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Covid-19 en France : Ce que l’on sait sur les cas de variant britannique détecté dans les Bouches-du-Rhône

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La souche britannique du Covid-19 est beaucoup plus contagieuse. Le dimanche 10 janvier 2021, à Marseille, huit personnes ont été testées positives au variant britannique du coronavirus. Le premier cas a été détecté dans la journée du samedi. C’est la première adjointe du maire Michèle Rubirola qui a annoncé la nouvelle lors d’une conférence de presse. Ces mots exacts étaient : « J’ai eu l’ARS. Sur les 23 positifs diagnostiqués, il y a un délai pour le séquençage, il y a déjà sept positifs au virus anglais ». Les cas contacts ont été identifiés et les mesures de sécurité au niveau des aéroports ont été renforcées. Des analyses sont également effectuées sur les eaux usées. Les autorités désirent accélérer la campagne de vaccination dans cette zone.

Cluster autour du « patient zéro » et de sa famille

Le patient zéro est une femme rentrée d’Angleterre pour passer les fêtes de fin d’année avec sa famille. Toutes les personnes qui ont été en contact avec elle ou avec l’un des membres de sa famille ont été identifiées comme cas contacts. Au total, ils sont au nombre de 46. Parmi eux, 23 ont été testées positives au Covid-19. Certaines analyses sont toujours en cours. L’ARS a déclaré que des informations complémentaires seront communiquées ce lundi 11 janvier. Des marins-pompiers ont été mobilisés pour effectuer des tests aux alentours des résidences des personnes contaminées. Deux des cinq bâtiments qui ont été testés sont considérés sans présence du virus. Deux autres sont actuellement sous surveillance. Les marins-pompiers ont découvert le virus sur les surfaces du cinquième bâtiment où deux des personnes qui y vivent ont été contrôlés positifs.

Vers une campagne vaccination XXL

Il faut réagir très rapidement pour éviter que la situation ne s’aggrave dans la cité Phocéenne. Le maire Benoît Payan l’a rappelé lors de son point de presse. Il a également déclaré que tous les services sanitaires de Marseille se tiennent prêts à opérer une grande campagne de vaccination. La mise en place d’un centre de vaccination dans le stade de Vélodrome est prévue pour très bientôt. Le maire compte demander plus de vaccins pour intensifier la campagne. Il souhaite également que le gouvernement prenne des mesures plus strictes concernant les contrôles aux aéroports.

Des analyses des eaux usées

Actuellement, l’Agence Régionale de Santé (ARS) est en train de travailler en collaboration avec la préfecture des Bouches-du-Rhône, la mairie de Marseille et le bataillon des marins pompiers de Marseille. Ils coopèrent pour effectuer des prélèvements des eaux usées et des prélèvements de surface au sein des lieux d’habitation des personnes testées positives et celles qui ont été en contact avec eux. Ils mettent tout en œuvre pour identifier la présence du virus de la Covid-19 dans les eaux usées. La situation actuelle est un peu préoccupante car les cas positifs augmentent de plus en plus. Le commandant des marins-pompiers Patrick Augier a déclaré « Pour l’instant, on sait que l’on trouve de la Covid-19, mais on ne sait pas encore quel variant »

Les bienfaits des compléments alimentaires

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De plus en plus de personnes font le choix de consommer des compléments alimentaires et de très nombreux professionnels dans la santé conseillent également de prendre ces derniers. Les compléments alimentaires sont considérés comme des sources de nutriments et de vitamines. Ils ont pour principal but de pallier les carences alimentaires potentielles. En général, ce sont les personnes qui suivent un régime alimentaire spécifique qui consomment les compléments alimentaires. Cependant, certaines optent pour ces derniers pour tous les bienfaits qu’ils peuvent avoir sur le corps.

Vous pouvez trouver tous les avantages de consommer ce type de produit dans les lignes suivantes.

Les caractéristiques des compléments alimentaires

Un complément alimentaire se définit comme étant une source d’un ou de plusieurs nutriments qui sont essentiels au bon fonctionnement du corps humain. Ce dernier ne se résume pas seulement à une alimentation variée et équilibrée et est spécifique à chaque situation que peut vivre chaque personne. Les femmes qui portent un enfant, les enfants ou celles qui sont en période de ménopause ne consomment pas le même type de complément alimentaire.

Sachez que ce genre de produit peut avoir des risques sur la santé dans le cas d’un surdosage. Il est donc déconseillé de prendre ce dernier sans l’avis d’un spécialiste dans le domaine de la santé.

Les compléments alimentaires existent depuis plusieurs années mais sont populaires depuis peu. Ils se déclinent sous différentes formes. Vous avez la possibilité de trouver des compléments alimentaires qui se présentent en tant que comprimés et d’autres qui sont sous la forme de sirop. Si auparavant, ce type de produit était destiné uniquement pour ceux qui faisaient face à des maladies liées à un manque de vitamine C comme le scorbut par exemple, aujourd’hui, il est prescrit pour d’autres domaines comme le bien-être, la beauté ou encore le tonus.

