabay

Ce que Thibaud Villanova pense de ses œuvres

Le talentueux cuisinier Thibaud Villanova aime si bien le faire comprendre : « Gastronogeek, c’est une philosophie ». Il explique en disant que ce style culinaire est un pont reliant la gastronomie aux « cultures de l’imaginaire ». Il affirme qu’il est possible de comprendre parfaitement cette cuisine, sans pour autant être branché culture geek. Dans ce cas précis, le cuisinier peut en plus de maîtriser la recette, en découvrir la source d’inspiration. C’est ainsi un moyen efficace pour l’auteur du Gastronogeek de promouvoir cette culture.

Par ailleurs, Thibaud Villanova ne se voit pas en influenceur, peu importe le nombre d’abonnés qu’il a sur les réseaux. Il affirme clairement : « Je ne suis pas influenceur, je fais à manger. Je suis avant tout auteur et cuisinier. » Néanmoins, il soutient qu’il vise à donner à ses lecteurs et spectateurs l’envie de se mettre à cuisiner. Il ne tolère pas les excuses de certains qui prétendent ne pas avoir le temps parce que, comme il le dit « le temps n’appartient à personne ».

 

 

La modernisation de la gastronomie française grâce au Fooding en 20 ans

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Depuis 2000, le Fooding a marqué sa présence dans la gastronomie avec pour idée d’apporter de la modernité et surtout du changement positif. Ça fait 20 ans déjà que cette mission a débuté. Comment expliquer cette révolution qu’il a faite durant ces années ?

La valorisation de la gastronomie

À une époque donnée précisément au début des années 2000, les autres formes d’arts telles que la musique et la mode étaient vraiment primées. Cependant, la gastronomie se retrouvait encore dans la classe des dévalorisés. Pour mettre fin à cette discrimination dite artistique, le Fooding fut inventé. La passion avec laquelle ces précurseurs l’ont mis en valeur a été impressionnante. Depuis ces moments, le secteur des cordons-blues a commencé (peu à peu) à s’imposer en tant qu’art authentique et complet.

Alexandre Callas le fondateur du Fooding n’a pas hésité à revivre la nostalgie de cette époque qui a été vraiment douloureuse pour les maîtres de la cuisine. Il précise que ces moments ont été marqués par la honte et qu’il a fallu créer le Fooding pour tout changer. Une création qui selon lui a été salvatrice. Il exprime aujourd’hui sa fierté par rapport à ce combat dont la victoire n’était pas pour autant prévisible. Les débuts de cette innovation ont été très durs, mais l’essentiel se trouve dans le gain de cause qui est obtenu.

modernisation de la gastronomie française
Crédit : Pixabay

La créativité des termes et des concepts

Le dictionnaire gastronomique est exceptionnel aujourd’hui et le Fooding y a contribué. Des termes et des concepts ont été innovés afin de rendre plus riche le vocabulaire de cet art. Il s’agit par exemple de « Sophistroquet », « Cave à manger » et autres.

Mais l’un des concepts les plus tendanciels est la « Bistronomie ». Ce mot a été employé pour la première fois par Sébastien Demorand (Journaliste gastronomique) lors d’une importante réunion. Ce concept a eu pas mal de notoriété. Il est l’osmose des termes  « Bistro » et « Gastronomie ». Cette nouvelle mode de cuisine a donné du sens à la vie de plusieurs personnes. Elle a permis aux personnes des catégories plus ou moins défavorisées de profiter de bons plats à des prix raisonnables.

On peut même parler d’une démocratisation de la gastronomie à des coûts d’accessibilité. Emmanuel Rubin considère la bistronomie comme « la personnalité » même du Fooding dans son ensemble. Avec cette tendance, les gens mangent bien dans des conditions adéquates et ne dépensent pas assez.

La sociabilité et le collectivisme à point nommé

Le Fooding a gagné le cœur des gens parce que les personnes qui se sont mises ensemble pour cette révolution ont été très dynamiques. L’esprit d’équipe, la solidarité et l’unanimité sont les maîtres mots ou l’incarnation du Fooding. L’intelligence collective a permis à ces volontaires du changement de pouvoir apporter un plus à ce qui existait auparavant. Toutes les démarches ont été faites en excluant l’individualisme et en faisant appel au collectivisme. Plusieurs catégories de personnes ont travaillé avec ce groupe. Au nombre de celles-ci, il y a des journalistes, des illustrateurs, des chefs, etc.