Le rôle principal des compléments alimentaires

Comme son nom l’indique, le complément alimentaire a pour principale fonction de compléter les aliments. Sachez que le corps humain peut ingérer tout ce qu’on peut manger. Les aliments que vous mangez sont donc stockés et utilisés par votre corps comme énergie pour travailler de manière optimale. En consommant des aliments équilibrés et sains, vous permettez donc à vos organes de fonctionner correctement.

Le rôle des compléments alimentaires est donc fondamental. Vous pouvez ressentir des effets très positifs, non seulement sur votre santé mentale, mais également sur celle physique. Vous pouvez aussi profiter des bienfaits de ces produits sur la diminution de votre niveau de stress et votre bien-être émotionnel.

Le complément alimentaire peut apporter à l’organisme un gain nutritionnel considérable. Ce dernier peut dépendre de la composition du produit car chaque complément est différent. Les éléments qui peuvent être trouvés dans le complément sont les vitamines, les sels minéraux, les oligo-éléments, les antioxydants, les acides aminés, les acides gras et bien d’autres minéraux essentiels à votre corps. Les spécialistes dans la santé peuvent alors prescrire un produit spécifique pour chaque cas.

Il est important de savoir que le complément alimentaire est un produit très efficace. Cela s’explique par la présence des principes actifs qui sont contenus dans les plantes, les fruits ou encore les végétaux.

L’amélioration de la Justice nécessite de nouveaux juges

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Depuis quelques années, les citoyens français décrient la Justice de leur pays. Beaucoup d’entre eux parlent de mauvais jugement, de juge corrompu, de justice politisée et autres.

Pour mettre fin à ces problèmes qui donnent une mauvaise image au pays de la tour Eiffel, Alice Pezard propose des pistes de solutions en ce qui concerne le choix et la formation des juges.

Les valeurs au-delà des compétences

Dans ses propositions, Alice Pezard fait le tour de certaines nations et explique que les valeurs sont des critères importants qui sont bien au-delà des compétences en ce qui concerne le choix des juges. Elle ajoute à cela l’expérience que le juge doit avoir en matière de juridiction et de compréhension de la loi. L’expérience s’identifie au parcours et le parcours implique les différents exploits réalisés. Au-delà des connaissances nécessaires, il est important de prendre en compte des valeurs telles que :

  • L’indépendance ;
  • Le doute ;
  • L’empathie ;
  • L’autorité ;
  • La compassion ;
  • L’attention de l’autre ;
  • L’écoute ;
  • La curiosité :
  • Le questionnement ;
  • La curiosité intellectuelle ;
  • L’impartialité ;
  • La recherche de la neutralité.

Ces dernières ne peuvent devenir l’apanage du juge en une année. Il faut des années de travail et de remise en cause. D’après elle, un jeune magistrat de 25 ans n’aurait pas acquis une perception idéale des faits au fil du temps. Quelle que soit sa personnalité et ses connaissances, il est notoire que l’âge et le temps parcourus ne sont pas favorables à une telle perception. La tâche de juge n’est pas légère. Le recrutement des juges (homme ou femme) doit prendre (une fois encore) en compte les expériences professionnelles et humaines qui permettent à ces derniers de se sentir prêts.

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Crédit : Pixabay

Envisager une sixième année universitaire à l’école théorique

Au regard de l’importance de la justice notamment du juge dans la société, il faut que son cursus soit la base même de son avenir. Alice Pezard propose qu’une sixième année s’ajoute au cursus universitaire. Cette année supplémentaire sera une année qualifiante.

De façon spécifique, elle sera destinée uniquement aux futurs candidats :

  • Au barreau ;
  • À la magistrature ;
  • Au greffe ;
  • À la direction pénitentiaire.

Cette sixième année sera celle au cours de laquelle les étudiants seront prédisposés à une carrière professionnelle significative. Ils comprendront les conduites à tenir face à différentes situations juridiques. Des réseaux seront créés pour permettre à la relève d’apprendre des personnes plus expérimentées qu’elle. Les professionnels du droit qui sont assez connus pour l’efficacité et la neutralité de leurs œuvres pourront donner des cours purement techniques et pratiques aux apprenants pour un accompagnement professionnel. De même, il serait envisageable d’organiser des formations d’avocats et de juges auxquelles les régions territoriales universitaires pourraient participer.

Comment le choix de l’étudiant se ferait-il ?

Les étudiants à l’année supplémentaire devront soumettre un dossier à un comité national composé de personnalités dignes de qualité et d’expériences. Après de longues études de ces dossiers, les candidats qui seront retenus seront répartis dans différentes universités existantes. Un entretien de motivation sera adressé à ces derniers (de l’entrée à la sortie).

À la fin de l’année préparatoire, les étudiants vont passer un examen et par suite ils seront guidés par un juge confirmé qui est en effet leur tuteur. Pour être juge suppléant, l’âge minimum serait 35 ou 40 ans. Certes, ce nouveau système sera très efficace, mais il faut du temps, de l’engagement et de la rigueur pour y parvenir. Pour que la justice ne soit plus indigne et paralysée, les responsables doivent s’en préoccuper et avoir une volonté ferme.

Ces pistes de solutions ne sont peut-être pas sans limites. Néanmoins, elles apporteront à la France une nouvelle image. Cette nouvelle image se fera remarquer sur le plan de la justice et du droit. Le gouvernement ferait mieux de suivre cette feuille de route afin de mettre fin aux diverses critiques qui sont faites à l’endroit la Justice française. Une bonne Justice est avant tout un bon juge.

La relance économique est-elle entre les mains des entrepreneurs locaux ?

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La pandémie du coronavirus n’a pas laissé la France indifférente sur le plan économique. Les commerces et les bureaux fermés ont porté plus ou moins atteinte à l’économie. Selon le président de l’Adie, l’entrepreneuriat est un moyen de redonner vie à cette économie. Il mise beaucoup sur les entrepreneurs locaux.

L’entrepreneuriat face au confinement

Il y a eu un coup d’arrêt brusque pendant la période de confinement et personne ne l’avait souhaité. Mais en raison du chômage et des pertes d’emplois, la création d’entreprises va reprendre à grande vitesse. Ce qui se fait constater depuis l’été. L’appétence est particulière et forte en ces moments et bon nombre de personnes préfèrent opter pour leurs propres affaires. En 2021, les entrepreneurs locaux qui semblent invisibles sont ceux qui vont assurer la relève économique.

relance economie
Crédit : Pixabay

Les entrepreneurs locaux sont l’espoir de la relance économique

Frédéric Lavenir pense que les entrepreneurs locaux ont un rôle important à jouer dans ce sens. Aucune sous-estimation ne doit être faite par rapport aux produits que ces entrepreneurs commercialisent. Quel que soit l’activité ou le produit, chacun d’eux a sa brique à apporter pour cette édification. Frédéric Lavenir dans ces propos donne une certitude sur le fait que la relance de l’économie ne peut se faire sans les entrepreneurs locaux.

Cela s’explique aussi par le fait qu’il ait un grand nombre de personnes dans les quartiers qui font des commerces. Ces différents commerces contribuent énormément à la richesse économique. D’après les estimations qu’il a révélées, la moitié des créations annuelles sont lancées avec 8 000 euros au moins. Or chaque année, les créations d’entreprises sont au nombre de 800 000.

La majorité de ces entrepreneurs apportent au plan local des avantages qu’il sera difficile de nier. L’entrepreneuriat bien qu’étant économique est avant tout humain. Il est basé sur les relations humaines et les échanges. Une économie qui repose sur des valeurs humaines est bien adaptée pour développement durable.

Les entrepreneurs ont-ils toujours les mêmes motivations ?

L’Adie a accompagné et a financé 50 000 entrepreneurs pour qui l’entrepreneuriat est avant tout un emploi. C’est à dire un emploi propre à soi pour gagner sa vie (l’indépendance et la liberté). C’est donc pour ces aspirants une voie par laquelle ils pourront accomplir de merveilleuses choses et réussir leurs vies.

Les jeunes le font beaucoup plus pour ne pas s’attendre à un emploi et trouver une solution à leur problème de chômage et de sous-emploi. Avec les employés qui ont perdu leurs gagne-pains ces derniers mois, le besoin de se lancer soi-même devient pressant. Le concept de l’entrepreneur est aujourd’hui un sujet sociétal très en vogue.

Les employés ne sont plus vus comme des maîtres de métier comme autrefois. Le système salarial est perçu comme une sorte d’esclave moderne. Et la réalité montre que l’entrepreneuriat est plus rentable que le salariat. Depuis trois à quatre ans, les créateurs développent de nouvelles motivations qui semblent plus exceptionnelles. Ils lancent une entreprise qui est en conformité avec leur vision du monde, leurs valeurs et leurs compétences.

Aujourd’hui, une affaire peut facilement s’écrouler par manque de compétences de l’initiateur. Avant tout, le chef d’entreprise doit comprendre toutes les réalités afférentes au secteur dans lequel il entreprend. Ces différentes dispositions permettent d’éviter les erreurs et d’anticiper les éventuels échecs.

La création d’entreprises est-elle possible pour tout le monde ?

Vu que la réalité entrepreneuriale est devenue assez importante pour l’économie, la curiosité porte sur l’accessibilité. Le président de l’Abie n’a pas hésité à démontrer que cela est bien possible et accessible. Mais, il ajoute qu’il y a quelques obstacles sur les plans administratifs, financier et politique qui doivent être franchis. La France a fait du travail à cet effet, mais il en reste encore.