Le collectif du Fooding est vaste et énorme. Le Fooding compte aujourd’hui des millions d’euros grâce à cette ouverture d’esprit et ce manque d’ego vis-à-vis du monde extérieur. Il va même au-delà du collectif et représente aujourd’hui une génération de cuisiniers qui au fil du temps améliore ses aptitudes.

modernisation de la gastronomie française
Crédit : Pixabay

La rencontre des arts

Le Fooding n’a pas été rancunier bien qu’au début, son secteur était à la ramasse comparativement aux autres. Aujourd’hui, il rassemble plusieurs mondes autour de lui. Il réunit des chanteurs, des stars de divers domaines, des célébrités, etc.

Pour faire simple, il faut avouer que durant ces vingt ans, de bonnes stratégies ont été adoptées sur plusieurs plans. C’est ce qui a fait que le Fooding a pris une place importante dans la gastronomie française.

 

Covid-19 : la recherche du bien-être devenue une priorité

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L’incroyable nombre de personnes touchées par la pandémie de la Covid-19 a énormément affecté le mental des Français. En effet, beaucoup d’entre eux sont devenus conscients de la fragilité de l’organisme et de la nécessité d’en prendre soin. Alors, pendant les périodes de confinement, beaucoup se sont adonnés à des pratiques de bien-être chez eux. Lorsqu’ils en ont eu la liberté, ils étaient très nombreux à demander l’aide de professeurs de yoga ou de kinésiologues. La demande était tellement importante que quelques-uns de ces coachs en étaient exaspérés.

La pratique du Yoga pour s’aérer la tête

Comme dit plus haut, certaines personnes se sont mises au Yoga déjà pendant la première période de confinement. Beaucoup d’entre elles étaient des débutantes, et s’y sont mises pour ne pas sombrer dans la panique et le stress, également nuisibles au bien-être. Ces nouveaux élèves en Yoga ont donc eu droit à des cours en ligne, avec des professeurs qualifiés, dont Aurélie Andreos. Même s’il y avait un manque de contact, certains ont pu garder le rythme et retrouver un peu de « paix intérieure ». D’autres par contre, démissionnent en cours de chemin, par manque de patience et de motivation.

Aurélie Andreos dispense normalement des cours de Yoga à Berg-sur-Mozelle, de même qu’à Volkrange. Elle intervient également dans une crèche au Luxembourg. Dans l’intervalle de temps qui séparait les deux périodes de confinement, elle se rendait chez ses patients à domicile. Elle a affirmé qu’elle était « énormément surprise » par les nombreux appels à différents niveaux de personnes qui demandaient des séances avec elle. Elle a même dû refuser ses services à quelques personnes, ce qu’elle n’avait jamais fait. « La recherche du bien-être est devenue une priorité », affirme-t-elle.

recherche du bien être
Crédit : Pixabay

Des séances de massage pour un profond apaisement

La crise sanitaire du coronavirus a paralysé bon nombre d’activités, dont ceux des centres de bien-être comme les salons de massage. Malgré la demande croissante, les praticiens en massage ne pouvaient pas recevoir des clients. C’est le cas, par exemple, de Bérengère Chupin, qui pratique du massage bien-être à Knutange. Il s’agit en fait de la présidente du Nid du bien-être de Thionville. Elle déclare qu’à la levée du premier confinement en mai, elle a aidé plusieurs femmes enceintes en phase terminale à se détendre, en leur proposant sa spécialité : le massage prénatal.