Bien que la création soit accessible, il faut reconnaître que l’accompagnement est la clé du succès des entreprises.

Ces métiers qui recrutent et auxquels on ne pense pas

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Chômage partiel, dépôts de bilan, grandes enseignes en faillite, plans de licenciement… la crise sanitaire liée à l’épidémie de Covid-19 a engendré une crise économique sans précédent. Si de nombreux secteurs d’activité sont sinistrés, d’autres, au contraire, recrutent malgré la crise. Mais quelles sont ces professions auxquelles on ne pense pas au premier abord, mais dont l’avenir semble devoir s’écrire avec assurance. Le chiffre est vertigineux : l’épidémie de Covid-19 a causé la perte de 715 000 emplois au premier semestre de l’année 2020. Il faut dire que certains secteurs, comme la restauration, l’événementiel, les métiers du spectacle ou encore l’hôtellerie, sont particulièrement touchés par les mesures prises afin d’endiguer la progression du virus. En revanche, d’autres domaines d’activité recherchent désespérément à recruter. C’est bien sûr le cas des hôpitaux, qui manquent cruellement d’aides-soignants et d’infirmiers, entre autres, mais aussi de l’enseignement qui peine notamment à attirer de jeunes professeurs dans certaines disciplines. D’autres métiers recrutent, mais ne sont pas toujours très visibles.

Des métiers méconnus dans le bâtiment

Même si le secteur du BTP est frappé par la crise, certains métiers continuent de faire face à une pénurie de main de candidats. Couvreurs, maçons, peintres font traditionnellement partie de ces professions très recherchées, mais elles ne sont pas les seules. En effet, certains métiers beaucoup moins courants ont le vent en poupe. C’est le cas des cordistes par exemple. Ces « alpinistes du bâtiment » sont appelés pour des interventions en hauteur ou dans des lieux où l’accès est difficile tels que les éoliennes, les silos agricoles ou les clochers d’église. Si l’activité n’est pas nouvelle, elle n’est règlementée que depuis 2004 et nécessite une formation spécifique.

Le jeu en vaut la chandelle, car le travail ne manque pas. « C’est un métier qui est rare, peu connu, c’est un métier d’avenir », explique ainsi Xavier Rodriguez, le PDG de l’entreprise de cordistes qui est intervenue sur le chantier de la cathédrale Notre-Dame de Paris après l’incendie.  Autre métier méconnu, mais dont le bâtiment ne saurait se passer, celui de tailleur de pierre. Certes, ces professionnels n’interviennent pas sur des immeubles récents, mais ils sont indispensables à la restauration d’édifices anciennes comme les châteaux et les cathédrales. On ne compte pas moins de 4000 entreprises de transformation de la pierre en France, et nombreuses sont celles qui sont à la recherche de main d’œuvre qualifiée.

La dépollution

Moins visibles auprès du grand public, les entreprises spécialisées dans la dépollution n’en font pas moins un travail de fond. Désamiantage, déplombage, démolition de bâtiments, traitement de terres polluées, lieux sinistrés… elles interviennent sur des sites qui présentent une problématique environnementale ou un risque sanitaire pour l’Homme. Ces chantiers si particuliers nécessitent évidemment des compétences spécifiques et des conditions de sécurité optimale. Ces sociétés peuvent même développer leur propre matériel pour intervenir et recrutent également des personnes à la formation spécifique et continue.

Chez DI Environnement, spécialiste reconnu de la dépollution, cette formation règlementaire est indispensable, mais pas suffisante. « Parce que nous pensons que nos équipes sont le savoir-faire de DI Environnement, nous organisons des formations internes sur le terrain, mais aussi au sein d’une véritable « Ecole DI » au sein du siège de Montélimar, comprenant nos propres installations pédagogiques », explique Hugo Rosati, directeur général de l’entreprise. Opérateurs amiante, mécaniciens, agents de maintenance, encadrants de chantiers, opérateurs formés aux risques chimiques et ATEX (Atmosphères Explosives), DI Environnement, compte actuellement plus de 450 collaborateurs et ne cesse de recruter pour accompagner le développement de son activité. Car Hugo Rosati en est certain, sa société ne risque pas de manquer de travail. « S’il est aujourd’hui interdit de recourir au plomb et à l’amiante, il reste encore de très nombreuses structures sur lesquelles travailler. Le marché de la dépollution est plus large encore. La France continue de représenter un marché important d’autant que la législation a tendance à être plus précautionneuse et devrait toucher de nouveaux matériaux au cours des prochaines années. Certains polluants encadrés par la législation chez nos voisins ne le sont pas encore en France et constitueront des marchés à l’avenir », explique-t-il. Et l’entrepreneur de conclure : « La dépollution a un bel avenir devant elle ! ».