Par ailleurs, Bérangère est actuellement sollicitée pour aider des personnes à gérer leur stress. Elle est aussi interpellée par d’autres personnes souffrant d’insomnies. Elle explique, en effet, que le massage bien-être stimule la production d’hormones et contribue à diminuer les douleurs.

recherche du bien être
Crédit : Pixabay

La kinésiologie comme remède à l’angoisse née des confinements

Si le confinement a été l’occasion pour certains de prendre du repos, surtout vis-à-vis des lourdes tâches au travail, l’expérience a été un peu différente chez d’autres personnes. En effet, d’après les propos de la kinésiologue Aude Becker beaucoup de personnes ont souffert d’angoisse pendant et après la première période de confinement. Plusieurs d’entre claustrophobes se sont retrouvées seules face à elles-mêmes, sans aucune échappatoire. Cette situation a provoqué chez ces personnes de l’incertitude, du pessimisme et de la tristesse : « Les gens ont perdu leurs repères », disait Aude Becker.

Pour la deuxième période de confinement, le gouvernement français a on ne peut plus assoupli les restrictions. La kinésiologue Aude Becker a donc pu exercer son métier chez bon nombre de patients. Néanmoins, elle mentionne que ce reconfinement a aggravé le cas de certaines personnes. Elle explique cependant, en sa qualité de coach, que le remède pour ces personnes est de débloquer leurs émotions. Pour ce faire, elle emploie souvent l’image d’un sac à dos contenant des cailloux, dont le nombre augmente progressivement jusqu’à ce qu’ils fassent craquer le sac. D’après Aude, il s’agit d’un processus qui permettra au patient de libérer ses muscles.

En somme, les pratiques de bien-être sont efficaces en tant que remèdes contre les effets des confinements.

2020 : Le monde du sport n’a pas échappé à la crise sanitaire mondiale

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La pandémie du nouveau coronavirus a touché pratiquement tous les secteurs ainsi que l’économie mondiale. L’univers du sport n’a pas pu y échapper. Des championnats ont été suspendus, des tournois ont été annulés ou se sont déroulés sans spectateurs, des compétitions ont été reportées, etc. Cette année, les amateurs de sport sont passés par toutes les émotions. Le coronavirus a mis en exergue les faiblesses du sport professionnel. De nombreux athlètes et joueurs de football et de basketball ont été contrôlés positifs au Covid-19. Cela a mis un frein au sport mondial.

Huis Clos en ligue des champions

Durant le mois de février, alors que le Paris Saint-Germain devait jouer un match très important, pour les quarts de finale de la ligue des champions, au Parc des Princes, la préfecture de police annonce que la rencontre se jouera à huis clos. Les joueurs comptaient beaucoup sur la présence du public. Les supporters étaient très déçus. A ce moment-là, il y avait 1.126 personnes contaminées en France et 19 personnes décédées. Le 11 mars, les spectateurs étaient tout de même contents de suivre le match à la télévision. A la fin, le Paris Saint-Germain remporte le match grâce aux buts de Juan Bernat et Neymar et se qualifie pour les quarts de finale de la Ligue des champions. Pour fêter la victoire, les joueurs se sont rendus auprès des supporters présents aux abords du stade.

Crédit : Freepik

Rudy Gobert, le « patient zéro » de la NBA

Le basketteur français Rudy Gobert a été contrôlé positif au Covid-19 dans la nuit du 11 au 12 mars, alors que les Utah Jazz devaient rencontrer le Thunder d’Oklahoma. Le 9 mars dernier, le joueur n’avait pas respecté la distanciation imposée entre les médias et les joueurs. En effet, pour détendre l’atmosphère, Rudy Gobert s’était amusé à toucher les téléphones et les micros des journalistes qui se trouvaient devant lui. La rencontre a été alors annulée. Quelque temps après, les dirigeants de la ligue américaine ont décidé de reporter l’ensemble des matches de la saison régulière. Cette petite blague du basketteur français a été lourde de conséquences. Certains supporters mécontents l’ont même menacé de mort sur internet. Ils sont rapidement passés à autre chose avec l’évolution fulgurante de la crise sanitaire.

Crédit : Freepik

L’Euro 2020, le Roland Garros et les jeux olympiques reportés

Le 17 mars, la France entre en confinement à 12H pile. Peu de temps après, l’UEFA annonce au public que l’Euro 2020 a été reporté. Ce dernier devait se dérouler dans 12 différents pays européens. Mais avec le contexte de la pandémie de Covid-19, il était impossible de le maintenir. Si la situation s’améliore, la compétition devrait normalement se dérouler en juin-juillet 2021. Le Roland Garros, qui devait se dérouler le 18 mai 2020 a également été reporté. Le 24 mars, ce fut le tour des jeux olympiques. En 2020, c’est l’ensemble du sport mondial qui a été touché par la crise.