La sécurité informatique

« Recherche hacker désespérément », ce pourrait être l’intitulé d’une offre d’emploi rédigée avec une pointe d’humour. En effet, alors que la digitalisation de l’économie est en plein essor, et encore plus dans cette période de crise sanitaire où le télétravail se développe considérablement, les entreprises françaises sont à la recherche de personnes pour assurer leur sécurité numérique. Déjà, en 2015, 81% d’entre elles déclaraient avoir été victimes de cyber-attaques. Aucune entreprise ou service public n’est épargné, pas même les hôpitaux, devenus une des cibles privilégiées des pirates informatiques avec la pandémie de Covid-19.

Malheureusement, en France, la pénurie de compétences en cybersécurité est généralisée. Consultant en cybersécurité, veilleur-analyste, chef de projet sécurité, architecte sécurité, administrateur sécurité, responsable de la sécurité des systèmes d’information… les entreprises françaises peinent à recruter à ces postes alors que, selon les estimations, entre 5000 et 10000 postes seraient à pourvoir. Et ce, malgré des salaires plutôt attractifs !

Les métiers du funéraire

S’il est un secteur qui n’attire pas les vocations alors que la demande en recrutements est constante, c’est bien celui des métiers du funéraires. Selon la Confédération des pompes funèbres et de la marbrerie (CPFM), ce secteur regroupe plus de 3 700 entreprises qui emploient environ 18 000 personnes, et cette filière est en pleine expansion. « Le secteur funéraire a besoin de nouveaux profils, du fait du vieillissement des effectifs et des départs à la retraite », confie Olivier Vérité, secrétaire général de la CPFM, qui constate que les jeunes postulent de plus en plus, mais aussi des personnes en reconversion après une première carrière dans un domaine qui n’a pas forcément un lien avec le secteur. Du thanatopracteur, qui effectue les soins de conservation et de restauration des corps, à l’agent funéraire, du marbrier au conseiller funéraire, tous ces métiers sont accessibles après des formations spécifiques alternant sessions théoriques et heures de pratiques auprès des professionnels. Olivier Vérité précise toutefois qu’au-delà des compétences indispensables, « on attend des qualités humaines d’empathie, de discrétion, d’écoute, de disponibilité. C’est la force d’être là, sans être là ».

Les utilisateurs de WhatsApp quittent la plateforme pour la concurrence

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L’application de messagerie instantanée WhatsApp a récemment changé sa gestion des données personnelles et ses conditions d’utilisation. Les modifications n’ont pas du tout plu à de nombreux utilisateurs. Ces derniers ont donc pris la décision de désinstaller l’application pour adopter les services de ses concurrents. Tous se sont rués vers Signal ou Telegram. Ces derniers jours, l’équipe de Signal a avoué avoir eu du mal à gérer les demandes d’inscription.

La gestion des données personnelles, un critère très important pour les utilisateurs

La protection des informations personnelles des utilisateurs est un sujet important dans le monde entier, particulièrement en Europe. Dans cette région, toutes les applications doivent se conformer au Règlement Général sur la Protection des Données.  Ces dernières années, les applications de la firme de Mark Zuckerberg ont reçu de nombreuses plaintes à propos de leur politique de gestion des données personnelles. Ce qui s’est passé au cours de cette semaine n’est donc pas nouveau. Le scandale Cambridge Analytica par exemple, avait fait beaucoup de bruit et avait eu un impact assez négatif sur ce réseau social.  De nombreux organes de presse (Forbes, Wall Street Journal, etc.) ont eu à dévoiler les failles de sécurité à répétition du groupe Facebook, la richesse des informations qu’ils prélèvent et les informations sensibles de ses utilisateurs qu’ils collectent. Les services de Facebook (Whatsapp, Instagram, Messenger) ne sont pas les meilleurs lorsqu’il s’agit du respect de la vie privée. Ces derniers jours, c’est WhatsApp qui a fait l’actualité. Facebook a annoncé aux utilisateurs qu’il y a eu d’importants changements sur les règles de confidentialité et d’utilisation de l’application de messagerie instantanée. Il y a eu des rumeurs disant que ceux qui n’adhèrent pas à ses conditions allaient voir leurs comptes bloqués. Facebook a sorti immédiatement un communiqué pour démentir cela.

Les utilisateurs de WhatsApp trouvent refuge chez leurs concurrents

Le communiqué qui déclare que les rumeurs sont fausses et que les utilisateurs qui résident en Europe ne sont pas soumis de force au partage avec Facebook n’a pas réussi à apaiser certains utilisateurs. Plusieurs d’entre eux se sont rués vers les services concurrents tels que Telegram et Signal. Cette semaine, plusieurs indices ont montré un afflux massif d’utilisateurs de WhatsApp vers les autres applications de messagerie instantanée. Le groupe Signal a publié un post sur Twitter, le 7 janvier 2021 pour affirmer qu’ils ont eu des milliers de nouveaux adhérents en cette fin de semaine. En quelques heures seulement, un nombre impressionnant de demandes d’inscriptions a été enregistré. Cela a eu un impact sur la distribution des codes de vérification pour la validation des comptes. La durée d’attente est devenue beaucoup plus longue. Tout a été mis en œuvre pour régler ce problème. A présent, les demandes sont traitées normalement. Signal est choisi comme alternative à WhatsApp en partie grâce à l’homme le plus riche du monde Elon Musk et à l’ancien agent de la CIA devenu lanceur d’alertes Edward Snowden. Leur coup de pouce a beaucoup aidé le groupe.