Décoration de sa maison pour les fêtes de fin d’année : toutes les bonnes astuces pour réussir

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Les fêtes de fin d’années représentent une période très joyeuse de l’année au cours de laquelle l’ambiance festive se répand partout. Les premiers lieux où cette ambiance joyeuse est vite ressentie sont les maisons. Cependant, il arrive de ne pas toujours savoir comment décorer sa maison même à quelques jours des fêtes. Pas de panique ! Le présent article vous présente les meilleures astuces de décoration pour cette occasion.

Définir un thème de décoration

Définir un thème à la décoration qu’on s’apprête à réaliser est une tâche à accomplir avec beaucoup d’intéressement pour une bonne continuité de la suite. Ceci permettra de coordonner parfaitement les accessoires à employer de sorte que le rendu forme une ambiance facile à deviner.

A cet effet, il existe toute une infinité de thèmes des plus classiques au plus modernes et qui cadrent avec les fêtes de fin d’année. Le thème que vous choisirez doit convenir parfaitement à vos besoins et surtout à la manière dont vous envisagez de passer ces fêtes.

Décoration de sa maison
Crédit : Pixabay

Bien choisir les couleurs

Les couleurs représentent un pilier très crucial d’une décoration de fête réussie. En effet, il faut que les couleurs de votre décoration s’accordent aisément avec celles de l’intérieur des pièces. Ces couleurs doivent être idéalement deux, mais vous pouvez aller jusqu’à trois. Au-delà de ce nombre, votre déco sera chargée en couleurs et donc moins intéressante.

Les couleurs traditionnelles pour ces occasions sont rouge+vert pour la Noël et gris+or puis rouge+blanc pour le réveillon. Toutefois il faut faire parler sa créativité en optant pour des compositions de couleurs plus osées. Il s’agit entre autres du blanc argenté+vert anis ; beige+or doré ; blanc cassé+gris ; rose+violet+blanc ; etc.

Diversifier les sources de lumière

On ne peut pas parler de décoration de fête de fin d’années sans aborder le point incontournable de l’éclairage. En fait, le côté féérique qui caractérise ces évènements annuels est principalement représenté grâce aux lumières. Il faut donc absolument se servir de plusieurs sources de lumière telles que les bougies, les lampions, les chandelles, les photophores, et autres accessoires lumineux.

Sélectionner avec soin les accessoires déco

La bonne réussite de toute décoration repose en grande partie sur les accessoires qui le constituent et le rôle que joue chacun d’eux. Les décorations de fin d’années ne font pas exception à cette règle et requièrent de ce fait une sélection attentive des accessoires. Les accessoires qui trouvent aisément leur place dans une déco de fin d’années sont entre autres :

  • Le Sapin ;
  • Les Guirlandes ;
  • Les Boules ;
  • Les stickers muraux ;
  • Les rubans ;
  • Les emballages de paquets cadeaux ;
  • Les fleurs en bouquet ou en détail ;
  • Les origamis en papiers unis ou fluorescents ;
  • Les Chaussettes (rouges de préférence)

On peut également utiliser :

  • Les peluches d’animaux
  • Les paillettes dorées ou argentées pour une touche hivernale
  • Les figurines
  • Un tapis au pied du sapin
  • Une couronne
  • Des pochoirs…

Faire preuve de créativité

Pour rendre votre décoration le plus originale que possible, veiller à être très créatifs dans sa conception. Une astuce efficace à tous les coups est de se servir d’objets du quotidien n’ayant rien à voir avec la décoration comme accessoires de design.

Décoration de sa maison
Crédit : Pixabay

Veillez à la symbiose des accessoires.

Il s’agit de la condition sine qua non pour que votre décoration ne paraisse pas clinquante ou désorientée. Pour s’en assurer, chaque accessoire doit avoir un rôle vraiment utile dans la décoration. Bien que pour certains accessoires tels que les bougies, un nombre important raisonnable ne pose pas problème il n’en est pas de même lorsque l’on retrouve plus de deux sapins. Vous devez recenser chacun des accessoires à utiliser et leur rôle au préalable pour définir leur exclusivité ou le nombre qui est plus raisonnable.

 

 

 

Le cinéma français secoué par la pandémie du Coronavirus : qu’en sera-t-il en 2021 ?

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Étant ébranlé par la pandémie, le 7e art a eu des résultats très peu satisfaisants. En 2020, le bilan est catastrophique. Avec les désagréables mutations constatées dans le secteur, une profonde incertitude s’installe pour l’année 2021. Qu’en sera-t-il pour ces films mis en attente ?

La situation du cinéma face à la pandémie

En France, la pandémie du Corona Virus a vraiment affecté le secteur cinématographique. Les salles de cinéma ont annoncé depuis un bon moment « les portes closes » à travers des affiches. Ce qui montre que les Français ne profitent plus des visualisations en grande salle avec l’ambiance chaleureuse et conviviale.

Par ailleurs, de nombreux tournages ont été interrompus. D’autres ont été perturbés et même retardés. Il serait aisé de dire que le cinéma tout au long de l’année 2020 a été profondément bouleversé par la crise sanitaire. Quoique le conseil de l’État ait donné une lueur d’espoir aux acteurs du domaine, l’incertitude persiste. Cette incertitude est beaucoup plus liée aux réalités auxquelles fera face le cinéma l’an prochain (2021).

Il est déplorable de voir le vide, les écrans noirs et l’absence humaine aux endroits les plus dédiés au cinéma. Les 2000 cinémas français ont été contraints à la fermeture de leur porte en raison du confinement. C’est seulement en janvier et en février que les expositions ont été effectives. Le cinéma français n’a jamais connu une telle situation branlante. Les professionnels du domaine disent que depuis 125 ans d’existence, cet art a toujours eu sa vraie place. Même en période de guerre, une telle situation n’a jamais été remarquée.

Le cinéma français secoué par la pandémie
Crédit : Pixabay

La fréquentation cinématographique à la baisse

Le Centre National de Cinématographie a donné quelques chiffres sur la réalité actuelle. La baisse a été estimée à moins de deux tiers au cours de cette année. Ce qui en soi reste catastrophique et troublant pour le 7e art qui a une grande valeur en France. Loisir favori des populations, il a drainé ces dix dernières années un nombre annuel de spectateurs estimé à 200 millions. Avec cette baisse, il est actuellement à 64,9 millions.

Cette année, certains films américains ont battu un record relativement considérable dans les salles françaises. « TENET » de Christopher Nolan a permis d’acquérir 2,34 millions de spectateurs.

Les films qui sont sortis bien avant le premier confinement ont eu quelques résultats :

  • « 1917 » attire 2,2 millions de spectateurs ;
  • « Ducobu 3 » draine 1,39 million d’entrées.

Les chiffres ne sont pas assez encourageants comparativement aux années antérieures. À titre illustratif, « Qu’est-ce qu’on a encore fait au Bon Dieu » attirait à lui seul six millions de spectateurs en 2019. Les dix premiers mois, ont été au profit des films français avec + 10 pts (44,9 %) face aux films américains avec – 13 pts (40,9 %).

Succès du cinéma français sur les petits écrans en 2020

Même si l’année 2020 n’a pas été la meilleure pour le cinéma, il a eu quand même une mutation tant bien que mal. En 2020, le confinement a obligé bon nombre de Français à s’adapter aux petits écrans.

Dans leur canapé, ils ont leur regard à fond dans les téléviseurs. Cette nouvelle habitude a (en partie) remplacé le grand écran des cinémas. Le téléphone a été majoritairement utilisé pendant cette période. Les spectateurs ont profité de quelques classiques comme Star Wars, Louis de Funès, les sagas d’Harry Potter et autres. Par conséquent, des plateformes comme Netflix ont été gagnantes.

Le cinéma français secoué par la pandémie
Crédit : Pixabay

À quoi peut-on s’attendre pour les films sortis en automne et ceux prévus pour 2021 ?