2020, l’une des années les plus chaudes

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D’après le service européen Copernicus, l’année 2020 fait partie des périodes les plus chaudes jamais enregistrées. Comme l’année 2016, 2020 a fini à 1,25 °C au-dessus de la période préindustrielle. Une synthèse plus complète est attendue le jeudi 14 janvier 2021. Les chiffres définitifs concernant les températures de l’année passée seront publiés ce jour-là par l’OMM (Organisation Météorologique Mondiale). Cette structure s’appuiera sur les observations de la NASA, de Copernicus, du service japonais de météorologie, de la NOAA (Agence américaine d’observation océanique et atmosphérique) et des services météorologiques britanniques. L’Organisation Météorologique Mondiale avait déclaré en décembre que 2020 faisait partie des trois années les plus chaudes.

2,2 °C au-dessus de la période préindustrielle en Europe

En 2020, un phénomène climatique nommé La Niña a été enregistré. Ce phénomène entraîne une baisse globale des températures. En 2016, un phénomène océanique naturel similaire aux tendances inverses avait été noté. Sans les impacts de La Niña, 2020 serait sans nulle doute, l’année la plus chaude jamais enregistrée. Durant cette période, le continent européen a été marqué par une vague de chaleur exceptionnelle (1,6 °C au-dessus de l’époque 1981-2010, 0,4 °C au-dessus de 2019, 2,2 °C au-dessus de la période préindustrielle).  Les objectifs de l’accord qui concernent la planète toute entière n’ont pas été atteints. Le réchauffement est beaucoup plus rapide dans certaines régions. Il faut également garder à l’esprit que les terres se réchauffent plus vite que les océans. La situation en Arctique est beaucoup plus critique que celle de l’Europe. Dans cette zone, les températures en 2020 ont dépassé la moyenne de référence de 6 °C.

Loin de la trajectoire de l’accord de Paris

Au cours de l’année 2020, des feux de forêts très intenses se sont produits en Sibérie. Cela a conduit à la libération de 244 mégatonnes de dioxyde de carbone (CO2). Il est devenu urgent de trouver des moyens pour réduire considérablement les émissions et prévenir les effets néfastes sur le climat. Les conséquences du réchauffement climatique se font déjà sentir à travers la planète. Des canicules exceptionnelles ont été notées. La banquise est en train de fondre, les précipitations ont augmenté de manière exponentielle et les ouragans dans les Caraïbes se sont accentués. La situation risque de s’aggraver si nous ne changeons pas certaines de nos habitudes. L’objectif de l’accord de Paris qui consiste à maintenir le réchauffement en dessous de +2 °C est loin d’être atteint.

Stopper les émissions de CO2

La pandémie de Covid-19 a eu un impact considérable sur l’économie. Des milliers de sociétés ont dû interrompre toutes leurs activités. Les émissions de CO2 ont baissé de 7 % au cours de l’année 2020. Mais malgré cela, on note une hausse de la concentration de CO2 dans l’atmosphère. Elle a atteint le niveau maximal en mai 2020 (413 ppm). Pour que la situation s’améliore vraiment, il faut que les émissions mondiales nettes soient réduites à zéro. Si ce n’est pas le cas, le CO2 va continuer de s’accumuler dans l’atmosphère. Un nouveau changement climatique risque de se produire.

Elon Musk est désormais l’homme le plus riche du monde

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Le jeudi 7 janvier 2021, Elon Musk, le fondateur des véhicules électriques haut de gamme Tesla a été élu l’homme le plus riche du monde. L’envolée de ses actions en Bourse lui a permis de devancer Jeff Bezos. Ce dernier détenait ce titre depuis 2017. Selon les calculs de l’agence Bloomberg, Elon Musk s’est hissé au premier rang au cours du jeudi grâce à la majoration des titres de Tesla. Aujourd’hui, sa fortune a atteint 188,5 milliards de dollars. Il dépasse son concurrent le patron d’Amazon d’1,5 milliard de dollars. Elon Musk s’est récemment installé aux Texas après avoir quitté la Silicon Valley. Il prévoit de donner la moitié de sa fortune à des œuvres de charité dans vingt ans, lorsque Tesla sera stabilisée.

Tesla dans le S&P 500

Mercredi dernier est une date très importante pour l’entreprise Tesla. Durant cette journée, sa valorisation en Bourse a dépassé pour la première fois, la barre des 700 milliards de dollars. Son titre a également augmenté de 3 %. Le lendemain, l’action a dépassé les 800 dollars. En une journée, le coût a augmenté de 6 %. Tesla a intégré l’indice S&P 500 en mi-décembre. Le S&P 500 est un indice boursier qui représente les 500 grandes sociétés cotées sur les bourses aux Etats-Unis. L’intégration de Tesla dans le S&P 500 a permis l’inclusion de son action dans des fonds indiciels cotés. Cela a contribué à la valorisation du titre de la compagnie. Actuellement, le groupe du milliardaire pèse plus que Ford, Honda, General Motors, Volkswagen, Toyota et Fiat-Chrysler réunis. Pourtant, ces constructeurs traditionnels continuent de vendre plus de voitures que Tesla. Cette dernière n’a vendu que 499 550 véhicules en 2020 alors que Volkswagen par exemple avait réussi à vendre plus de 11 millions de véhicules en 2019.

Tesla n’a ni multiples sites de production, ni syndicats

En 2020, durant la crise sanitaire, Tesla fait partie des rares constructeurs qui sont parvenus à tirer leur épingle du jeu. Aux Etats-Unis, la plupart des fabricants ont dû fermer leurs usines au cours du printemps dernier. La propagation du Covid-19 a contraint de nombreux concessionnaires à cesser toutes leurs activités. General Motors par exemple a vu ses ventes reculer de 11,8 % durant cette période. Par contre, la compagnie Tesla a réussi à augmenter ses livraisons de 36 %. Les véhicules électriques sont actuellement très en vogue. Ils attirent beaucoup d’investisseurs. Le groupe d’Elon Musk est arrivé à faire augmenter ses bénéfices pendant 5 trimestres d’affilée. Son fonctionnement ressemble toujours énormément à celui d’une start-up. Jusqu’à présent, il n’a ni syndicats, ni différents sites de production. La compagnie a récemment implanté une nouvelle usine à Shanghai. Cela représente une grande opportunité pour elle. Selon certains sondages, dans 30 ans, ce pays représentera environ 49 % du marché des voitures électriques. D’ici 2030, le fondateur des véhicules électriques haut de gamme prévoit de mettre sur le marché, 20 millions de véhicules et de proposer des modèles beaucoup plus abordables.

2021 sera-t-elle une année salvatrice du climat et de l’écologie ?

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La décennie qui vient de s’écouler est universellement reconnue comme la plus chaude de tous les temps. Et 2020 représente particulièrement pour la France l’année de la plus grande chaleur n’ayant jamais été enregistrée. D’après les spécialistes, la situation sera plus asservissante si le monde reste les bras croisés.

L’année 2021 sera peut-être l’année idéale pour mieux s’organiser afin de réduire autant que possible le réchauffement climatique.

Faut-il revoir les ambitions (à la hausse) ?

Si malgré les dispositions qui ont été prises, les choses n’ont pas réellement changé, il serait mieux de revoir les aspirations. La réduction des émissions de gaz à effets de serre est au cœur de l’accord de Paris et de la COOP 21. Le constat est que cette feuille de route n’est pas suivie par les États. La nouvelle loi sur le climat met la barre haute et permettra peut-être aux différents pays de travailler dur pour y arriver.

D’ici 2030, la réduction de l’émission de gaz à effet de serre doit être entre 40 et 60 %. Pour que cela soit évident, les gouvernements devront mettre un accent particulier sur les énergies renouvelables et amener les populations à les adopter. La consommation énergétique doit être modérée et les règlements par rapport à la protection de l’environnement ou de la biodiversité doivent être stricts. Dans le domaine du transport, des lois plus rigoureuses doivent aller à l’encontre de la pollution de l’air.

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Crédit : Pixabay

Dans l’espoir d’une COOP-26

Avec les réalités actuelles que traverse le monde, des initiatives sont en train d’être prises de toute part. Une COOP 26 dont l’attente est impatiente sera effective afin que les différents États se reprennent au sérieux par rapport aux enjeux environnementaux. Même si la pandémie a été à l’origine du report de certaines dates, l’année 2021 constitue potentiellement celle au cours de laquelle les grandes décisions seront exécutées.

Cette année ne sera pas seulement destinée à l’application des principes et des règles, mais elle sera aussi dédiée à l’investissement. Les États mettront la main à la poche afin que les irrégularités climatiques soient réduites. Il faut préciser que les actions auront plus de valeur. La rigueur, l’engagement et la détermination seront au rendez-vous. Le processus semblerait peut-être long, mais il est prometteur.

La France en déphasage avec les principes

À première vue, la France devrait être le pays qui n’hésiterait pas à investir en matière de climat et d’écologie. Mais la réalité montre le contraire. Elle fait partie des pays qui prônent et qui encouragent la protection de l’environnement. Dans l’application, elle-même n’est pas un bon exemple.