On ne pourra donner une réponse exhaustive, car la pandémie n’annonce pas encore sa fin. Malgré tout, certains films se sont démarqués malgré les deux confinements. Les Français sont dans l’espoir que les réformes se fassent à l’avantage de la cinématographie. Tant que les conditions sanitaires resteront déplorables, il sera très dur pour l’État français de prendre ce risque.

L’immobilier : le survivant du covid19

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Le covid19 est une maladie infectieuse qui frappe depuis un certain temps. Des cas sont déclarés chaque jour et les dégâts matériels/financiers au fil des mois sont considérables. Chaque secteur essaye de tirer son épingle du jeu, mais le seul qui y arrive pour l’instant est celui de l’immobilier.

Un secteur qui maintient le cap

Le monde connait depuis plus de dix mois maintenant, une pandémie qui ruine considérablement le milieu de l’emploi. Néanmoins, tous les secteurs ne semblent pas se plaindre de la crise sanitaire. L’immobilier fait partir de ceux-là. À l’heure où le Corona virus a été découvert, tous les domaines d’activités se sont mis en alerte. Ils ont d’ailleurs connu un à un, des pertes financières qui les ont précipités dans la faillite. Contrairement à la majorité, l’immobilier reste à flot. En effet, ce domaine d’activité est curieusement en bon état.

Les nombreux confinements, fermetures de locaux et entreprises n’ont pas pu stopper l’essor de l’un des marchés les plus prisés par les Français. Les prix au cours de cette année 2020 ont pris de l’ampleur d’une façon normale. Les prévisions estiment que l’effet se sentirait en 2021. Jean Christophe Delfim (analyste), affirme que la cause viendra d’une diminution de la confiance au sein du marché de l’emploi. Néanmoins, il prévoit trois à douze mois pour que les répercussions se fassent totalement sentir dans le milieu. En attendant, les propositions d’achat et d’investissement se portent à merveille. Si vous avez un projet d’acquisition, c’est l’occasion d’étudier le marché. Seulement, peut-on parier sur toutes les régions ?

L’immobilier : le survivant du covid19
Crédit : Pixabay

Les régions qu’il faut choisir pour un investissement rentable

Généralement, on se sent attiré par tel ou tel lieu pour son charme, la verdure ou simplement un coup de cœur. C’est vrai, certaines régions peuvent paraitre adéquates et surtout quand elles abritent des habitants de votre choix. Il est pourtant nécessaire de faire une analyse spécifique ou de demander conseil avant toute démarche. En effet ; les apparences sont souvent trompeuses et bien loin de la réalité. Les destinations souvent prisées pour l’achat de maison sont l’Île-de-France, la Bretagne ou encore la Côte d’Azur. Tous ces lieux sont magnifiques, mais avec la crise sanitaire, il est primordial de faire des investissements judicieux.

Si vous optez pour un budget modeste, il vaudrait mieux vous pencher sur les régions Auvergne, Bourgogne, Franche-Comté, Midi-Pyrénées, Limousin, Champagne-Ardenne… Par contre, si vous en avez les moyens, alors, monter en Ile-de-France. Les tarifs ont connu une sacrée hausse, et la région du Boulogne-Billancourt, située dans les Hauts-de-Seine en est bien la preuve. Là-bas, vous avez le choix entre chaque moitié de la zone. Les quartiers nord (Parchamp-Albert-Khan, Reine-Mairie, Prince-Marmottan), compris en 9954 et 10.000 euros, puis le sud (Grenier-Point-du-Jour, Vaillant-Marcel-Sembat, Billancourt-Rives-de-Seine, Silly-Gallieni), compris entre 8700 et 9300 euros.

L’immobilier : le survivant du covid19
Crédit : Pixabay

Quant au 21e arrondissement, le prix minimal est fixé à plus de 9000 euros. D’après le LPI-SeLoger, le taux général du mètre carré a grimpé de 4,3 % durant l’année. Il existe bien sur de petites nuances entre achat de bien et location, mais les exigences les mêmes. Dans le domaine de la location, il existe un bon nombre de villes abordables. Il s’agit de Saint-Étienne, Le Mans, Mulhouse, Limoges, Reims, Brest, le Havre, Orléans, Dijon, Cen, Clermont-Ferrand, Angers, Perpignan, Tours, ou encore Rouen. Pour les bourses plus confortables, il faut se pencher sur les régions comme les Aix-en-Provence, Nice ou Paris.

Ce n’est pas chose aisée de se lancer dans la location ou l’achat d’une maison, mais avec la stabilité que connait le marché immobilier, il est possible de faire de belles projections. En espérant que les mois à venir soient aussi fleurissants pour le secteur.

 

Covid-19 en France : l’économie francilienne au plus bas

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Cette année, le monde aura tout subi. La dégradation de la qualité de vie mondiale se faisait déjà sentie, mais avec l’arrivée du virus Covid19, on fait face à un anéantissement général de la planète. Presque tous les domaines d’activités sont en perte et surtout le domaine économique Français.

Un virus qui détruit tout sur son passage

On avait pris l’habitude de se serrer les coudes, se lever le matin, aller travailler, se battre et gagner son pain malgré les difficultés du quotidien. Seulement les choses se sont dégradées depuis l’avènement du coronavirus. Ce n’est plus une nouvelle pour personne, le monde fait face depuis près d’un an à une épidémie qui ravage tout sur son passage et la France ne fait pas exception.

Ayant déjà fait plus de 78.000.00 de cas et tué près de 2 000 000 de personnes dans le monde, cette pandémie n’est pas prête de s’arrêter. Assurément, de nouvelles souches du virus font apparition et sont en pleine prolifération, ce qui met plus que jamais les pays en alerte.

Évidemment, la contamination est plus ou moins facile à cause des correspondances qui se sont effectuées et qui s’effectuent encore de certains pays à d’autres. Les mesures barrières et les confinements répétitifs n’ont eu que pour résultat la détérioration du mode de vie et la déprime des populations.

Covid-19 en France
Crédit : Pixabay

Trois secteurs véritablement touchés

L’épidémie, d’une manière ou d’une autre, a affecté toutes les couches de la société et la majorité des secteurs d’activités. Les domaines les plus touchés en France sont le tourisme, la culture et les transports. Et cette perte se fait particulièrement sentir en ile de France. En réalité, c’est la région la plus touchée économiquement pas la pandémie, puisque son économie est principalement basée sur les activités ouvertes à l’international. Cela constituait un avantage conséquent, mais c’est à présent la raison de sa perte financière considérable.

Covid-19 en France
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Le tourisme

D’après le rapport de l’Institut Paris Région, c’est la zone française la plus touchée avec 21 % de perte en chiffre d’affaires et plus de 180 000 de pertes d’emplois. Les dégâts ne s’achèvent pas là puisque la région en un an va perdre plus de 60 %, à cause des 14millions de visiteurs absents les six premiers mois de l’année 2020.

Du côté de Paris, l’absence de touristes cette année entraîne la région dans une faillite estimée à 6,4 milliards d’euros environ. La chute inclut évidemment les secteurs de la restauration et hôteliers, qui ont connu une perte de plus de 300 000 emplois. Certains commerces (restaurants, hôtels, bars, cafés) se sont retrouvés contraints à mettre la clé sous la porte.

La culture

Le secteur de la culture a subi un vrai désastre. L’Ile à elle toute seule comporte 300 000 employés qui représentent plus de 5 % de l’effectif général employé en France. Dans l’audiovisuel, le multimédia et le cinéma, elle mobilise 67 % des emplois pour sa seule gouverne. Il est donc normal qu’avec 22 milliards de chiffre d’affaires en perte (25 % en tout), la région de l’Ile connaisse une chute économique fulgurante.

Les transports

Le domaine des transports n’arrange rien non plus puisque la plupart des trafics et des correspondances ont été coupés. Des centaines de bolides se sont retrouvés maintenus au sol. Les voyages se font rares ou sont très limités. Évidemment, la France en général et l’Ile en particulier est totalement exposée au phénomène. Il s’agit de plus de 30 000 emplois menacés.