Il ne faut absolument pas oublier le fait qu’elle soit « pays hôte de la COP-21 ». Il devrait être le pays qui s’accroche aux valeurs écologiques et climatiques. Malheureusement, il se pourrait qu’elle soit à traîne dans ce domaine comparativement aux autres nations (États) qui ont adopté cette vision. Son engagement en 2015 n’est plus à la même flamme depuis quelques années et Marine Pouget l’a bien compris. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle pense que la France est « en régression » par rapport à cet engagement. Il y a déjà un non-respect des règles au niveau de la Convention Citoyenne pour le climat. Ce qui est une illustration parfaite du fait qu’elle est « mauvaise élève ».

Les écologistes devront désormais jouer un rôle de taille face à ces difficultés. Par conséquent, ils doivent être de commun accord dans le choix des décisions. Les cadres d’EELV doivent être à même de bien s’entendre sinon les objectifs risquent de tomber à nouveau à l’eau. De façon concrète, l’absence de guerres picrocholines au sein de la communauté des écologistes est idéalement attendue.

Quelques objets révolutionnaires de télétravail pour plus de design durant cette crise de Coronavirus

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Plusieurs pays ont priorisé le télétravail à cause du Covid-19. Cette disposition a été prise pour limiter les risques de contamination. Or le travail chez soi n’est souvent pas plus motivant que le travail au bureau. Ainsi, les professionnels du design ont créé de nouveaux objets notamment les meubles et les sièges. Ces derniers faciliteront les activités et donneront une nouvelle image aux espaces de travail.

La méridienne Home Office

Ce meuble est multifonction, il serait parfait pour une décoration tendance. Il est très adapté au télétravail. Il serait facile de dire qu’il est l’un des meilleurs. Le meuble est conçu de façon spectaculaire. Il dispose d’une tablette en bois qui vous permet de travailler de façon plus détendue sans avoir à mettre votre ordinateur sur vos cuisses. Le luminaire directionnel dont il est équipé facilite la lecture la nuit et assure également un éclairage à la lumière convenable. Le sofa est bien positionné et constitue d’une part une espace de repos et de travail ergonomique d’autre part. Si vous êtes une personne qui n’aime pas souvent se déplacer de son lieu de travail, alors ce meuble sera parfait pour vous.

Il est magnifique et donne une nouvelle allure au décor de la pièce dans laquelle il est placé. Son prix ne peut qu’être connu qu’à la demande.

objets révolutionnaires
Crédit : Pixabay

Le paravent cocon UBO

Le nom n’a l’air de rien, mais ce meuble est une merveille. Son design est intégralement unique et montre sa particularité. Il est la preuve que les artistes modernes ont du talent. Ce paravent est un peu comme une sculpture dotée de mobilité. Toutes les personnes qui verront ce paravent vont sans doute se demander si ce n’est pas un objet d’art conçu de main de maître. Il a été confectionné par des artisans du pays de Basque et il porte la signature de Lee-Ann Curren. Il vous sera d’une grande utilité pour vos activités professionnelles depuis votre domicile. Votre lieu de travail devient encore plus chic et élégant avec ce meuble. Vous n’aurez plus besoin de grandes choses pour décorer votre lieu de travail. C’est à la demande que vous saurez également son prix.

Le siège ballon Bloon

On ne peut nier l’importance du siège lorsqu’il s’agit de s’assoir pour exécuter des tâches intellectuelles sur une longue durée. Généralement, les chaises ou tabourets ne sont souvent pas en adéquation avec vos attentes. D’abord, il y a le côté sanitaire, car le mal de dos peut en découler. D’un autre côté, il y a aussi le style et l’esthétique que vous recherchez sur votre lieu de travail. Le siège ballon Bloon est fait pour répondre à cette double attente. Il est très pratique et vous donne aussi envie de travailler en raison du confort qu’il offre. En plus d’être ludique, il est ergonomique et facilite la vie au travailleur.

Il porte la signature de Thomas de Lussac et est disponible à partir de 179 € en 12 différents coloris.

Le bureau Nomade Slean

Son nom indique déjà qu’il est spécialement fait pour assurer le rôle de bureau. Il est fait en France. Comme tous les autres, il apporte une touche décorative et esthétique. L’un des points qui le rendent distinct et unique est la facilité avec laquelle son installation se fait (en 2 minutes). Il a une mobilité particulière et peut être déplacé partout dans votre domicile (salon, terrasse, jardin, etc.). Tout dépendra de l’endroit qui vous convient pour un travail parfait. Il dispose des tréteaux qui vous permettront de ranger quelques objets comme le casque, le sac. Il coûte 499 €.

Chacun de ces objets a sa particularité et ne peut ne pas convenir à tout le monde. Néanmoins, vous avez la possibilité d’opérer judicieusement un choix. Le confort est capital dans l’univers du travail.