Le covid19 a clairement causé un casse-tête colossal à la France cette année. Parmi ceux-ci figurent inexorablement l’économie défaillante, le chômage et les faillites des entreprises. L’État a certes déjà mis en route plusieurs systèmes de financement pour désengorger les acteurs des différents secteurs, mais il faudra du courage, de la patience et une vraie chaîne de solidarité pour parvenir à la sortir la tête de l’eau.

Business plan : nécessité ou luxe ?

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Une entreprise est une unité institutionnelle ou une organisation qui repose sur un projet dont les déclinaisons représentent des politiques, stratégies et plans d’action. De ce fait, il existe une multiplicité d’outils qui sont employés par les entreprises pour leur bon fonctionnement. Le business plan en fait partie. Souhaitez-vous savoir s’il est une nécessité ou un luxe en entreprise ? La suite de cet article vous permet de répondre à cette interrogation. Après avoir décrit brièvement ce que c’est qu’un business plan, ses avantages seront présentés et il sera question de démontrer si c’est une nécessité.

Qu’est-ce que le business plan ?

Le business plan encore appelé « plan d’affaires » est un document qui présente l’organisation d’un projet de bout en bout. Il sert essentiellement à décliner en objectifs et actions stratégiques le positionnement d’une entreprise sur le marché. Il se base sur les ressources dont dispose l’entreprise et les fluctuations éventuelles du marché pour définir le positionnement actuel et futur de cette dernière. Ce document s’établit en quatre chapitres qui représentent respectivement :

  • Un plan de comptabilité qui couvre au moins une année ;
  • Un total résultat prévisionnel ;
  • Un tableau financier détaillé ;
  • Un bilan en prévision qui s’étend sur trois ans minimum.

Pour une présentation visuelle, il est souvent élaboré sous forme de présentation PowerPoint avec une organisation fluide des diapositives.

business plan
Crédit : Pixabay

Quels sont les avantages du business plan ?

Le business plan dispose d’une large gamme d’avantages pour une entreprise. Ces avantages peuvent être regroupés en trois avantages fondamentaux ci-après.

Convaincre de potentiels investisseurs

Le business plan aide à soumettre un projet de création d’entreprise pour la recherche de capital ou pour présenter un projet d’élargissement d’une entreprise existante. Pour cela, ce document doit être conçu avec minutie avec des arguments clairs afin d’assurer la pertinence du projet sur lequel il porte. L’investisseur potentiel qui lit le business plan peut déjà juger de la viabilité du projet dont il est question.

Préciser son approche marketing

Tout d’abord, le document permet de mettre en avant la correspondance entre le porteur de projet et le projet lui-même en termes d’objectifs. Un business plan rédigé dans les règles de l’art met en exergue les aspects techniques et commerciaux du marché favorables à la réussite du projet. À cela s’ajoute la prise en compte des risques éventuels pour sécuriser tout investissement ou le compenser.

Évaluer les performances de l’entreprise

Ce document phare de la planification d’entreprise dispose d’une chronologie succincte des objectifs, activités qui permettent de suivre son évolution. Autant à l’intérieur de l’entreprise que dans vos interactions avec de potentiels partenaires externes, le business plan est une feuille de route. En effet, il permet à l’interne de disposer d’une politique organisationnelle performante avec la possibilité de répartir les tâches par correspondance d’attributions. Avec le travail prévisionnel fait à plusieurs niveaux pour l’élaborer, il permet de savoir à n’importe quel moment le taux de rentabilité des projets.

business plan
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Une entreprise peut-elle se passer du business plan ?

Au regard de la pertinence des avantages que présente le business plan, il s’avère indispensable pour toute entreprise qui désire prospérer sur le long terme. Il reflète à tout instant la manière dont l’entreprise est gérée et le futur fort probable qu’elle pourrait avoir. En tant que tel, il représente un outil de pilotage et de gestion d’entreprise. Aussi permet-il d’accroître significativement les chances de succès de toute entreprise. Par ailleurs, ce document sert également de canal de communication qui permet à l’entrepreneur de mener des négociations fondées. On ne saurait donc qualifier le business plan de luxe pour une entreprise dans la mesure où il représente une nécessité flagrante.

Si vous envisagez créer une entreprise ou si vous souhaitez présenter tout autre projet à aspect financier, le business plan est votre meilleur allier !